- Classe de ressource
- Image
-
Identifiant
-
ark:/13685/med100000x1922xannexesx1294
-
Titre
-
Fig. 4. Profil. A) on retrouve le gros trait sombre qui représente la surface articulaire tibiale. On reconnaît la malléole postérieure M. P. (plus basse que le bord antérieur), et la malléole interne M. I. bigéminée. B) on comprend toute l'importance de la malléole postérieure qui, formant taquet d'arrêt, empêche l'astragale de s'énucléer en arrière pendant la marche. L'interligne articulaire a sensiblement partout la même largeur. C) il faut reconnaître, à travers le massif tibio-astragalien, l'ombre du péroné (qui est évidemment plus nette lors d'un profil externe, c'est-à-dire le péroné étant en contact de la plaque). Suivre les contours de la malléole postérieure pour déceler une encoche, une irrégularité : signe de fracture. La malléole interne est parfois difficilement visible dans sa moitié postérieure / Fig. 5. Formes les plus courantes de fractures malléolaires (Collect. pers)
-
Date de création
-
1922
-
Couverture temporelle
-
XXe siècle
-
Propriétaire
-
Université Paris Cité. BIU Santé Médecine
-
Droits
-
BIU Santé