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Identifiant
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ark:/13685/med111502x1940x116_118x0301
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Titre
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Fig. 1 L'apparition dans l'arsenal thérapeutique de médicaments huileux ou en pommades ne fut guère un progrès ; leur instillation a les mêmes inconvénients que la méthode précédente : huiles ou pommades glissent sans s'étaler sur le plancher inférieur des fosses nasales et tombent dans la gorge / Fig. 2 Les pulvérisations faites avec des appareils spéciaux, sont plus rationnelles au premier abord ; mais, en pratique, les fines gouttelettes pulvérisées se heurtent aux méats gonflés qui obstruent la lumière des fosses nasales ; elles s'y condensent et retombent aussi dans la gorge sans atteindre cornets et sinus / Fig. 3 La rhinalation, par contre, la dernière venue, constitue un sérieux progrès. Un produit décongestif volatil, la désoxynoréphédrine, imbibe une cartouche logée dans un petit inhalateur en bakélite perforé aux deux extrémités (rhinalator). L'insipration par l'un des orifices provoque, traversant l'inhalateur, un courant d'air qui se charge à sec de vapeurs de désoxynoréphédrine / Fig. 4 - Coupe d'un rhinalator
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Date de création
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1940
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Couverture temporelle
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XXe siècle
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Propriétaire
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Université Paris Cité. BIU Santé Médecine
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Droits
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BIU Santé