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Numerabilis


Pergola, Frédéric (1874 - ?)

Classe de ressource
Person
  • INFORMATIONS GÉNÉRALES
  • EN SAVOIR PLUS
Nom complet
Pergola, Frédéric (1874 - ?)
Date de naissance
10 septembre 1874
Lieu de naissance
Djidjeli (Constantine) (Algérie)
Informations biographiques
Nom: Pergola, Frédéric
Naissance: 10/09/1874 à Djidjeli (Constantine) (Algérie)

[Cursus scolaire]
Doctorat de médecine obtenu en 1903, à l'âge de 29 ans.
Baccalauréat et inscriptions à la Faculté de Médecine de Paris : 4 inscriptions 1901-1902
Durée des études à Paris : 1 an
Etudes antérieures : baccalauréat lettres-philosophie à Alger en 1895, certificat d'études physiques, chimiques et naturelles à Rouen en 1898, 12 inscriptions à Rouen (4e trimestre 1898-3e trimestre 1901)
remise des droits afférents à la thèse en 1903 à 240 francs

[Cette fiche est extraite du corpus des étudiants nés dans les colonies]
Nom: Pergola, Frédéric
Naissance: 1874 à Djidjelli

Né le 10 septembre 1874 à Djidjeli, port à l’est d’Alger entre Bougie et Philippeville, Frédéric Pergola a fait ses études de médecine à l’Ecole de Rouen, avant de venir dans la capitale. Il a soutenu sa thèse de doctorat à la faculté de Paris le 02 juillet 1903, à propos « De la mort rapide et imprévue dans les rétrécissements cancéreux de l’intestin. Symptomatologie, pathogénie des accidents et critique médico-légale » (bius, Paris, 1903, n° 407, 75 p.). Il était « licencié en droit ». Le professeur Brouardel présidait le jury, entouré de ses collègues Dieulafoy et Hutinel, et du Dr. Troisier, Agrégé. A partir d’une observation médico-légale, concernant un patient atteint d’un cancer de l’S iliaque à évolution latente et mort en 24 heures, l’auteur a expliqué que cette affection peut provoquer des accidents aigus, entraînant la mort en quelques heures. Le plus souvent le diagnostic clinique n’a pas pu être fait. Il s’agit d’une intoxication bulbaire d’origine intestinale. L’hypothèse d’un trauma abdominal ou d’une intoxication peuvent motiver l’intervention judiciaire. Les difficultés ne manquent pas pour le médecin légiste. Son retour en Algérie pour exercer reste une simple hypothèse.