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Numerabilis


0616 - Page 603 - Chap. IX. Quand il faut ouvrir la veine. Que la repletio n'est pas la premiere intentio de la Saignee, mais la gradeur de la maladie. Que les premieres, & les principales intentions sont la grandeur du mal, & les forces. Qu'il faut mesme saigner avat que la maladie arrive. Comment se doit entendre ce qui a esté dit sur l'aage. Que l'abondance des humeurs crues n'epesche la Saignee, qu'en tat qu'elle mostre que les forces sot foibles. Que tous les autres signes, fors de trois intentions dot il a parlé ne servet que pour mostrer cobien il faut saigner, & non pas s'il faut saigner.

Fait partie de Toutes les oeuvres charitables de Philbert Guybert a çavoir le médecin charitable ; le prix et valeur des medicamens ; l'apothicaire charitable ; le choix des médicamens ; le traité du séné ; la manière de faire toutes sortes de gelées ; la manière de faire div. confitures ; la conservat. de santé ; le traité de la saignée ; la méthode agréable et facile pour se purger doucement et sans aucun dégoust avec les singuliers préservatifs la peste, La manière d'embaumer les corps morts. Revuës, corrigees & augmentees en cette derniere edition, par l'autheur.

Titre
0616 - Page 603 - Chap. IX. Quand il faut ouvrir la veine. Que la repletio n'est pas la premiere intentio de la Saignee, mais la gradeur de la maladie. Que les premieres, & les principales intentions sont la grandeur du mal, & les forces. Qu'il faut mesme saigner avat que la maladie arrive. Comment se doit entendre ce qui a esté dit sur l'aage. Que l'abondance des humeurs crues n'epesche la Saignee, qu'en tat qu'elle mostre que les forces sot foibles. Que tous les autres signes, fors de trois intentions dot il a parlé ne servet que pour mostrer cobien il faut saigner, & non pas s'il faut saigner.
Identifiant
ark:/13685/pharma_res011632/0616