- Classe de ressource
- Person
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Nom complet
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Lesonneur, Julien (1849 - ?)
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Date de naissance
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23 mai 1849
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Lieu de naissance
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Alger (Algérie)
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Informations biographiques
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Nom: Lesonneur, Julien
Naissance: 23/05/1849 à Alger (Algérie)
[Cursus scolaire]
Doctorat de médecine obtenu en 1874, à l'âge de 25 ans.
Baccalauréat et inscriptions à la Faculté de Médecine de Paris : 4 inscriptions 1871-1872
Durée des études à Paris : 1 an
Etudes antérieures : baccalauréat ès lettres à Alger en 1867 et ès sciences restreint à Rouen en 1868, 12 inscriptions allouées pour 14 inscriptions à Rouen (novembre 1869 - janvier 1871)
Internat / externat : interne à Rouen en 1870
[Informations complémentaires]
en 1899, installé à Oran
[Cette fiche est extraite du corpus des étudiants nés dans les colonies]
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Nom: Lesonneur, Julien
Naissance: 1849 à Alger
Né le 23 mai 1849 à Alger, Julien Lesonneur a fait une grande partie de ses études de médecine à l’Ecole de Rouen, avant de venit à Paris, où il a soutenu sa thèse pour l’obtention du doctorat le 19 juin 1874, présentant sa « Contribution à l’étude de la forme sèche et des récidives de la péricardite » (bius, Paris, 1874, n° 246, t 10, 64 p.). Il était « ex-Interne en médecine et chirurgie des hôpitaux de Rouen et Externe des Hôpitaux de Paris, ex-prosecteur d’anatomie de l’Ecole de médecine de Rouen, lauréat de cette même ville, Prix H. Pillore (médaille d’argent 1871- médaille d’or, 1000 fr 1872 »). Il avait dédié son travail à ses maîtres de Rouen et « à M. A. Flaubert, professeur de clinique chirurgicale à l’Ecole de médecine, chirurgien en chef de l’Hôtel-Dieu (père de Gustave, l’écrivain) ». Le jury était composé du professeur Lorain, président, entouré du professeur Depaul et des Drs. Lecorche et Isambert, Agrégés. Une série de vingt trois observations lui a permis de conclure : une seule forme de péricardite avec fausses membranes molles, gélatineuses, sans exsudat a été rencontrée. Elle est toujours secondaire dans les affections graves, touchant les appareils respiratoires et cardiaques. L’auscultation seule permet de percevoir le frottement péricardique. Le pronostic est grave et sa récidive aussi. Il faut combattre l’adynamie cardiaque. Le fichier de P. Moulinier indique qu’il était installé à Oran en 1899. L’annuaire Roubaud de 1881 le mentionne déjà.
