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Barrois d'Entremont, Jean Baptiste (1819 - ?)

Classe de ressource
Person
  • INFORMATIONS GÉNÉRALES
  • EN SAVOIR PLUS
Nom complet
Barrois d'Entremont, Jean Baptiste (1819 - ?)
Date de naissance
15 février 1819
Lieu de naissance
Saint Paul (Ile Bourbon)
Informations biographiques
Nom: Barrois d'Entremont, Jean Baptiste
Naissance: 15/02/1819 à Saint Paul (Ile Bourbon)

[Cursus scolaire]
Doctorat de médecine obtenu en 1845, à l'âge de 26 ans.
Baccalauréat et inscriptions à la Faculté de Médecine de Paris : baccalauréat ès sciences à Paris en 1838, 4 trimestres 1837-1838, 2 remises d'inscriptions allouées en 1842 pour études à Paris
Durée des études à Paris : 1 an
Etudes antérieures : baccalauréat ès lettres à Rennes en 1837

[Cette fiche est extraite du corpus des étudiants nés dans les colonies]
Nom: Barrois d'Entremont, Jean-Baptiste
Naissance: 1819 à Ile Bourbon

Né le 15 janvier 1819 à Saint-Paul, Ile Bourbon, Jean-Baptiste Barrois d’Entremont, après Rennes, vint à Paris et soutint sa thèse à la faculté de médecine le 25 août 1845, à propos « des accidents qui peuvent survenir pendant les opérations » (BIU santé, Paris, 1845, n°172, 43 p.). Le professeur Moreau présidait le jury composé de son collègue J. Cloquet et des Drs. Nélaton et A. Tardieu, Agrégés. Le professeur Orfila était doyen. L’impétrant a précisé qu’  « on entend par accidents pendant une opération, les évènements insolites et imprévus qui font plus ou moins exception aux conditions ordinaires et qui réclament par conséquent une attention spéciale et des précautions particulières… ». A l’aide de plusieurs observations, il n’élude pas les fautes de l’opérateur : étourderie, ignorance, précipitation ou lenteur du chirurgien.., durée de l’intervention supérieure à 1h.30, faute des aides, faute de l’opéré qui fait un mouvement brusque…La syncope tient une place à part : le traitement repose, selon le Dr. Barrois, sur « la position horizontale, le libre de l’accès de l’air autour de l’opéré, la surprise au moyen de l’eau froide projetée sur le visage…ou coucher le malade sur le marbre ou la pierre froide… ». Son lieu d’exercice n’a pas été identifié.