Identifiant

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Titre

Traité de la longue vie dans lequel par des principes nouveaux de médecine, on donne des moyens certains pour conserver long tems la vie. A Zoïphile...

Créateur

A. D.

Date

1698

Éditeur

Roue : A Paris chez Nicolas Couterot

Siècle

XVIIe siècle

Format

Nombre de vues : 406

Cote du document

88497

Licence

Licence Ouverte

Univers Numerabilis

Médecine

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Identifiant SUDOC

Notice dans le Sudoc

Manifeste IIIF

https://numerabilis.u-pariscite.fr/iiif-presentation/3/item/216980/manifest

Table des matières

0001 - Page sans numérotation - [Plat]

0002 - Page sans numérotation - [Contreplat]

0005 - Page sans numérotation - [Page de titre]

0007 - Page sans numérotation - Au Dieu de l'Univers

0012 - Page sans numérotation - Le secret de la longue vie. Explication

0013 - Page sans numérotation - Au Lecteur

0021 - Page sans numérotation - Argument du Traité de la longue vie

0029 - Page sans numérotation - Table des Chapitres

0032 - Page sans numérotation - Jugement de Monsieur Bourdelot Médecin, touchant le Traité de la longue vie

0033 - Page sans numérotation - Privilege du Roy

0036 - Page sans numérotation - Errata

0037 - Page 1 - Traité de la longue vie. Chapitre premier. De l'excellence de la vie

0051 - Page 15 - Chapitre II. Que le perte de la vie est causée par le peché; Que nonobstant le peché il semble que l'homme ne devroit point mourir; Raisons qui le font voir; Réponses à ces raisons; Pourquoy il est sujet à la mort: Quoy qu'il y soit sujet, il peut vivre long-tems: Catalogue de quelques personnes, depuis le déluge, qui ont long-tems vécu

0084 - Page 48 - Chapitre III. Que les corps vivans ne vivent pas par eux-mêmes, mais par quelque chose de spirituel, qui est leur ame

0105 - Page 69 - Chapitre IV. Que l'ame anime les parties solides & grossieres du corps par le moyen des subtiles & tenuës

0113 - Page 77 - Chapitre V. Des dispositions que l'ame desire dans la matiere de son corps pour l'animer

0136 - Page 100 - Chapitre VI. De la substance moyenne, ou de l'humide conjoignant, ce que c'est, & de la necessité pour la longue vie

0155 - Page 119 - Chapitre VII. De al necessité des esprits, tant dans le grand, que dans le petit monde

0198 - Page 162 - Chapitre VIII. De l'homoiose, ou assimilation; ce que c'est, qu'elle est necessaire pour la longue vie

0225 - Page 189 - Chapitre IX. Que le fruit de vie, qui étoit aliment & remede tout ensemble, reparoit la substance moyenne, maintenoit la vertu homototique ou assimilative, & chassoit toute maladie. Comme il faut entendre ce que l'on dit communement, que si Adam n'eut point péché, l'homme ne fut point mort

0250 - Page 214 - Chapitre X. Que le fruit de vie a un succedanée ou lieutenant, & que le succedanée ou lieutenant du fruit de vie, a quelque chose des vertus du fruit de vie

0284 - Page 248 - Chapitre XI. Dieu avoit établi la Medecine dans aliment. La Medecine doit être alimenteuse. La maxime qui dit que les semblables doivent être gueris par les semblables, doit être admise; & celle qui dit que les contraires doivent être gueris par les contraires, doit être rejettée

0382 - Page 346 - Chapitre XII. Conclusion; Dans laquelle, pour avoir la longue vie, on exhorte à la bonne vie

0405 - Page sans numérotation - [Contreplat]

0406 - Page sans numérotation - [Plat]