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Identifiant
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ark:/13685/med111502x1932x83x0250
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Titre
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Fig. 1 Au début de l'excitation de ce point P, cette portion du muscle entre en activité, devient par conséquent électriquement négative et donne une ligne a dirigée vers en haut / Fig. 2 Quand l'activité musculaire abandonnant la région P passe vers D, le sens du courant se renverse et la courbe prend la direction opposée à la première, elle descend : a' / Fig. 3 On a ainsi deux phases, deux courbes de direction opposées, constituant une courbe diphasique / Fig. 4 Entre ces deux phases, se place, pendant un court instant, un stade d'isoélectricité qui correspond à l'entrée en activité de tout le segment musculaire et manifeste un stade pendant lequel il n'y a plus production de courant ; sur la courbe, ce moment s'inscrit sous forme d'une courte ligne bb', interposée entre la courbe ascendante et la courbe descendante / Fig. 5 Si la contraction se propage non plus de P en D, le courant se renverse et l'on a une courbe diphasique dont la direction est opposée à celle de la précédente / Fig. 6 De même si l'on porte l'excitation en un point du faisceau musculaire également distant de P et de D (C), les ondes d'excitation et de contraction se propagent à la même vitesse vers P et vers D ; les deux effets se neutralisent ; il n'y a pas de courbe / Fig. 7 et Fig. 8 L'amplitude de la courbe est directement proportionnelle à l'intervalle de temps qui s'étend entre la réception de l'excitation électrique sous et l'autre contacts
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Date de création
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1932
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Couverture temporelle
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XXe siècle
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Propriétaire
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Université Paris Cité. BIU Santé Médecine
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Droits
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BIU Santé