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Numerabilis


Fornacciari, François-Charles (1814 - ?)

Classe de ressource
Person
  • INFORMATIONS GÉNÉRALES
  • EN SAVOIR PLUS
Nom complet
Fornacciari, François-Charles (1814 - ?)
Date de naissance
9 février 1814
Lieu de naissance
Les Quatre Châteaux (duché de Modane) (Italie)
Informations biographiques
Nom: Fornacciari, François Charles
Naissance: 09/02/1814 à Les Quatre Châteaux (duché de Modane) (Italie)

[Cursus scolaire]
Doctorat de médecine obtenu en 1845, à l'âge de 31 ans.
Baccalauréat et inscriptions à la Faculté de Médecine de Paris : dispensé des frais en 1839, baccalauréat ès sciences Paris 1842, 4 remises d'inscriptions allouées en 1835 et 4 en 1844 pour études à Paris
Etudes antérieures : 8 inscriptions gratuites à Montpellier en 1835

[Cette fiche est extraite du corpus des étudiants étrangers]
Nom: Fornacchiari, François-Charles
Naissance: 09/02/1814

[Italien]

Né le 9 février 1814 aux Quatre Châteaux (Duché de Modène), François-Charles Fornacciari bénéficia d’une dispense des frais en 1839 et obtint le baccalauréat ès sciences à Paris en 1842. Auparavant quatre remises d’inscriptions lui furent allouées en 1835 et quatre en 1844 pour études à Paris. Mais il eut aussi huit inscriptions gratuites à Montpellier en 1835. F-C Fornacciari présenta et soutint sa thèse à la faculté de médecine de Paris le 22 août 1845, à propos «De la paralysie Générale des aliénés» (BIU Santé, Paris, 1845, n° 161, 29 p.). Le jury était présidé par le professeur Duméril, entouré du professeur Moreau et des Drs. Denonvilliers et Marchal, Agrégés, examinateurs. Il était ancien interne de l’asile des aliénés de Dijon. L’impétrant dédia les résultats de cette étude à ses maîtres, principalement «le Dr. Jean-Pierre Falret», aliéniste, médecin en chef des hôpitaux de Paris, membre de l’Académie de médecine et de l’ordre de la Légion d’Honneur. Falret dirigeait aussi avec Felix Voisin la «Maison de Santé de Vanves» depuis 1822. Le Dr. F-C Fornacchiari souligna la terminologie employée par son maître: «débilité spasmodique, plutôt que paralysie générale… car les malades peuvent faire des mouvements assez étendus et précis…» (cours de Clinique de J-P Falret).