0166 - Page 162 - L'épreuve de la compression oculaire du nitrite d'amyle et de l'atropine dans le diagnostic des bradycardies totales d'origine nerveuse. L'automatisme ventriculaire provoqué par la compression oculaire et l'atropine dans les bradycardies totales. Par M. Petzetakis
Fait partie de La Presse médicale - [Articles originaux], 1914, Articles originaux
- Titre
- 0166 - Page 162 - L'épreuve de la compression oculaire du nitrite d'amyle et de l'atropine dans le diagnostic des bradycardies totales d'origine nerveuse. L'automatisme ventriculaire provoqué par la compression oculaire et l'atropine dans les bradycardies totales. Par M. Petzetakis
- Description
- Figure 4. Bradycardie totale post-rhumatismale. A, la compression auriculaire a déjà commencé. Après le ralentissement du pouls, on voit sur le pouls veineux, vers la fin de la figure, la contraction auriculaire qui vient un peu après le ventricule, puis, sur la prochaine pulsation, l'oreillette vient un peu avant le ventricule (l'intervalle a-c, est très diminué). - B. (suite de la précédente). Tout au début, on voit la fusion de la contraction auriculaire et ventriculaire, ensuite il y a deux pulsations dans lesquelles la contraction auriculaire vient 1/5 de seconde ou un peu plus après le ventricule / Figure 5. Bradycardie totale ictérique. A, avant l'atropine. - B. après injection de 0,002 d'atropine / Figure 6. Bradycardie totale ictérique. Tracé du sujet qui présentait l'épreuve paradoxale de l'atropine / Figure 7. Epreuve du nitrite d'amyle. A, B, C, accélération donnée par le nitrite d'amyle dans un cas de ces bradycardies. Tracés veineux successifs depuis l'accélération maxima et au fur et à mesure que le pouls revient à la normale. - D, tracé pris au moment de l'accélération maxima dans un autre cas ; l'intervalle ac est très raccourci
- Identifiant
- ark:/13685/100000x1914xartorig/0166