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0313 - Page 305 - Travaux originaux. Importance sémiologique de l’électrocardiogramme au cours des atteintes myocardo-coronariennes. Par MM. Daniel Routier et J. Lequime

Fait partie de La Presse médicale - [Articles originaux], 1934, Articles originaux

Titre
0313 - Page 305 - Travaux originaux. Importance sémiologique de l’électrocardiogramme au cours des atteintes myocardo-coronariennes. Par MM. Daniel Routier et J. Lequime
Description
Fig. 1. N° 601. Tracé pris trois jours après une violente crise angineuse (première et seule crise) avec chute de tension, tachycardie, hyperthermie. E.C.G. du type infarctus apexien. L’onde T est déjà dégagée de l'onde coronarienne. - N° 621. Même malade, tracé pris cinq jours plus lard : aspect peu modifié / Fig. 2 a. - N° 2307. Infarctus de la pointe et de la partie inférieure et antérieure de la cloison anatomiquement vérifié. Hypertendu à 26-15 n'ayant jamais eu aucune douleur angineuse, mais ayant présenté en même temps des hémorragies rétiniennes, une hémiparésie faciale droite avec aphasie, une thrombose de l'artère poplitée et des signes d’insuffisance cardiaque avec chute de tension et bruit de galop. E C.G. recueilli environ trois semaines après le début des accidents, décalage de la ligne isoélectrique en DI et DII. b) N° 2380. Même malade, dix-sept jours plus lard, neuf jours avant le décès ; aspect sensiblement pareil, amplitude moindre / Fig. 3. N° 2014. Anévrisme pariétal du ventricule gauche objectivé par l’examen radiologique, un mois environ après une unique et violente crise angineuse. E.C.G. du type infarctus apexien : onde coronarienne en DI très nette. N° 2304. Même sujet dix mois plus tard ; tendance à l’effacement de l'onde coronarienne, persistance d’un léger décalage / Fig. 4a. n° 948. E.C.G. pris quelque temps après un accident syncopal sans manifestation douloureuse ; dissociation A-V incomplète avec allongement de l’espace P-R, pas d’altération de l'intervalle S-T. b) N° 1930. Même malade trois ans plus tard, E.C.G. pris une semaine environ après violent accès angineux (unique et seule crise) ; l'allongement de P-R existe toujours, la dissociation A-V a régressé depuis deux ans et n'a plus reparu, présence d’une onde coronarienne en DI et décalage de la ligne iso-électrique en DII, diminution d’amplitude. c) N° 2133. Même malade trois ans après le n° 1930 ; persistance du décalage ; l'onde T est moins négative en DI, moins pointue en DIII ; l'onde S n’a pas reparu dans les deux premières dérivations / Fig. 5. N° 2180. E.C.G. pris une quinzaine de jours après accès angineux avec chute de tension ; onde coronarienne visible en DII et DIII, type infarctus postérieur et de la base / Fig. 6. N° 2205. E.C.G. pris une quinzaine de jours après crise angineuse unique et violente ; onde coronarienne devinée en DIII, décalage en DII inférieur, inversion de T en DII. N° 2252. Même malade deux mois et demi après ; persistance du décalage inférieur, mais retour de T positif en DII, nul en DIII, disparition de l'onde coronarienne, réapparition de l'onde S
Identifiant
ark:/13685/100000x1934xartorig/0313