0294 - Page 282 - Les troubles sympathiques et le diabète. L'aréflexie pilomotrice en aires, par André-Thomas
Fait partie de Paris médical : la semaine du clinicien, 1928, n°69, partie médicale
- Titre
- 0294 - Page 282 - Les troubles sympathiques et le diabète. L'aréflexie pilomotrice en aires, par André-Thomas
- Description
- Fig. 1 et Fig. 2 Parésie avec atrophie du quadriceps gauche, parésie des fléchisseurs de la cuisse sur le bassin. Affaiblissement du réflexe patellaire et du réflexe achilléen gauches. Extension de l'orteil bilatérale. L'excitation plantaire déclanche simultanément la rotation externe, la contraction du tenseur du fascia lata et de la paroi abdominale. L'élongation du crural et du sciatique, la pression de ces nerfs et de l'obturateur ne sont pas douloureuses ; la toux, l'éternuement et l'effort n'augmentent pas la douleur. Le réflexe cutané abdominal est aboli à gauche. La sensibilité superficielle (tact, piqûre, tube de glace, tube chauffé) est affaiblie ou abolie sur la face antérieure de la jambe, sur la face externe du genou, de la jambe. Les limites de l'anesthésie sont sensiblement les mêmes pour les divers modes de sensibilité ; la traction des poils ne provoque aucune douleur dans les zones d'anesthésie. Au contraire, la pression et le pincement sont désagréables sur toute la face antérieure du membre inférieur gauche, la face postérieure de la jambe, le bord postéro-externe de la cuisse
- Identifiant
- ark:/13685/111502x1928x69/0294