Nouvelle traduction des aphorismes d'Hippocrate, et commentaires spécialement applicables à la médecine dite clinique, avec...
- Collections
- Hippocrate
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- Monographie
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- Identifiant
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- Titre
- Nouvelle traduction des aphorismes d'Hippocrate, et commentaires spécialement applicables à la médecine dite clinique, avec le traité des humeurs, d'Hippocrate -- traduit du grec par M. le Chevalier de Mercy, VII e et VIII e sections. tome IV
- Date
- 1829
- Éditeur
- Paris : Béchet Jeune
- Siècle
- XIXe siècle
- Format
- Nombre de vues : 347
- Cote du document
- 33271x04
- Licence
- Licence Ouverte
- Table des matières
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0001 - Page sans numérotation - [Page de faux-titre]
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0003 - Page sans numérotation - [Page de titre]
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0005 - Page sans numérotation - Avertissement
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0017 - Page xiij - Gazette littéraire de Goetingue
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0021 - Page 269 - Commentaires sur les aphorismes d'Hippocrate. Section septième. Aphorisme premier. Dans les maladies aiguës, le refroidissement des extrémités est un mauvais signe
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0024 - Page 272 - Aphorisme II. Une chair livide sur un os malade, est de mauvais augure.
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0027 - Page 275 - Aphorisme III. Le hoqnet et la rougeur des yeux succédant au vomissement, sont des sinistres présages
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0029 - Page 277 - Aphorisme IV. Le frisson après la sueur est mauvais
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0031 - Page 279 - Aphorisme V. La dysentrie, l'hydropisie ou l'extase survenant dans la manie, sont favorables
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0035 - Page 283 - Aphorisme VI. Dans les maladies longues, le dégoût et les déjections de bile pure sont de mauvais augure
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0038 - Page 286 - Aphorisme VII. Le frisson et le délire, après des excès de boisson, sont funestes
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0040 - Page 288 - Aphorisme VIII. Lorsqu'une vomique se rompt, il en résulte une prostration subite, le vomissement et la défaillance
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0046 - Page 294 - Aphorisme IX. Dans une forte hémorrhagie, le délire ou les convulsions sont redoutables
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0048 - Page 296 - Aphorisme X. Dans l'ileus, le vomissement, le hoquet, les convulsions ou le délire sont de très-mauvais signes
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0053 - Page 301 - Aphorisme XI. La peripneumonie succédant à la pleurésie est très-grave
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0055 - Page 303 - Aphorisme XII. La phrénésie à la suite de péripneumonie est de mauvais augure
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0059 - Page 307 - Aphorisme XIII. Dans la fièvre ardente, le tétanos ou les convulsions sont de sinistres présages
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0061 - Page 309 - Aphorisme XIV. Dans les plaies de tête, la stupeur ou le délire est de mauvais augure
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0065 - Page 313 - Aphorisme XV. Le crachement de sang suivi du crachement de pus est mauvais
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0070 - Page 318 - Aphorisme XVI. Le crachement de pus suivi de diarrhée et de chute des cheveux est funeste, et, si les crachats se suppriment, la mort
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0072 - Page 320 - Aphorisme XVII. Dans l'inflammation du foie, le hoquet est mauvais
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0074 - Page 322 - Aphorisme XVIII. Dans la léthargie, le tremblement est mortel
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0076 - Page 324 - Aphorisme XIX. L'érysipèle produit par la dénudation d'un os est mauvais
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0078 - Page 326 - Aphorisme XX. La suppuration ou la putridité à la suite d'érysipèle est mauvaise
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0081 - Page 329 - Aphorisme XXI. Dans les plaies, l'hemorrhagie qui s"annonce par de vives pulsations des veines est redoutable
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0086 - Page 334 - Aphorisme XXII. La suppuration à la suite de douleurs anciennes du ventre est mauvaise
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0089 - Page 337 - Aphorisme XXIII. La dysentrie succédant à des déjections de bile pure est mauvaise
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0091 - Page 339 - Aphorisme XXIV. Dans les fractures du crâne, la stupeur ou le délire, si la plaie est pénétrante, est de mauvais augure / Aphorisme XXV. Les convulsions causées par les purgatifs sont mortelles
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0092 - Page 340 - Aphorisme XXVI. Dans les vives douleurs de ventre, le froid des extrémités est un mauvais signe
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0093 - Page 341 - Aphorisme XXVII. Le ténesme chez les femmes enceintes est une cause d'avortement
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0094 - Page 342 - Aphorisme XXVIII. Lorsqu'un os, un cartilage ou un nerf sont entièrement divisés, ils ne croissent, et ne se réunissent point / Aphorisme XXIX. Si une forte diarrhée se déclare dans la leucophegmatie, elle termine la maladie
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0097 - Page 345 - Aphorisme XXX. Dans les diarrhées avec déjections spumeuses, la pituite descend de la tête
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0099 - Page 347 - Aphorisme XXXI. Dans les fièvres, les urines qui déposent une matière semblable à une farine grossière, présagent un long terme
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0102 - Page 350 - Aphorisme XXXII. Les urines avec un dépôt bilieux, mais claires à la superficie, indiquent une affection aiguë
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0103 - Page 351 - Aphorisme XXXIII. Les urines avec des nuages divisés, annoncent un grand trouble intérieur
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0106 - Page 254 - Aphorisme XXXIV. Les urines où nagent des bulles en haut, désignent une affection des reins, ordinairement longue
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0108 - Page 256 - Aphorisme XXXV. Les urines avec une couche grasse, épaisse, qui surnage, indiquent aussi une affection des reins, mais aiguë
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0109 - Page 257 - Aphorisme XXXVI. Quand ces mêmes signes d'affection des reins, se joignent à de vives douleurs des muscles de l'épine du dos [...]
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0111 - Page 259 - Aphorisme XXXVII. Le vomissement de sang, lorsqu'il est sans fièvre, peut être salutaire ; mais avec fièvre il est dangereux. Il faut alors y remédier par les rafraîchissans et les astringens
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0113 - Page 361 - Aphorismes. La fièvre tierce exacte se juge en sept accès au plus / Les maladies aigües se jugent en quatorze jours
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0118 - Page 366 - Aphorisme XXXVIII. Les catarrhes aigus de la poitrine se jugent par coction en vingt jours
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0121 - Page 369 - Aphorisme XXXIX. Si l'on rend par l'urètre du sang pur ou des grumeaux de sang [...] / Aphorisme XL. Si la langue ou quelque partie du corps se paralyse, c'est par l'effet de l'atrabile
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0123 - Page 371 - Aphorisme XLI. Si un vieillard est pris du hoquet, après une purgation immodérée, cela est de mauvais augure
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0125 - Page 373 - Aphorisme XLII. Une fièvre, qui n'est point produite par la bile, se termine par le moyen d'affusions abondantes d'eau tiède sur la tête
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0127 - Page 375 - Aphorisme XLIII. La femme ne devient point ambidextre
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0129 - Page 377 - Aphorisme XLIV. Si l'empyème opéré par le fer ou le feu donne issue à un pus pur et blanc, il est guérissable ; si la matière est épaisse et sanglante, il est mortel
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0133 - Page 381 - Aphorisme XLV. Dans l'empyème du foie, ouvert par l'incision ou le caustique, si le pus parâit blanc et pur, la guérison est possible, car alors le fluide est contenu dans un kyste [...]
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0135 - Page 383 - Aphorisme XLVI. Dans les douleurs ophtalmiques [...] / Aphorisme XLVII. Si la toux attaque un hydropique [...] / Aphorisme XLVIII. Le vin pur et la saignée guérissent la strangurie [...] / Aphorisme XLIX. Dans la squinancie
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0136 - Page 384 - Aphorisme L. Si le cerveau est sphacélé ou paralysé, la mort survient en trois jours ; passé ce terme, la guérison est possible
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0138 - Page 386 - Aphorisme LI. L' éternuement provient de la tête, le cerveau étant échauffé ou les cavités du nez se trouvant très-humides : l'air qui y est renfermé en est expulsé avec force, et sort avec éclat, parce qu'alors il franchit un passage très-étroit
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0140 - Page 388 - Aphorisme LII. Les douleurs spontanées [...] / Aphorisme LIII. La saignée, lorsqu'elle est utile [...] / Aphorisme LIV. Lorsque la pituite ou la limphe s'amasse entre le diaphragme et l'estomac [...]
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0143 - Page 391 - Aphorisme LV. Lorsque le foie infiltré d'eau se dégorge dans l'épiploon, le ventre se remplit et les malades meurent
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0146 - Page 394 - Aphorisme LVI. Le vin pris avec une égale portion d'eau fait cesser le baillement, l'anxiété et de légers frissons
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0147 - Page 395 - Aphorisme LVII. Lorsqu'un tubercule formé dans l'urrèthre vient à suppurer, un écoulement de pus très-abondant est la guérison
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0148 - Page 396 - Aphorisme LVIII. Les commotions du cerveau, quelle qu'en soit la cause, occasionent sur-le-champ la perte de la voix.
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0151 - Page 399 - Aphorisme LIX. Faites souffrir la faim aux sujets qui ont les chairs humides, car elle déssèche
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0154 - Page 402 - Aphorisme LX. Des changemens rapides dans toute l'habitude du corps, soit du chaud au froid, soit d'une couleur à l'autre, ou de toute autre manière, annoncent des longueurs
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0155 - Page 403 - Aphorisme LXI. Une sueur considérable chaude ou froide, continuelle, indique une humidité surabondante. Tarissez-la par les vomitifs chez les sujets forts, et par les purgatifs chez les sujets faibles
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0156 - Page 404 - Aphorisme LXII. Les fièvres continues plus intenses le troisième jour, annoncent de la gravité ; mais, pour peu qu'elles deviennent intermittentes, alors elles ne sont point dangereuses
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0157 - Page 405 - Aphorisme LXIII. Les longues fièvres entraînent des abcès ou des douleurs aux environs des articulations [...] / Aphorisme LXIV. Des abcès lents ou chroniques à la suite des fièvres, sont les fruits d'alimens trop copieux
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0158 - Page 406 - Aphorisme LXV. Si vous nourrissez un fébricitant déja convalescent, vous le fortifiez ; mais s'il est faible, vous empirez son état / Aphorisme LXVI. Examinez ensuite l'excrétion urinaire si elle vous paraît telle que chez les personnes en santé [...]
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0159 - Page 407 - Aphorisme LXVII. Si vous laissez reposer les déjections sans les troubler, et si le dépôt en est semblable à des râclures, si c'est en petite quantité le mal est léger [...]
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0160 - Page 408 - Aphorisme LXVIII. Les selles crues proviennent de l'etrabile / Aphorisme LXIX. Dans les fièvres continues, les crachats livides, sanglans, bilieux ou même fétides [...]
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0161 - Page 409 - Aphorisme LXX. Rendez perméables les corps que vous voulez purger ; si c'est par haut, resserrez le ventre ; si c'est par bas, humectez-le au contraire
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0162 - Page 410 - Aphorisme LXXI. Le sommeil ou les veilles excessifs, et tout ce qui est immodéré est mauvais [...] / Aphorisme LXXII. Dans les fièvres, si les parties externes sont froides et les internes brûlantes [...]
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0163 - Page 411 - Aphorisme LXXIII. Dans une fièvre continue, si la lèvre ou le nez, l'oeil ou le sourcil, sont contournés ou renversés ; si la vue et l'audition sont abolies, avec une grande faiblesse, l'un ou l'autre de ces signes est mortel
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0164 - Page 412 - Aphorisme LXXIV. La leucophlegmatie produit l'hydropisie / Aphorisme LXXV. La diarrhée se change en lienterie
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0165 - Page 413 - Aphorisme LXXVI. La dysentrie est suivie de lienterie / Aphorisme LXXVII. Le sphacèle entraîne la carie de l'os
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0167 - Page 415 - Aphorisme LXXVIII. Le vomissement de sang produit le crachement de pus, puis la phthisie succède au catarrhe de la tête ; ouis la diarrhée ; la suppression des crachats et la mort
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0168 - Page 416 - Aphorisme LXXIX. Examinez aussi les excrétions de la vessie, des intestins, et généralement ce qui s'échappe de l'enveloppe extérieure, soit des pores, soit des chairs, ou des autres voies naturelles [...]
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0169 - Page 417 - Section huitième. Aphorisme premier. La phrénésie se guérit difficilement chez les sujets âgés de plus de quarante ans ; car le danger est moindre quand l'âge et la constitution [...]
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0171 - Page 419 - Aphorisme II. Dans les maladies aiguës, si les larmes paraissent avec sujet, elles ne sont point extraordinaires ; mais elles le deviennent d'autant plus, si elles sont involontaires
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0173 - Page 421 - Aphorisme III. Dans la fièvre quarte, l'hémorrhagie du nez n'est point favorable
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0177 - Page 425 - Aphorisme IV. Les sueurs fortes et rapides qui paraissent les jours critiques, sont périlleuses. Il en est de même de celles qui distillent goutte à goutte du front, comme les filets [...]
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0179 - Page 427 - Aphorisme V. Le flux de ventre dans une maladie longue, est de mauvais augure / Aphorisme VI. Ce que les médicamens ne peuvent guérir, le fer le guérit ; ce que le fer ne guérit pas, le feu le guérit, et ce que le feu ne guérit pas, est inguérissable
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0182 - Page 430 - Aphorisme VII. La phthisie attaque surtout les sujets de dix-huit à trente-cinq ans / Aphorisme VIII. La phthisie atteint avec plus de violence et mortellement ceux qui y sont naturellement disposés [...]
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0186 - Page 434 - Aphorisme IX. Si la langue n'est ni noire, ni trop rouge, et s'il n'y a aucuns signes de ce genre, la maladie n'est pas très-grave, tout indique au contraire qu'elle est modérée
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0187 - Page 435 - Aphorisme X. Voilà donc ce qu'il faut bien observer dans les maladies aiguës, afin de prévoir si la guérison ou la mort doivent en être la suite
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0189 - Page 437 - Aphorisme XI. Le testicule droit, froid et contracté, est un signe mortel
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0191 - Page 439 - Aphorisme XII. Les ongles noirs, livides, les doigts des pieds et des mains livides [...] / Aphorisme XIII. Les lèvres livides, pendantes, froides, relâchées, signe mortel / Aphorisme XIV. Les oreilles froides, transparentes et rerées, signe mortel
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0194 - Page 442 - Aphorisme XV. Si un brouillard épais a déja obscursi le globe de l'oeil, si ce dernier fuit la lumière [...] / Aphorisme XVI. Si avec un délire furieux, la connaissance est entièrement perdue, l'ouïe insensible [...]
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0198 - Page 456 - Aphorisme XVII. Ces signes sont encore plus prononcés au moment de la mort, alors le ventre se tend et se météorise
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0199 - Page 457 - Aphorisme XVIII. Enfin le terme fatal est expiré, lorsque la chaleur vitale, placée au-dessus de l'ombilie, remonte vers les parties situées au-dessus du diaphragme, et que l'humide radical est consumé [...]
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0203 - Page 451 - Récapitulation
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0215 - Page 463 - Avertissement
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0223 - Page 471 - Peste d'Athènes traduite en français sur le texte de Thucydide
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0248 - Page 496 - Supplément. Aphorisme omis. Aph.18, sect.VII. L'insomnie, suivie de convulsion ou de délire, est redoutable. Commentaire
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0249 - Page 497 - Inflammation du foie
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0251 - Page 499 - Fièvre ataxique
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0252 - Page 500 - Fièvre ardente inflammatoire
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0255 - Page 503 - De la lecture des écrits de Galien
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0269 - Page 517 - Réfutation de la biographie universelle, article Hippocrate ; et réparation de l'omission de la biographie moderne
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0272 - Page 520 - Aph.64, sect.v.Edit. in-32. Paris, 1814
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0273 - Page 521 - Edit. in-8° à trois colonnes, en grec, latin, français. Paris, 1826 / Edit. in-12, avec commentaires
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0274 - Page 522 - Sect. VII, Aph.79. Edit. in-32 / Edit. in-8° à trois colonnes, en grec, latin, français
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0275 - Page 523 - Edit. in-12, avec commentaires / Fin de la VIIIe sect. Edit. in-32
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0276 - Page 524 - Edit. in-8° à trois colonnes, en grec, latin, français / Edit. in-12, avec commentaires
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0279 - Page 527 - Section v, Aph.20. Bosquillon
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0281 - Page 529 - Aph.22, sect. V, et commentaire. De Mercy
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0289 - Page 537 - Autre souscription pour les bibliothèques particulières du roi
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0291 - Page 539 - Autre souscription du ministère de l'intérieur
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0293 - Page 541 - Table analytique et raisonnée des matières contenues dans les huit sections des aphorismes et les commentaires. A
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0295 - Page 543 - B
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0296 - Page 544 - C
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0301 - Page 549 - D
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0304 - Page 552 - E
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0307 - Page 555 - F
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0313 - Page 561 - G
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0314 - Page 562 - H
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0318 - Page 566 - I
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0319 - Page 567 - J / L
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0320 - Page 568 - M
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0324 - Page 572 - N
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0325 - Page 573 - O
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0327 - Page 575 - P
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0332 - Page 580 - R
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0334 - Page 582 - S
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0337 - Page 585 - T
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0340 - Page 588 - U
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0342 - Page 590 - V
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0345 - Page 593 - Y
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0346 - Page 594 - Erratum de l'article Hippocrate de la biographie universelle, tom XX, p.416, Paris, 1817 / Autre erratum / Autre erratum
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0347 - Page 595 - Errata des aphorismes