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Numerabilis


Honsz, Louis Edouard Aimé (1860 - ?)

Classe de ressource
Person
  • INFORMATIONS GÉNÉRALES
  • EN SAVOIR PLUS
Nom complet
Honsz, Louis Edouard Aimé (1860 - ?)
Date de naissance
2 janvier 1860
Lieu de naissance
Alger (Algérie)
Informations biographiques
Nom: Honsz, Louis Edouard Aimé
Naissance: 02/01/1860 à Alger (Algérie)

[Cursus scolaire]
Doctorat de médecine obtenu en 1883, à l'âge de 23 ans.
Baccalauréat et inscriptions à la Faculté de Médecine de Paris : 2 inscriptions en 1882
Durée des études à Paris : 1 an
Etudes antérieures : baccalauréat ès lettres à Aix en 1877 et ès sciences à Alger en 1880, 14 inscriptions à Alger (novembre 1877 - janvier 1881)
Parents : père négociant à Alger
Correspondant : M. Henriet, chef de clinique médicale, 14 rue de Beaune

[Cette fiche est extraite du corpus des étudiants nés dans les colonies]
Nom: Honsz, Louis-A-Edo
Naissance: 1860 à Alger

Né le 02 janvier 1860 à Alger, L. A Edouard Honsz a fait ses études médecine à l’Ecole de sa ville natale, avant de venir à Paris la dernière année. Il a soutenu sa thèse le 18 juillet 1883, rapportant « Quelques points cliniques du paludisme en Algérie , influence, rapports du paludisme avec quelques maladies médicales» (bius, Paris, 1883, n° 327, 64 p.). Il était « lauréat de l’Ecole de médecine, préparateur de physiologie à l’Ecole supérieure des Sciences, Ancien externe (concours 1878), Interne lauréat des hôpitaux d’Alger (Concours 1879 et 1880), Médaille Poisson 1881 ». Le professeur Verneuil était président du jury, qui comptait le professeur Trélat et les Drs. Rendu et Pozzi, Agrégés. A partir des 87 malades paludiques observés à l’hôpital civil d’Alger durant son Internat, l’impétrant a noté qu’il n’y avait pas d’incubation. Le début se manifestait par des accès thermiques intermittents. L’immunité est relative pour le nouvel arrivé et l’indigène. L’accès survient plutôt en décembre, chez la femme plus que chez l’homme, dans la seconde moitié du jour principalement. Il y a quelques accidents respiratoires et digestifs. Il y a récidive au sixième, septième jour après l’arrêt de la quinine. Trois accès pernicieux seulement ont été observas. Son lieu d’exercice n’a pas été retrouvé.