Apologie ou defense pour la saignee contre ses calumniateurs
- Collections
- Littérature médicale en français de 1601 à 1700
- Classe de ressource
- Monographie
- DESCRIPTION
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- PARCOURIR
- Identifiant
- ark:/13685/32433
- Titre
- Apologie ou defense pour la saignee contre ses calumniateurs
- Créateur
- Bachot, Estienne
- Date
- 1646
- Éditeur
- Paris : Sébastien Cramoisy
- Siècle
- XVIIe siècle
- Format
- Nombre de vues : 196
- Cote du document
- 32433
- Licence
- Licence Ouverte
- Univers Numerabilis
- Médecine
- Sur l'auteur
- Bachot, Estienne
- Identifiant SUDOC
- Notice dans le Sudoc
- Table des matières
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0001 - Page sans numérotation - [Page de titre]
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0003 - Page sans numérotation - A la tres-ancienne, tres-docte, et tres celebre Faculté de Medecine de Paris
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0012 - Page sans numérotation - Docteurs en Medecine de la celebre Faculté de Paris, en l'an 1646
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0016 - Page sans numérotation - Extraict du Priuilege du Roy
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0017 - Page 1 - La defense pour la saignée. Preface
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0032 - Page 16 - De l'homme & de ses principes. Chapitre I
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0043 - Page 27 - De la refutation des trois pretendus principes, sel, soulphre, & mercure, & de son esprit de vie. Chapitre II
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0057 - Page 41 - Des quatre humeurs du corps humain. Chapitre III
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0069 - Page 53 - De la saignée. Chapitre IV
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0081 - Page 65 - De la definition, & indication ou motif de la saignée. Chapitre V
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0093 - Page 77 - Des fins ou intentions de la saignée. Chapitre VI
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0105 - Page 89 - Refutation des raisons que l'autheur de l'examen allegue contre la saignée. Chapitre VII
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0128 - Page 112 - Examen des passages de l'examen contre l'usage de la saignée. Chapitre VIII
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0149 - Page 133 - Des aduantages que la saignée a par dessus la purgation. Chapitre IX
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0161 - Page 145 - Que la saignée est un remede singulier pour les fieures continues. Chapitre X
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0170 - Page 154 - S'il est bon de saigner aux fieures intermittentes. Chapitre XI
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0177 - Page 161 - S'il faut saigner aux maladies froides. Chapitre XII
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0185 - Page 169 - S'il faut saigner aux maladies contagieuses & malignes, comme la peste, pourpre, ou petite verole. Chap. XIII