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Nouvelle traduction des aphorismes d'Hippocrate, et commentaires spécialement applicables à la médecine dite clinique, avec...

Collections
Hippocrate
Classe de ressource
Monographie
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Identifiant
ark:/13685/33271x04
Titre
Nouvelle traduction des aphorismes d'Hippocrate, et commentaires spécialement applicables à la médecine dite clinique, avec le traité des humeurs, d'Hippocrate -- traduit du grec par M. le Chevalier de Mercy, VII e et VIII e sections. tome IV
Date
1829
Éditeur
Paris : Béchet Jeune
Siècle
XIXe siècle
Format
Nombre de vues : 347
Cote du document
33271x04
Licence
Licence Ouverte
Table des matières
0001 - Page sans numérotation - [Page de faux-titre]0001 - Page sans numérotation - [Page de faux-titre]
0003 - Page sans numérotation - [Page de titre]0003 - Page sans numérotation - [Page de titre]
0005 - Page sans numérotation - Avertissement0005 - Page sans numérotation - Avertissement
0017 - Page xiij - Gazette littéraire de Goetingue0017 - Page xiij - Gazette littéraire de Goetingue
0021 - Page 269 - Commentaires sur les aphorismes d'Hippocrate. Section septième. Aphorisme premier. Dans les maladies aiguës, le refroidissement des extrémités est un mauvais signe0021 - Page 269 - Commentaires sur les aphorismes d'Hippocrate. Section septième. Aphorisme premier. Dans les maladies aiguës, le refroidissement des extrémités est un mauvais signe
0024 - Page 272 - Aphorisme II. Une chair livide sur un os malade, est de mauvais augure.0024 - Page 272 - Aphorisme II. Une chair livide sur un os malade, est de mauvais augure.
0027 - Page 275 - Aphorisme III. Le hoqnet et la rougeur des yeux succédant au vomissement, sont des sinistres présages0027 - Page 275 - Aphorisme III. Le hoqnet et la rougeur des yeux succédant au vomissement, sont des sinistres présages
0029 - Page 277 - Aphorisme IV. Le frisson après la sueur est mauvais0029 - Page 277 - Aphorisme IV. Le frisson après la sueur est mauvais
0031 - Page 279 - Aphorisme V. La dysentrie, l'hydropisie ou l'extase survenant dans la manie, sont favorables0031 - Page 279 - Aphorisme V. La dysentrie, l'hydropisie ou l'extase survenant dans la manie, sont favorables
0035 - Page 283 - Aphorisme VI. Dans les maladies longues, le dégoût et les déjections de bile pure sont de mauvais augure0035 - Page 283 - Aphorisme VI. Dans les maladies longues, le dégoût et les déjections de bile pure sont de mauvais augure
0038 - Page 286 - Aphorisme VII. Le frisson et le délire, après des excès de boisson, sont funestes0038 - Page 286 - Aphorisme VII. Le frisson et le délire, après des excès de boisson, sont funestes
0040 - Page 288 - Aphorisme VIII. Lorsqu'une vomique se rompt, il en résulte une prostration subite, le vomissement et la défaillance0040 - Page 288 - Aphorisme VIII. Lorsqu'une vomique se rompt, il en résulte une prostration subite, le vomissement et la défaillance
0046 - Page 294 - Aphorisme IX. Dans une forte hémorrhagie, le délire ou les convulsions sont redoutables0046 - Page 294 - Aphorisme IX. Dans une forte hémorrhagie, le délire ou les convulsions sont redoutables
0048 - Page 296 - Aphorisme X. Dans l'ileus, le vomissement, le hoquet, les convulsions ou le délire sont de très-mauvais signes0048 - Page 296 - Aphorisme X. Dans l'ileus, le vomissement, le hoquet, les convulsions ou le délire sont de très-mauvais signes
0053 - Page 301 - Aphorisme XI. La peripneumonie succédant à la pleurésie est très-grave0053 - Page 301 - Aphorisme XI. La peripneumonie succédant à la pleurésie est très-grave
0055 - Page 303 - Aphorisme XII. La phrénésie à la suite de péripneumonie est de mauvais augure0055 - Page 303 - Aphorisme XII. La phrénésie à la suite de péripneumonie est de mauvais augure
0059 - Page 307 - Aphorisme XIII. Dans la fièvre ardente, le tétanos ou les convulsions sont de sinistres présages0059 - Page 307 - Aphorisme XIII. Dans la fièvre ardente, le tétanos ou les convulsions sont de sinistres présages
0061 - Page 309 - Aphorisme XIV. Dans les plaies de tête, la stupeur ou le délire est de mauvais augure0061 - Page 309 - Aphorisme XIV. Dans les plaies de tête, la stupeur ou le délire est de mauvais augure
0065 - Page 313 - Aphorisme XV. Le crachement de sang suivi du crachement de pus est mauvais0065 - Page 313 - Aphorisme XV. Le crachement de sang suivi du crachement de pus est mauvais
0070 - Page 318 - Aphorisme XVI. Le crachement de pus suivi de diarrhée et de chute des cheveux est funeste, et, si les crachats se suppriment, la mort0070 - Page 318 - Aphorisme XVI. Le crachement de pus suivi de diarrhée et de chute des cheveux est funeste, et, si les crachats se suppriment, la mort
0072 - Page 320 - Aphorisme XVII. Dans l'inflammation du foie, le hoquet est mauvais0072 - Page 320 - Aphorisme XVII. Dans l'inflammation du foie, le hoquet est mauvais
0074 - Page 322 - Aphorisme XVIII. Dans la léthargie, le tremblement est mortel0074 - Page 322 - Aphorisme XVIII. Dans la léthargie, le tremblement est mortel
0076 - Page 324 - Aphorisme XIX. L'érysipèle produit par la dénudation d'un os est mauvais0076 - Page 324 - Aphorisme XIX. L'érysipèle produit par la dénudation d'un os est mauvais
0078 - Page 326 - Aphorisme XX. La suppuration ou la putridité à la suite d'érysipèle est mauvaise0078 - Page 326 - Aphorisme XX. La suppuration ou la putridité à la suite d'érysipèle est mauvaise
0081 - Page 329 - Aphorisme XXI. Dans les plaies, l'hemorrhagie qui s"annonce par de vives pulsations des veines est redoutable0081 - Page 329 - Aphorisme XXI. Dans les plaies, l'hemorrhagie qui s"annonce par de vives pulsations des veines est redoutable
0086 - Page 334 - Aphorisme XXII. La suppuration à la suite de douleurs anciennes du ventre est mauvaise0086 - Page 334 - Aphorisme XXII. La suppuration à la suite de douleurs anciennes du ventre est mauvaise
0089 - Page 337 - Aphorisme XXIII. La dysentrie succédant à des déjections de bile pure est mauvaise0089 - Page 337 - Aphorisme XXIII. La dysentrie succédant à des déjections de bile pure est mauvaise
0091 - Page 339 - Aphorisme XXIV. Dans les fractures du crâne, la stupeur ou le délire, si la plaie est pénétrante, est de mauvais augure / Aphorisme XXV. Les convulsions causées par les purgatifs sont mortelles0091 - Page 339 - Aphorisme XXIV. Dans les fractures du crâne, la stupeur ou le délire, si la plaie est pénétrante, est de mauvais augure / Aphorisme XXV. Les convulsions causées par les purgatifs sont mortelles
0092 - Page 340 - Aphorisme XXVI. Dans les vives douleurs de ventre, le froid des extrémités est un mauvais signe0092 - Page 340 - Aphorisme XXVI. Dans les vives douleurs de ventre, le froid des extrémités est un mauvais signe
0093 - Page 341 - Aphorisme XXVII. Le ténesme chez les femmes enceintes est une cause d'avortement0093 - Page 341 - Aphorisme XXVII. Le ténesme chez les femmes enceintes est une cause d'avortement
0094 - Page 342 - Aphorisme XXVIII. Lorsqu'un os, un cartilage ou un nerf sont entièrement divisés, ils ne croissent, et ne se réunissent point / Aphorisme XXIX. Si une forte diarrhée se déclare dans la leucophegmatie, elle termine la maladie0094 - Page 342 - Aphorisme XXVIII. Lorsqu'un os, un cartilage ou un nerf sont entièrement divisés, ils ne croissent, et ne se réunissent point / Aphorisme XXIX. Si une forte diarrhée se déclare dans la leucophegmatie, elle termine la maladie
0097 - Page 345 - Aphorisme XXX. Dans les diarrhées avec déjections spumeuses, la pituite descend de la tête0097 - Page 345 - Aphorisme XXX. Dans les diarrhées avec déjections spumeuses, la pituite descend de la tête
0099 - Page 347 - Aphorisme XXXI. Dans les fièvres, les urines qui déposent une matière semblable à une farine grossière, présagent un long terme0099 - Page 347 - Aphorisme XXXI. Dans les fièvres, les urines qui déposent une matière semblable à une farine grossière, présagent un long terme
0102 - Page 350 - Aphorisme XXXII. Les urines avec un dépôt bilieux, mais claires à la superficie, indiquent une affection aiguë0102 - Page 350 - Aphorisme XXXII. Les urines avec un dépôt bilieux, mais claires à la superficie, indiquent une affection aiguë
0103 - Page 351 - Aphorisme XXXIII. Les urines avec des nuages divisés, annoncent un grand trouble intérieur0103 - Page 351 - Aphorisme XXXIII. Les urines avec des nuages divisés, annoncent un grand trouble intérieur
0106 - Page 254 - Aphorisme XXXIV. Les urines où nagent des bulles en haut, désignent une affection des reins, ordinairement longue0106 - Page 254 - Aphorisme XXXIV. Les urines où nagent des bulles en haut, désignent une affection des reins, ordinairement longue
0108 - Page 256 - Aphorisme XXXV. Les urines avec une couche grasse, épaisse, qui surnage, indiquent aussi une affection des reins, mais aiguë0108 - Page 256 - Aphorisme XXXV. Les urines avec une couche grasse, épaisse, qui surnage, indiquent aussi une affection des reins, mais aiguë
0109 - Page 257 - Aphorisme XXXVI. Quand ces mêmes signes d'affection des reins, se joignent à de vives douleurs des muscles de l'épine du dos [...]0109 - Page 257 - Aphorisme XXXVI. Quand ces mêmes signes d'affection des reins, se joignent à de vives douleurs des muscles de l'épine du dos [...]
0111 - Page 259 - Aphorisme XXXVII. Le vomissement de sang, lorsqu'il est sans fièvre, peut être salutaire ; mais avec fièvre il est dangereux. Il faut alors y remédier par les rafraîchissans et les astringens0111 - Page 259 - Aphorisme XXXVII. Le vomissement de sang, lorsqu'il est sans fièvre, peut être salutaire ; mais avec fièvre il est dangereux. Il faut alors y remédier par les rafraîchissans et les astringens
0113 - Page 361 - Aphorismes. La fièvre tierce exacte se juge en sept accès au plus / Les maladies aigües se jugent en quatorze jours0113 - Page 361 - Aphorismes. La fièvre tierce exacte se juge en sept accès au plus / Les maladies aigües se jugent en quatorze jours
0118 - Page 366 - Aphorisme XXXVIII. Les catarrhes aigus de la poitrine se jugent par coction en vingt jours0118 - Page 366 - Aphorisme XXXVIII. Les catarrhes aigus de la poitrine se jugent par coction en vingt jours
0121 - Page 369 - Aphorisme XXXIX. Si l'on rend par l'urètre du sang pur ou des grumeaux de sang [...] / Aphorisme XL. Si la langue ou quelque partie du corps se paralyse, c'est par l'effet de l'atrabile0121 - Page 369 - Aphorisme XXXIX. Si l'on rend par l'urètre du sang pur ou des grumeaux de sang [...] / Aphorisme XL. Si la langue ou quelque partie du corps se paralyse, c'est par l'effet de l'atrabile
0123 - Page 371 - Aphorisme XLI. Si un vieillard est pris du hoquet, après une purgation immodérée, cela est de mauvais augure0123 - Page 371 - Aphorisme XLI. Si un vieillard est pris du hoquet, après une purgation immodérée, cela est de mauvais augure
0125 - Page 373 - Aphorisme XLII. Une fièvre, qui n'est point produite par la bile, se termine par le moyen d'affusions abondantes d'eau tiède sur la tête0125 - Page 373 - Aphorisme XLII. Une fièvre, qui n'est point produite par la bile, se termine par le moyen d'affusions abondantes d'eau tiède sur la tête
0127 - Page 375 - Aphorisme XLIII. La femme ne devient point ambidextre0127 - Page 375 - Aphorisme XLIII. La femme ne devient point ambidextre
0129 - Page 377 - Aphorisme XLIV. Si l'empyème opéré par le fer ou le feu donne issue à un pus pur et blanc, il est guérissable ; si la matière est épaisse et sanglante, il est mortel0129 - Page 377 - Aphorisme XLIV. Si l'empyème opéré par le fer ou le feu donne issue à un pus pur et blanc, il est guérissable ; si la matière est épaisse et sanglante, il est mortel
0133 - Page 381 - Aphorisme XLV. Dans l'empyème du foie, ouvert par l'incision ou le caustique, si le pus parâit blanc et pur, la guérison est possible, car alors le fluide est contenu dans un kyste [...]0133 - Page 381 - Aphorisme XLV. Dans l'empyème du foie, ouvert par l'incision ou le caustique, si le pus parâit blanc et pur, la guérison est possible, car alors le fluide est contenu dans un kyste [...]
0135 - Page 383 - Aphorisme XLVI. Dans les douleurs ophtalmiques [...] / Aphorisme XLVII. Si la toux attaque un hydropique [...] / Aphorisme XLVIII. Le vin pur et la saignée guérissent la strangurie [...] /   Aphorisme XLIX. Dans la squinancie0135 - Page 383 - Aphorisme XLVI. Dans les douleurs ophtalmiques [...] / Aphorisme XLVII. Si la toux attaque un hydropique [...] / Aphorisme XLVIII. Le vin pur et la saignée guérissent la strangurie [...] / Aphorisme XLIX. Dans la squinancie
0136 - Page 384 - Aphorisme L. Si le cerveau est sphacélé ou paralysé, la mort survient en trois jours ; passé ce terme, la guérison est possible0136 - Page 384 - Aphorisme L. Si le cerveau est sphacélé ou paralysé, la mort survient en trois jours ; passé ce terme, la guérison est possible
0138 - Page 386 - Aphorisme LI. L' éternuement provient de la tête, le cerveau étant échauffé ou les cavités du nez se trouvant très-humides : l'air qui y est renfermé en est expulsé avec force, et sort avec éclat, parce qu'alors il franchit un passage très-étroit0138 - Page 386 - Aphorisme LI. L' éternuement provient de la tête, le cerveau étant échauffé ou les cavités du nez se trouvant très-humides : l'air qui y est renfermé en est expulsé avec force, et sort avec éclat, parce qu'alors il franchit un passage très-étroit
0140 - Page 388 - Aphorisme LII. Les douleurs spontanées [...] / Aphorisme LIII. La saignée, lorsqu'elle est utile [...] / Aphorisme LIV. Lorsque la pituite ou la limphe s'amasse entre le diaphragme et l'estomac [...]0140 - Page 388 - Aphorisme LII. Les douleurs spontanées [...] / Aphorisme LIII. La saignée, lorsqu'elle est utile [...] / Aphorisme LIV. Lorsque la pituite ou la limphe s'amasse entre le diaphragme et l'estomac [...]
0143 - Page 391 - Aphorisme LV. Lorsque le foie infiltré d'eau se dégorge dans l'épiploon, le ventre se remplit et les malades meurent0143 - Page 391 - Aphorisme LV. Lorsque le foie infiltré d'eau se dégorge dans l'épiploon, le ventre se remplit et les malades meurent
0146 - Page 394 - Aphorisme LVI. Le vin pris avec une égale portion d'eau fait cesser le baillement, l'anxiété et de légers frissons0146 - Page 394 - Aphorisme LVI. Le vin pris avec une égale portion d'eau fait cesser le baillement, l'anxiété et de légers frissons
0147 - Page 395 - Aphorisme LVII. Lorsqu'un tubercule formé dans l'urrèthre vient à suppurer, un écoulement de pus très-abondant est la guérison0147 - Page 395 - Aphorisme LVII. Lorsqu'un tubercule formé dans l'urrèthre vient à suppurer, un écoulement de pus très-abondant est la guérison
0148 - Page 396 - Aphorisme LVIII. Les commotions du cerveau, quelle qu'en soit la cause, occasionent sur-le-champ la perte de la voix.0148 - Page 396 - Aphorisme LVIII. Les commotions du cerveau, quelle qu'en soit la cause, occasionent sur-le-champ la perte de la voix.
0151 - Page 399 - Aphorisme LIX. Faites souffrir la faim aux sujets qui ont les chairs humides, car elle déssèche0151 - Page 399 - Aphorisme LIX. Faites souffrir la faim aux sujets qui ont les chairs humides, car elle déssèche
0154 - Page 402 - Aphorisme LX. Des changemens rapides dans toute l'habitude du corps, soit du chaud au froid, soit d'une couleur à l'autre, ou de toute autre manière, annoncent des longueurs0154 - Page 402 - Aphorisme LX. Des changemens rapides dans toute l'habitude du corps, soit du chaud au froid, soit d'une couleur à l'autre, ou de toute autre manière, annoncent des longueurs
0155 - Page 403 - Aphorisme LXI. Une sueur considérable chaude ou froide, continuelle, indique une humidité surabondante. Tarissez-la par les vomitifs chez les sujets forts, et par les purgatifs chez les sujets faibles0155 - Page 403 - Aphorisme LXI. Une sueur considérable chaude ou froide, continuelle, indique une humidité surabondante. Tarissez-la par les vomitifs chez les sujets forts, et par les purgatifs chez les sujets faibles
0156 - Page 404 - Aphorisme LXII. Les fièvres continues plus intenses le troisième jour, annoncent de la gravité ; mais, pour peu qu'elles deviennent intermittentes, alors elles ne sont point dangereuses0156 - Page 404 - Aphorisme LXII. Les fièvres continues plus intenses le troisième jour, annoncent de la gravité ; mais, pour peu qu'elles deviennent intermittentes, alors elles ne sont point dangereuses
0157 - Page 405 - Aphorisme LXIII. Les longues fièvres entraînent des abcès ou des douleurs aux environs des articulations [...] / Aphorisme LXIV. Des abcès lents ou chroniques à la suite des fièvres, sont les fruits d'alimens trop copieux0157 - Page 405 - Aphorisme LXIII. Les longues fièvres entraînent des abcès ou des douleurs aux environs des articulations [...] / Aphorisme LXIV. Des abcès lents ou chroniques à la suite des fièvres, sont les fruits d'alimens trop copieux
0158 - Page 406 - Aphorisme LXV. Si vous nourrissez un fébricitant déja convalescent, vous le fortifiez ; mais s'il est faible, vous empirez son état / Aphorisme LXVI. Examinez ensuite l'excrétion urinaire si elle vous paraît telle que chez les personnes en santé [...]0158 - Page 406 - Aphorisme LXV. Si vous nourrissez un fébricitant déja convalescent, vous le fortifiez ; mais s'il est faible, vous empirez son état / Aphorisme LXVI. Examinez ensuite l'excrétion urinaire si elle vous paraît telle que chez les personnes en santé [...]
0159 - Page 407 - Aphorisme LXVII. Si vous laissez reposer les déjections sans les troubler, et si le dépôt en est semblable à des râclures, si c'est en petite quantité le mal est léger [...]0159 - Page 407 - Aphorisme LXVII. Si vous laissez reposer les déjections sans les troubler, et si le dépôt en est semblable à des râclures, si c'est en petite quantité le mal est léger [...]
0160 - Page 408 - Aphorisme LXVIII. Les selles crues proviennent de l'etrabile / Aphorisme LXIX. Dans les fièvres continues, les crachats livides, sanglans, bilieux ou même fétides [...]0160 - Page 408 - Aphorisme LXVIII. Les selles crues proviennent de l'etrabile / Aphorisme LXIX. Dans les fièvres continues, les crachats livides, sanglans, bilieux ou même fétides [...]
0161 - Page 409 - Aphorisme LXX. Rendez perméables les corps que vous voulez purger ; si c'est par haut, resserrez le ventre ; si c'est par bas, humectez-le au contraire0161 - Page 409 - Aphorisme LXX. Rendez perméables les corps que vous voulez purger ; si c'est par haut, resserrez le ventre ; si c'est par bas, humectez-le au contraire
0162 - Page 410 - Aphorisme LXXI. Le sommeil ou les veilles excessifs, et tout ce qui est immodéré est mauvais [...] / Aphorisme LXXII. Dans les fièvres, si les parties externes sont froides et les internes brûlantes [...]0162 - Page 410 - Aphorisme LXXI. Le sommeil ou les veilles excessifs, et tout ce qui est immodéré est mauvais [...] / Aphorisme LXXII. Dans les fièvres, si les parties externes sont froides et les internes brûlantes [...]
0163 - Page 411 - Aphorisme LXXIII. Dans une fièvre continue, si la lèvre ou le nez, l'oeil ou le sourcil, sont contournés ou renversés ; si la vue et l'audition sont abolies, avec une grande faiblesse, l'un ou l'autre de ces signes est mortel0163 - Page 411 - Aphorisme LXXIII. Dans une fièvre continue, si la lèvre ou le nez, l'oeil ou le sourcil, sont contournés ou renversés ; si la vue et l'audition sont abolies, avec une grande faiblesse, l'un ou l'autre de ces signes est mortel
0164 - Page 412 - Aphorisme LXXIV. La leucophlegmatie produit l'hydropisie / Aphorisme LXXV. La diarrhée se change en lienterie0164 - Page 412 - Aphorisme LXXIV. La leucophlegmatie produit l'hydropisie / Aphorisme LXXV. La diarrhée se change en lienterie
0165 - Page 413 - Aphorisme LXXVI. La dysentrie est suivie de lienterie / Aphorisme LXXVII. Le sphacèle entraîne la carie de l'os0165 - Page 413 - Aphorisme LXXVI. La dysentrie est suivie de lienterie / Aphorisme LXXVII. Le sphacèle entraîne la carie de l'os
0167 - Page 415 - Aphorisme LXXVIII. Le vomissement de sang produit le crachement de pus, puis la phthisie succède au catarrhe de la tête ; ouis la diarrhée ; la suppression des crachats et la mort0167 - Page 415 - Aphorisme LXXVIII. Le vomissement de sang produit le crachement de pus, puis la phthisie succède au catarrhe de la tête ; ouis la diarrhée ; la suppression des crachats et la mort
0168 - Page 416 - Aphorisme LXXIX. Examinez aussi les excrétions de la vessie, des intestins, et généralement ce qui s'échappe de l'enveloppe extérieure, soit des pores, soit des chairs, ou des autres voies naturelles [...]0168 - Page 416 - Aphorisme LXXIX. Examinez aussi les excrétions de la vessie, des intestins, et généralement ce qui s'échappe de l'enveloppe extérieure, soit des pores, soit des chairs, ou des autres voies naturelles [...]
0169 - Page 417 - Section huitième. Aphorisme premier. La phrénésie se guérit difficilement chez les sujets âgés de plus de quarante ans ; car le danger est moindre quand l'âge et la constitution [...]0169 - Page 417 - Section huitième. Aphorisme premier. La phrénésie se guérit difficilement chez les sujets âgés de plus de quarante ans ; car le danger est moindre quand l'âge et la constitution [...]
0171 - Page 419 - Aphorisme II. Dans les maladies aiguës, si les larmes paraissent avec sujet, elles ne sont point extraordinaires ; mais elles le deviennent d'autant plus, si elles sont involontaires0171 - Page 419 - Aphorisme II. Dans les maladies aiguës, si les larmes paraissent avec sujet, elles ne sont point extraordinaires ; mais elles le deviennent d'autant plus, si elles sont involontaires
0173 - Page 421 - Aphorisme III. Dans la fièvre quarte, l'hémorrhagie du nez n'est point favorable0173 - Page 421 - Aphorisme III. Dans la fièvre quarte, l'hémorrhagie du nez n'est point favorable
0177 - Page 425 - Aphorisme IV. Les sueurs fortes et rapides qui paraissent les jours critiques, sont périlleuses. Il en est de même de celles qui distillent goutte à goutte du front, comme les filets [...]0177 - Page 425 - Aphorisme IV. Les sueurs fortes et rapides qui paraissent les jours critiques, sont périlleuses. Il en est de même de celles qui distillent goutte à goutte du front, comme les filets [...]
0179 - Page 427 - Aphorisme V. Le flux de ventre dans une maladie longue, est de mauvais augure / Aphorisme VI. Ce que les médicamens ne peuvent guérir, le fer le guérit ; ce que le fer ne guérit pas, le feu le guérit, et ce que le feu ne guérit pas, est inguérissable0179 - Page 427 - Aphorisme V. Le flux de ventre dans une maladie longue, est de mauvais augure / Aphorisme VI. Ce que les médicamens ne peuvent guérir, le fer le guérit ; ce que le fer ne guérit pas, le feu le guérit, et ce que le feu ne guérit pas, est inguérissable
0182 - Page 430 - Aphorisme VII. La phthisie attaque surtout les sujets de dix-huit à trente-cinq ans / Aphorisme VIII. La phthisie atteint avec plus de violence et mortellement ceux qui y sont naturellement disposés [...]0182 - Page 430 - Aphorisme VII. La phthisie attaque surtout les sujets de dix-huit à trente-cinq ans / Aphorisme VIII. La phthisie atteint avec plus de violence et mortellement ceux qui y sont naturellement disposés [...]
0186 - Page 434 - Aphorisme IX. Si la langue n'est ni noire, ni trop rouge, et s'il n'y a aucuns signes de ce genre, la maladie n'est pas très-grave, tout indique au contraire qu'elle est modérée0186 - Page 434 - Aphorisme IX. Si la langue n'est ni noire, ni trop rouge, et s'il n'y a aucuns signes de ce genre, la maladie n'est pas très-grave, tout indique au contraire qu'elle est modérée
0187 - Page 435 - Aphorisme X. Voilà donc ce qu'il faut bien observer dans les maladies aiguës, afin de prévoir si la guérison ou la mort doivent en être la suite0187 - Page 435 - Aphorisme X. Voilà donc ce qu'il faut bien observer dans les maladies aiguës, afin de prévoir si la guérison ou la mort doivent en être la suite
0189 - Page 437 - Aphorisme XI. Le testicule droit, froid et contracté, est un signe mortel0189 - Page 437 - Aphorisme XI. Le testicule droit, froid et contracté, est un signe mortel
0191 - Page 439 - Aphorisme XII. Les ongles noirs, livides, les doigts des pieds et des mains livides [...] / Aphorisme XIII. Les lèvres livides, pendantes, froides, relâchées, signe mortel / Aphorisme XIV. Les oreilles froides, transparentes et rerées, signe mortel0191 - Page 439 - Aphorisme XII. Les ongles noirs, livides, les doigts des pieds et des mains livides [...] / Aphorisme XIII. Les lèvres livides, pendantes, froides, relâchées, signe mortel / Aphorisme XIV. Les oreilles froides, transparentes et rerées, signe mortel
0194 - Page 442 - Aphorisme XV. Si un brouillard épais a déja obscursi le globe de l'oeil, si ce dernier fuit la lumière [...] / Aphorisme XVI. Si avec un délire furieux, la connaissance est entièrement perdue, l'ouïe insensible [...]0194 - Page 442 - Aphorisme XV. Si un brouillard épais a déja obscursi le globe de l'oeil, si ce dernier fuit la lumière [...] / Aphorisme XVI. Si avec un délire furieux, la connaissance est entièrement perdue, l'ouïe insensible [...]
0198 - Page 456 - Aphorisme XVII. Ces signes sont encore plus prononcés au moment de la mort, alors le ventre se tend et se météorise0198 - Page 456 - Aphorisme XVII. Ces signes sont encore plus prononcés au moment de la mort, alors le ventre se tend et se météorise
0199 - Page 457 - Aphorisme XVIII. Enfin le terme fatal est expiré, lorsque la chaleur vitale, placée au-dessus de l'ombilie, remonte vers les parties situées au-dessus du diaphragme, et que l'humide radical est consumé [...]0199 - Page 457 - Aphorisme XVIII. Enfin le terme fatal est expiré, lorsque la chaleur vitale, placée au-dessus de l'ombilie, remonte vers les parties situées au-dessus du diaphragme, et que l'humide radical est consumé [...]
0203 - Page 451 - Récapitulation0203 - Page 451 - Récapitulation
0215 - Page 463 - Avertissement0215 - Page 463 - Avertissement
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0248 - Page 496 - Supplément. Aphorisme omis. Aph.18, sect.VII. L'insomnie, suivie de convulsion ou de délire, est redoutable. Commentaire0248 - Page 496 - Supplément. Aphorisme omis. Aph.18, sect.VII. L'insomnie, suivie de convulsion ou de délire, est redoutable. Commentaire
0249 - Page 497 - Inflammation du foie0249 - Page 497 - Inflammation du foie
0251 - Page 499 - Fièvre ataxique0251 - Page 499 - Fièvre ataxique
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