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Numerabilis


0377 - Page 375 - N° 19. 9 mai 1846. Revue médico-judiciaire. I. Médecine légale. Assassinat par asphyxie ou suffocation, suivi de submmersion, sans traces extérieures. La mort par suffocation peut-elle être opérée par une main criminelle sans laisser de traces à l'extérieur ? Réponse affirmative des experts. Assassinat par strangulation, méconnu à un premier examen et constaté trente-quatre jours après la mort, par l'existence d'une fracture de l'os hyoïde et du cartillage tyroïde. Assassinat par strangulation ; détermination, d'après les signes cadavériques, de l'heure à laquelle l'assassinat avait du être consommé. des aliments pris quatre heures avant la mort peuvent-ils laisser des traces capables d'en faire reconnaitre la nature ?

Fait partie de Gazette médicale de Paris : journal de médecine et des sciences accessoires, 1846, série 3, n°1

Titre
0377 - Page 375 - N° 19. 9 mai 1846. Revue médico-judiciaire. I. Médecine légale. Assassinat par asphyxie ou suffocation, suivi de submmersion, sans traces extérieures. La mort par suffocation peut-elle être opérée par une main criminelle sans laisser de traces à l'extérieur ? Réponse affirmative des experts. Assassinat par strangulation, méconnu à un premier examen et constaté trente-quatre jours après la mort, par l'existence d'une fracture de l'os hyoïde et du cartillage tyroïde. Assassinat par strangulation ; détermination, d'après les signes cadavériques, de l'heure à laquelle l'assassinat avait du être consommé. des aliments pris quatre heures avant la mort peuvent-ils laisser des traces capables d'en faire reconnaitre la nature ?
Identifiant
ark:/13685/90182x1846x01/0377