0332 - Planche I - Séances des 14 mai et 11 juin 1952. Communications. Le typhus murin de l'Oubangui est grave, il mériterait le nom de tropical, son diagnostic peut être difficile, on peut y remédier par électrophorèse sur papier, par Paul Giroud, Paul Le Gac, M. Ganzin et Jean-Alfred Gaillard
Fait partie de Bulletin de la Société de pathologie exotique et de ses filiales, 1952, tome 45
- Titre
- 0332 - Planche I - Séances des 14 mai et 11 juin 1952. Communications. Le typhus murin de l'Oubangui est grave, il mériterait le nom de tropical, son diagnostic peut être difficile, on peut y remédier par électrophorèse sur papier, par Paul Giroud, Paul Le Gac, M. Ganzin et Jean-Alfred Gaillard
- Description
- [Paul Giroud, Paul Le Gac, M. Ganzin et Jean-Alfred Gaillard] Fig. 1. Frottis de rate de souris, coloration au May-Grunewald Giemsa. Dans les trois premières photographies, on constate que les rickettsies n'ont pas pénétré dans les cellules. Elles cultivent en surface ou à un pôle, comme si la cellule était déjà « occupée » par un parasite invisible. Dans la 4e photo cette résistance est vaincue et le développement rickettsien s'effectue normalement
- Identifiant
- ark:/13685/bspex1952/0332