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Numerabilis


Mingopolu, Michel (1868 - ?)

Classe de ressource
Person
  • INFORMATIONS GÉNÉRALES
  • EN SAVOIR PLUS
Nom complet
Mingopolu, Michel (1868 - ?)
Variante(s) du nom
Mingopoulo, Michel
Type
Variante
Date de naissance
23 juillet 1868
Lieu de naissance
Bucarest (Roumanie)
Informations biographiques
Nom: Mingopolu ou Mingopoulo, Michel
Naissance: 23/07/1868 à Bucarest (Roumanie)

[Cursus scolaire]
Doctorat de médecine obtenu en 1899, à l'âge de 31 ans.
Baccalauréat et inscriptions à la Faculté de Médecine de Paris : équivalence des baccalauréats en 1888, 16 inscriptions 1888-1895
Durée des études à Paris : 7 ans
Parents : père propriétaire à Bucarest

[Cette fiche est extraite du corpus des étudiants étrangers]
Nom: Mingopoulo, Michel
Naissance: 28/07/1868 à Bucarest

Né à Bucarest le 28 juillet 1868, Michel-Z. Mingopoulo a soutenu sa thèse à la faculté de médecine de Paris le 12 juillet 1899, à propos d’un « Essai sur les complications générales de l’infection gonococcique » (BIU Santé, Paris, 1899, n° 509, 71 p.). Le doyen de la faculté était le professeur Brouardel. Le jury fut présidé par le professeur Fournier, entouré du Pr. Blanchard et des Drs. Gley et Gaucher, Agrégés. L’impétrant avait eu comme maîtres Le Dentu, Tillaux et Jaccoud. Après un rappel sur la blennorragie et le gonocoque de Neisser, il a expliqué en quoi cette maladie était générale ou capable de la devenir, l’agent responsable étant transporté par voie sanguine. D’où il a décrit le rhumatisme blennorragique, avec analyse du liquide, selon Sée et Rendu (quatre observations). Le Dr. Mingopoulo a illustré ensuite les synovites tendineuses et hygromas particuliers à cette affection. Une observation est venue à l’appui des complications touchant le tissu conjonctif et le système lymphatique. Celles atteignant les grandes séreuses étaient moins fréquentes : péritonite, pleurésie, méningites, l’appareil circulatoire (phlébites, cœur et péricarde selon la thèse de Germain Sée à Paris en 1896). Il a mentionné enfin les névrites optiques décrites par son compatriote le professeur Panas, chef de service d’Ophtalmologie à l’Hôtel-Dieu.