La Recherche de la vérité dans la médecine et les découvertes qui en ont été...
- Collections
- Littérature médicale en français de 1601 à 1700
- Classe de ressource
- Monographie
- DESCRIPTION
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- PARCOURIR
- Identifiant
- ark:/13685/71510
- Titre
- La Recherche de la vérité dans la médecine et les découvertes qui en ont été faites par diverses expériences et observations nouvelles, contenant 6 traités où l'on fait voir les abus et les erreurs quis'y sont introduites avec les moyens de s'en défendre et pour découvrir la vérité de cette science...
- Créateur
- Gagnon, F. A. D.
- Date
- 1697
- Éditeur
- Paris : chez Jean de Nully
- Siècle
- XVIIe siècle
- Format
- Nombre de vues : 188
- Cote du document
- 71510
- Licence
- Licence Ouverte
- Univers Numerabilis
- Médecine
- Identifiant SUDOC
- Notice dans le Sudoc
- Table des matières
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0001 - Page sans numérotation - [Plat]
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0002 - Page sans numérotation - [Contreplat]
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0005 - Page sans numérotation - [Page de titre]
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0006 - Page sans numérotation - Dessein de cet ouvrage
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0007 - Page sans numérotation - A Monseigneur De la Fond, Chevalier Seigneur de la Beuvriere, de la Ferté Gilbert le Mazy, &c. Conseiller du Roy en ses Conseils d'Etat & Privé, Maistre des Requestes ordinaire de son Hostel, Intendant de Justice, Police & Finances en Franche-Comté
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0011 - Page sans numérotation - Approbation / Extrait du Privilege du Roy
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0013 - Page 1 - La recherche de la verité dans la Medecine, et les découvertes qui on ont esté faites suivant diverses experience & observations nouvelles
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0019 - Page 7 - Qu'y ayant une veritable & une fausse Medecine établie dans le monde, l'un des meilleurs moyens pour en découvrir la verité, c'est de reconnoître les abus & les erreurs qui s'y sont introduites, afin de pouvoir les éviter
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0029 - Page 17 - Observations sur les abus qui se commettent dans l'usage de la Medecine, tant par les Medecins que par les malades, & par d'autres personnes particulieres
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0031 - Page 19 - I. Observation ou I. abus. La rareté des bons Medecins, & le grand nombre de ceux qui abusent de leur profession
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0036 - Page 24 - II. L'ignorance de la plupart des Medecins paroist évidente dans la diversité de leurs sentimens, jointe à l'uniformité de leur pratique
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0039 - Page 27 - III. Le peu de secours que l'on tire de la Medecine, vient de ce qu'on ne s'adresse pas à ceux qui en possedent la veritable science
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0047 - Page 35 - IV. Le peu de progrés que l'on fait dans la science de la Medecine, vient de ce que les Medecins ne cherchant que leurs propres interests, refutent de conferer sur les maladies avec toutes sortes de Medecins
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0049 - Page 37 - V. Il y a bien des gens qui perissent pour ne vouloir pas changer leur Medecin par la trop grande consideration qu'ils ont pour eux
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0058 - Page 46 - VI. L'une des grandes causes pour lesquelles la verité de la Medecine n'est pas bien connuë, c'est que l'on fait souvent accroire aux Medecins que l'on fait tout ce qu'ils disent, quoy que l'on fasse tout le contraire
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0059 - Page 47 - VII. La mort de plusieurs malades vient fort souvent de leur legereté à changer mal à propos de Medecins, ou de ne pas suivre exactement ce qu'ils ont prescrit
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0064 - Page 52 - VIII. Il ne faut pas appeller, comme l'on fait mal à propos, plusieurs Medecins hors des temps de consultation
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0065 - Page 53 - IX. L'on rend inutiles les consultations de Medecins. Quand & comment il les faut faire
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0068 - Page 56 - X. Il est à propos que par le moyen de ce petit Ouvrage, l'on apprenne mieux qu'on ne fait, ce qu'il faut qu'on sçache de la Medecine, pour se défendre des erreurs qui s'y sont introduites
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0070 - Page 58 - XI. Il ne faut pas par la maniere de reconoître les soins des Medecins, leur donner occasion de chercher leurs propres interests au préjudice de celuy de leurs malades
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0073 - Page 61 - XII. Les fâcheux évenemens des maladies viennent souvent par la faute des malades, & l'on en accuse trop facilement les Medecins
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0076 - Page 64 - XIII. En matiere de maladie, sur tout en danger de mort, il ne faut jamais se fier qu'aux Medecins
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0082 - Page 70 - Observations sur les Erreurs generales qui se font introduites dans la pratique de la Medecine. I. Observation ou I. Erreur. L'on traite mal à propos les maladies suivant leur dénomination, au lieu de les traiter suivant leur nature ou leur cause essentielle
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0086 - Page 74 - II. Contre la raison, aussi-bien que contre l'autorité d'Hypocrate, l'on ordonne des évacuations contre les mouvemens de la nature
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0087 - Page 75 - III. Le choix des remedes pour le traitement des maladies, ne doit pas estre fait sur la connoissance des temperamens
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0089 - Page 77 - IV. L'on ne considere pas ce qu'il faut observer dans les épreuves, & l'on les confond mal à propos
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0091 - Page 79 - V. Il n'est pas vray que le sang puisse se corrompre dans ses vaisseaux, si ce n'est à la mort
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0096 - Page 84 - VI. La purification des corps dépend uniquement de la digestion des humeurs, qui est un ouvrage de la nature, & non pas des lavages que l'on a coutume de faire prendre aux malades
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0098 - Page 86 - VII. Pour faire une parfaite évacuation des humeurs, il faut les prendre dans leurs mouvemens, & non pas dans leur repos, pourvu qu'elles soient dans les voyes de l'évacuation
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0102 - Page 90 - VIII. La coutume que l'on a dans l'usage de la Medecine de s'arrêter aux apparences, sans penetrer les raisons de leur manifestation, est la principale cause pour laquelle on y fait des conjectures tres incertaines
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0104 - Page 92 - IX. Quoy que dans la Medecine tout le bon succés des remedes dépende des forces de la nature, la methode la plus commune qu'on y tient est d'aller à leur destruction
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0106 - Page 94 - X. S'il y a des Medecins qui n'osent faire des pronostiques, ny prédire les accidens & les évenemens des maladies, c'est parce qu'ils ignorent les causes, & qu'ils ne vont qu'à tâtons dans leur traitement
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0108 - Page 96 - XI. L'on confond la maladie avec le mal qu'on en ressent, quoy que ce soit deux choses fort differentes
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0112 - Page 100 - XII. Contre les loix des Princes de la Medecine, & contre la veritable Philosophie, l'on fait consister les causes des maladies dans le chaud, dans le froid, & dans les autres premieres qualitez des choses
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0114 - Page 102 - XIII. Il n'est pas vray que les chaleurs fâcheuses & étrangeres proviennent d'un principe étranger; mais pour toutes sortes de chaleurs il ne peut point y avoir d'autre principe que celuy de la vie
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0118 - Page 106 - XIV. Dans la Medecine l'on se contente de satisfaire sa curiosité sur la connoissance de la figure des simples, sans passer à la recherche de leurs vertus, & mal à propos l'on se fit trop, & aveuglément à ce qu'en ont écrit les Auteurs
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0119 - Page 107 - XV. Tous les temperamens estant differens, & la maniere de vivre regardant uniquement le temperament, l'on donne sans raison des regles generales & determinées sur les regimes dans la Medecine
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0121 - Page 109 - Observations sur les erreurs particulieres qui se sont introduites dans l'usage de la Medecine touchant diverses maladies. I. Touchant la fievre
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0135 - Page 123 - II. Touchant la chaleur fascheuse que l'on ressent sans qu'il y ait de la fièvre
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0137 - Page 125 - III. Touchant les maux d'yeux inveterez
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0142 - Page 130 - IV. Touchant les douleurs de dents
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0146 - Page 134 - V. Touchant les maux de gorge
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0147 - Page 135 - VI. Touchant la pleuresie
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0150 - Page 138 - VII. Touchant les coliques qui proviennent de vents & d'humeurs, ou de la difficulté du cours qui est particulier au sexe
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0152 - Page 140 - VIII. Touchant les vents & les vapeurs
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0154 - Page 142 - IX. Touchant l'hydropisie
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0158 - Page 146 - X. Touchant les devoyemens
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0162 - Page 150 - XI. Touchant la suppression du cours particulier au sexe
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0165 - Page 153 - XII. Touchant les maux veneriens
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0166 - Page 154 - XIII. Touchant la pierre & la gravelle, & les accidens qui en proviennent, qui sont les coliques nephretiques, les difficultez d'urine, & le pissement de sang
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0169 - Page 157 - XIV. Touchant les fièvres de langueur, l'apoplexie, & toutes les maladies habituelles, & periodiques
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0172 - Page 160 - XVI. Touchant les hemorrhagies du nez, & autres qui viennent par l'ouverture des vaisseaux interieurs
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0175 - Page 163 - XVII. Touchant les hémorrhagies exterieures des playes
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0177 - Page 165 - XVIII. Touchant les playes exterieures & nouvelles
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0178 - Page 166 - XIX. Touchant les vieilles fistules, & autres vieux ulceres exterieurs
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0180 - Page 168 - XX. Touchant les impuretez de la peau
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0181 - Page 169 - XXI. Touchant les maladies contre lesquelles on a tenté inutilement des remedes, & qui ont reduit les malades à l'extrêmité
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0187 - Page sans numérotation - [Contreplat]
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0188 - Page sans numérotation - [Plat]