0407 - Page 403 - Lecture faite à l'Académie royale de médecine, le 16 juillet 1839. Par M. Orfila. Premier mémoire. Est-il vrai que l'on puisse reconnaître, d'après l'état des organes génitaux, si la suspension a eu lieu pendant la vie ou après la mort ? / Mémoire. Sur les moyens de s'assurer que l'arsenic, obtenu des organes où il a été porté par absorption, ne provient pas des réactifs, ni des vases employés à la recherche médico-légale de ce poison. Par M. Orfila
Fait partie de Annales d'hygiène publique et de médecine légale, série 1, n°22
- Titre
- 0407 - Page 403 - Lecture faite à l'Académie royale de médecine, le 16 juillet 1839. Par M. Orfila. Premier mémoire. Est-il vrai que l'on puisse reconnaître, d'après l'état des organes génitaux, si la suspension a eu lieu pendant la vie ou après la mort ? / Mémoire. Sur les moyens de s'assurer que l'arsenic, obtenu des organes où il a été porté par absorption, ne provient pas des réactifs, ni des vases employés à la recherche médico-légale de ce poison. Par M. Orfila
- Identifiant
- ark:/13685/90141x1839x22/0407