Identifiant

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Titre

La fièvre ou affection typhoïde et l'inflammation de la fin de l'iléon sont-elles deux maladies distinctes ?

Créateur

Valleix, F.-L.-I.

Date

1838

Éditeur

Paris : Imprimerie de Moquet et Compagnie

Siècle

XIXe siècle

Format

Nombre de vues : 44

Notes

Concours pour l'agrégation. Section de médecine

Cote du document

90975

Licence

Licence Ouverte

Univers Numerabilis

Médecine

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Manifeste IIIF

https://numerabilis.u-pariscite.fr/iiif-presentation/3/item/226142/manifest

Table des matières

0001 - Page sans numérotation - [Page de titre]

0002 - Page sans numérotation - Juges du concours / Concurrents

0003 - Page sans numérotation - Avant-propos

0005 - Page 5 - Thèse sur cette question : la fièvre ou affection typhoïde et l'inflammation de la fin de l'iléon sont-elles deux maladies distinctes ?

0007 - Page 7 - Art. Ier. La fièvre ou affection typhoïde est-elle une maladie tout-à-fait distincte de l'entérite aiguë ou chronique, simple ou compliquée ; ou bien n'est-elle que cette phlegmasie exaspérée ?

0008 - Page 8 - 1er. Anatomie pathologique

0009 - Page 9 - 1° Etat de l'intestin dans la fièvre typhoïde

0014 - Page 14 - 2° Etat de l'intestin dans l'entérite aiguë

0017 - Page 17 - 3° Etat de l'intestin dans l'entérite chronique / 4° Entérité des nouveau-nés

0020 - Page 20 - 5° Etat des ganglions mésentériques dans la fièvre typhoïde

0021 - Page 21 - 6° Etat du mésentère dans l'entérite aiguë ou chronique

0022 - Page 22 - 7° Etat de la rate dans l'affection typhoïde / 8° Etat de la rate dans l'entérite aiguë ou chronique

0023 - Page 23 - 9° Parallèle de la fièvre typhoide et de l'entérite sous le rapport des lésions anatomiques non encore mentionnées

0024 - Page 24 - 2. Symptômes

0026 - Page 26 - 1° Invasion / 2° Comparaison des symptômes

0030 - Page 30 - 3. Marche, durée et terminaison des deux maladies

0033 - Page 33 - Etiologie des deux maladies

0034 - Page 34 - Influence de l'âge

0037 - Page 37 - Action du traitement sur les deux maladies / Art. II. Les deux affection étant reconnues distinctes, doit-on faire consister toute leur différence dans la spécialité de l'une d'elles, ou doit-on en admettre une plus grande encore ?

0044 - Page 44 - Conclusions