Nouvelle traduction des aphorismes d'Hippocrate, et commentaires spécialement applicables à la médecine dite clinique, avec...
- Collections
- Hippocrate
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- Monographie
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- Identifiant
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- Titre
- Nouvelle traduction des aphorismes d'Hippocrate, et commentaires spécialement applicables à la médecine dite clinique, avec le traité des humeurs, d'Hippocrate -- traduit du grec par M. le Chevalier de Mercy, Ve et VIe sections. tome III
- Date
- 1829
- Éditeur
- Paris : Béchet Jeune
- Siècle
- XIXe siècle
- Format
- Nombre de vues : 420
- Notes
- Précédé d'une préface, d'un texte sur intitulé Du danger des innovations dans l'instruction médicale et d'une analyse du traité hippocratique des Vents.
- Cote du document
- 33271x03
- Licence
- Licence Ouverte
- Table des matières
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0001 - Page sans numérotation - [page du faux titre]
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0003 - Page sans numérotation - [page de titre]
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0005 - I - Préface
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0045 - Page XLI - Avis au Lecteur
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0055 - Page LI - Du danger des innovations dans l'instruction médicale
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0109 - Page CV - Conclusion
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0111 - Page CVII - Pièces justificatives
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0125 - Page CXXI - Analyse du Traité des vents, traduit du grec d'Hippocrate
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0133 - Page CXXIX - Analyse des quatre dernières sections des Aphorismes
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0136 - Page CXXXII - Analyse de la doctrine d'Hippocrate
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0139 - Page CXXXV - Réfutation de l'assertion du docteur Rasori
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0149 - Page 1 - Commentaires sur les Aphorismes d'Hippocrate. Section cinquième. Aphorisme premier. La convulsion occasionnée par l'ellébore est mortelle
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0153 - Page 5 - Aphorisme II. La convulsion à la suite d'une blessure est mortelle
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0158 - Page 10 - Aphorisme III. La convulsion ou le hoquet succédant à une hémorrhagie est funeste
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0160 - Page 12 - Aphorisme IV. La convulsion ou le hoquet après une purgation immodérée est fatale
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0163 - Page 15 - Aphorisme V. Si un homme ivre est frappé tout à coup de mutisme, il périt dans les convulsions, à moins qu'il ne soit pris de fièvre, ou qu'à l'instant même de la dissipation de l'ivresse il n'ait recouvré la parole
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0166 - Page 18 - Aphorisme VI. Le tétanos est mortel en quatre jours; passé ce terme, la guérison est possible
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0169 - Page 21 - Aphorisme VII. L'épilepsie qui se déclare avant la puberté peut alors changer; mais celle qui survint à l'âge de vingt-cinq ans, est le plus souvent mortelle
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0173 - Page 25 - Aphorisme VIII. Les pleurésies non jugées entièrement par l'expectoration en quatorze jours, se changent en empyème
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0179 - Page 31 - Aphorisme IX. La phthisie survient surtout de dix-huit à trente-cinq ans
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0181 - Page 33 - Aphorisme X. La métastase de l'angine sur le poumon est mortelle en sept jours; passé ce terme, il y a à craindre l'empyème
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0183 - Page 35 - Aphorisme XI. Dans la phthisie, si on expectore des matières épaisses s'attachant sur des charbons ardens et exhalant une mauvaise odeur, et si le cheveux tombent, la maladie est mortelle
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0184 - Page 36 - Aphorisme XII. Les phthisiques dont les cheveux tombent périssent avec la diarrhée / Aphorisme XIII. Le crachement d'un sang écumeux avec toux provient du poumon / Aphorisme XIV. Dans la phthisie la diarrhée est mortelle / Aphorisme XV. Si, dans l'empyème provenant de pleurésie, on crache entièrement le pus en quarante jours après l'ouverture de l'abcès, la guérison est possible; autrement la maladie se convertit en phthisie
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0192 - Page 44 - Aphorisme XVI. L'abus du chaud produit la flaccidité des chairs, de débilité des nerfs, la torpeur d'esprit, des hémorrhagies, des défaillances, et quelquefois la mort
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0195 - Page 47 - Aphorisme XVII. Le froid cause des convulsions, des tétanos, des taches livides et des frissons fébriles
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0198 - Page 50 - Aphorisme XVIII. Le froid en ennemi des os, des dents, des nerfs, de la moelle épinière; le chaud leur est au contraire favorable
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0201 - Page 53 - Aphorisme XIX. Echauffez les parties saisies par le froid, excepté celles qui sont attaquées d'hémorrhagie actuelle ou prochaine
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0204 - Page 56 - Aphorisme XX. Le froid irrite les plaies, durcit la peau, occasionne de la douleur sans suppuration; produit la gangrène, des frissons fébriles, des spasmes, des tétanos
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0207 - Page 59 - Aphorisme XXI. Lorsque le tétanos attaque un jeune sujet, sans plaie, au milieu de l'été, des affusions abondantes d'eau froide rétablissent la chaleur, et celle-ci résout le spasme
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0210 - Page 62 - Aphorisme XXII. La chaleur, qui est favorable à la suppuration, ne convient cependant pas à toutes les blessures, quoiqu'elle soit le meilleur signe de guérison: en effet, elle rend la peau plus souple, est résolutive, anodyne, contraire aux frissons fébriles, aux spasmes, aux tétanos; ...
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0213 - Page 65 - Aphorisme XXIII. Lorsqu'il y a hémorrhagie ou seulement danger de celle-ci, appliquez le froid, non sur le lieu même, mais aux environs et sur le siège de l'inflammation, pourvu que l'extravasation du sang soit encore récente et d'une couleur naturelle, car dans la phlogose déjà ancienne, la mortification est à craindre...
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0216 - Page 68 - Aphorisme XXIV. Les corps froids, comme la neige, la glace, sont ennemis de la poitrine; ils y excitent la toux, les hémorrhagies et les fluxions
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0218 - Page 70 - Aphorisme XXV. Les douleurs et tumeurs articulaires, goutteuses non ulcérées, et les convulsions, s'apaisent par les affusions abondantes d'eau froide; en effet un engourdissement modéré assoupit la douleur
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0222 - Page 74 - Aphorisme XXVI. L'eau qui s'échauffe promptement et se refroidit de même est la plus légère
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0225 - Page 77 - Aphorisme XXVII. Si la soif se manifeste nuitamment et s'apaise par le sommeil, c'est un bon signe
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0226 - Page 78 - Aphorisme XXVIII. Les fumigations aromatiques excitent le flux menstruel; elles conviendraient généralement plus souvent, s'il n'en résultait pas la pesanteur de tête
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0228 - Page 80 - Aphorisme XXIX. Purgez les femmes grosses, s'il y a turgescence, depuis le quatrième mois jusqu'au septième; plus rarement à cette dernière époque. Craignez pour le foetus plus petit ou plus grand / Aphorisme XXX. Il est mortel pour les femmes d'être prises de maladies aiguës, pendant la grossesse
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0230 - Page 82 - Observation sur la saignée du bras dans la grossesse
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0231 - Page 83 - Aphorisme XXXI. La saignée fait avorter les femmes enceintes, surtout si le foetus est déjà grand
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0233 - Page 85 - Aphorisme XXII. Chez les femmes, le vomissement de sang cesse par l'éruption des règles
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0234 - Page 86 - Aphorisme XXXIII. Si une forte diarrhée se déclare pendant la grossesse, l'avortement est à craindre
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0235 - Page 87 - Aphorisme XXXIV. Dans l'aménorrhée, le saignement de nez est favorable
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0236 - Page 88 - Aphorisme XXXV. Dans l'hystérie et l'accouchement difficile, l'éternuement est de bon augure
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0237 - Page 89 - Aphorisme XXXVI. Chez les femmes, la décoloration et l'irrégularité des menstrues, sont une indication des purgatifs
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0238 - Page 90 - Aphorisme XXXVII. Si les seins d'une femme enceinte s'affaissent tout à coup, c'est un signe de fausse couche
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0239 - Page 91 - Aphorisme XXXVIII. Si la grossesse est double, et si l'une des mamelles s'affaisse subitement avant l'autre, la fausse couche atteint l'un des jumeaux; le foetus masculin ou féminin, si la mamelle droite ou gauche tombe la première
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0240 - Page 92 - Aphorisme XXXIX. Si une femme qui n'est point enceinte ni nouvellement accouchée a du lait dans les seins, ses menstrues sont supprimées
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0241 - Page 93 - Voici une observation qui prouve le rapport qui existe entre la sensibilité de l'utérus et le cerveau
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0243 - Page 95 - Aphorisme XL. Chez les femmes, la congestion du sang vers les mamelles présage la manie
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0245 - Page 97 - Aphorisme XLI. Si vous voulez savoir si une femme a conçu, faites-lui prendre en se couchant, et avec abstinence du repas du soir, de l'eau et du miel délayé. S'il survient des tranchées, il y a grossesse; autrement, point
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0246 - Page 98 - Aphorisme XLII. Si une femme enceinte est bien colorée, le foetus est masculin, et si elle l'est mal, il est féminin
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0247 - Page 99 - Aphorisme XLIII. Si un érysipèle attaque l'utérus pendant la grossesse, il est mortel
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0249 - Page 101 - Aphorisme XLIV. Les femmes enceintes très-grêles, avortent avant de se fortifier
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0251 - Page 103 - Aphorisme XLV. Les femmes de complexion moyenne qui, sans cause manifeste, sont prises de fausse couche le deuxième ou troisième mois de leur grossesse, ont les sinus utérins saturés de mucosités. Ceux-ci, incapables de résister, se rompent sous le poids du foetus
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0252 - Page 104 - Aphorisme XLVI. Les femmes trop replètes sont difficilement fécondes, parce que l'épiploon comprime alors l'orifice utérin; pour concevoir il faut alors qu'elles maigrissent
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0254 - Page 106 - Aphorisme XLVII. Si l'utérus, incliné fortement sur l'ischion, vient à suppurer, nécessairement un ulcère sinueux s'y établira
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0255 - Page 107 - Aphorisme XLVIII. Chez les femmes, les foetus mâles sont du côté droit, et le femelles du côté gauche
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0256 - Page 108 - Aphorisme XLIX. Pour hâter l'expulsion de l(arrière-faix, donnez un sternutatoire, et comprimez ensuite le nez et la bouche
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0257 - Page 109 - Aphorisme L. Si vous voulez modérer le flux menstruel trop abondant, appliquez une large ventouse vers les mamelles
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0258 - Page 110 - Aphorisme LI. Dès que la femme est fécondée, l'orifice utérin est fermé
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0260 - Page 112 - Aphorisme LII. Si le lait s'échappe abondamment pendant la grossesse, c'est un signe de faiblesse du foetus; c'est le contraire si les mamelles sont fermes
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0261 - Page 113 - Aphorisme LIII. Si les seins s'affaissent subitement pendant la grossesse, l'avortement est à craindre, mais s'ils se gonflent de nouveau et deviennent douloureux, ou si la fluxion se porte aux cuisses, aux yeux ou aux genoux, l'avortement n'aura point lieu
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0262 - Page 114 - Aphorisme LIV. Les femmes atteintes d'induration du col de l'utérus, ont nécessairement cet orifice fermé
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0264 - Page 116 - Aphorisme LV. Les femmes enceintes qui maigrissent sans cause manifeste, enfantent difficilement et dangereusement, ou avortent
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0265 - Page 117 - Aphorisme LVI. Dans l'hémorrhagie utérine, les convulsions et le hoquet sont funestes
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0268 - Page 120 - Aphorisme LVII. Le flux menstruel trop abondant est une source de maladies; et son défaut en est une autre d'affections de l'utérus
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0270 - Page 122 - Aphorisme LVIII. La strangurie accompagne l'inflammation du rectum et de l'utérus, et la suppuration des reins; le hoquet suit l'inflammation du foie
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0272 - Page 124 - Aphorisme LIX. Voulez-vous connaître si une femme est apte à la fécondation ? Après l'avoir bien enveloppée de ses couvertures, faites-lui prendre des fumigations avec des aromates; si l'odeur vous paraît avoir monté à travers le corps et la bouche, sachez que l'infécondité n'est point son fait
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0274 - Page 126 - Aphorisme LX. Si les règles continuent pendant la grossesse, le foetus sera nécessairement faible
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0275 - Page 127 - Aphorisme LXI. S'il y a suspension de la menstruation sans fièvre, mais avec dégoût, supputez la grossesse
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0277 - Page 129 - Aphorisme LXII. Les femmes dont l'utérus est froid et compacte ne conçoivent pas; ni celles en qui il est saturé de mucosités, car le feu générateur s'y éteint; ni celles où l'ardeur et la sécheresse dominent, car la liqueur prolifique s'y consume faute d'alimens; mais celles qui tiennent le milieu entre ces deux extrêmes sont surtout fécondes
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0280 - Page 132 - Aphorisme LXIII. Il en est de même des hommes: car des chairs très poreuses laissent échapper l'esprit vivifiant qui n'envoie plus le sperme; ou bien, par trop de densité, la liqueur prolifique ne peut se faire jour; ou par défaut de chaleur naturelle, elle ne peut s'échauffer ni se rassembler dans ses réservoirs; ou cela arrive encore par un excès contraire ou de frigidité
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0282 - Page 134 - Aphorisme LXIV. Le lait est nuisible dans les douleurs de tête et les fièvres, et avec la soif, ou lorsque les hypochondres sont élevés et murmurans; ...
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0285 - Page 137 - Aphorisme LXV. La tuméfaction qui succède aux grandes plaies prévient les convulsions et le délire; ...
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0287 - Page 139 - Aphorisme LXVI. Les grandes plaies sans tuméfaction sont dangereuses
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0288 - Page 140 - Aphorisme LXVII. Les tumeurs molles sont les meilleures; les dures et crues sont les plus mauvaises
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0290 - Page 142 - Aphorisme LXVIII. Dans les douleurs occipitales, la saignée de la veine frontale est utile
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0291 - Page 143 - Aphorisme LXIX. Les frissons se déclarent ordinairement aux lombes chez les femmes, et rampent le long du dos, vers la tête; chez les hommes ils commencent plutôt derrière qu'en devant des coudes et de cuisses, où la peau est plus rare. Cela est visible par les poils
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0292 - Page 144 - Aphorisme LXX. Ceux qui ont la fièvre quarte ne sont pas sujets aux convulsions; et s'il leur survient, elle les on délivre pour l'ordinaire
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0294 - Page 146 - Aphorisme LXXI. Ceux dont la peau est sèche et tendue meurent sans sueur. C'est le contraire lorsqu'elle et sèche et rare
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0296 - Page 148 - Aphorisme LXXII. Les ictériques ne sont presque jamais sujets aux flatuosités
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0298 - Page 150 - Section sixième. Aphorisme premier. Dans la lientérie déjà ancienne, les rapports acides, inaccoutumés, sont d'un augure favorable
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0301 - Page 153 - Aphorisme II. La fluidité du mucus nasal et du sperme indique une santé plus faible, et leur épaississement une plus robuste
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0303 - Page 155 - Aphorisme III. Les ulcères de mauvais caractère ont les bords luisans
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0304 - Page 156 - Aphorisme IV. Dans la dysenterie déjà ancienne, l'appétit entièrement détruit est de mauvais augure
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0306 - Page 158 - Aphorisme V. Sachez si les douleurs de côté, de poitrine et de toute autre partie (circonvoisine) différent beaucoup entre elles
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0307 - Page 159 - Aphorisme VI. Les douleurs néphrétiques et vésicales se détruisent difficilement chez les vieillards
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0308 - Page 160 - Aphorisme VII. Les douleurs de ventre avec élévation sont moins graves qu'avec dépression
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0310 - Page 162 - Aphorisme VIII. Les ulcères des hydropiques sont rebelles
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0312 - Page 164 - Aphorisme IX. Les exanthèmes non circonscrits, ne sont point très prurigineux
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0316 - Page 168 - Aphorisme X. Dans le violens maux de tête et des parties circonvoisines, un écoulement de pus, de sérosité ou de sang, par le nez, la bouche ou les oreilles, termine la maladie
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0317 - Page 169 - Aphorisme XI. Les hémorrhoïdes spontanées sont salutaires dans l'affection des reins et la mélancolie
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0319 - Page 171 - Aphorisme XII. Si en guérissant d'anciennes hémorrhoïdes, on n'en conserve pas au moins une, il y a à craindre ensuite l'hydropisie ou la phthisie
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0321 - Page 173 - Aphorisme XIII. L'éternuement spontané supprime le hoquet
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0322 - Page 174 - Aphorisme XIV. Lorsque, dans l'hydropisie, l'eau reflue des veines dans les intestins, la résolution s'opère
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0325 - Page 177 - Aphorisme XV. Le vomissement spontané fait cesser le cours de ventre
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0327 - Page 179 - Aphorisme XVI. Dans la pleurésie et péripneumonie, la diarrhée n'est pas favorable
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0329 - Page 181 - Aphorisme XVII. Dans l'ophtalmie, la diarrhée est utile
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0330 - Page 182 - Aphorisme XVIII. Les plaies profondes de l'encéphale, du coeur, du diaphragme, des intestins grêles, de l'estomac, du foie ou de la vessie, sont mortelles
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0331 - Page 183 - Aphorisme XIX. Lorsqu'un os, un cartilage, un nerf, l'angle des lèvres ou le prépuce, sont divisés, ils ne croissent, ni se réunissent
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0332 - Page 184 - Aphorisme XX. Si du sang s'extravase contre nature dans une cavité, nécessairement il s'y convertit en pus
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0334 - Page 186 - Aphorisme XXI. Les varices ou les hémorrhoïdes spontanées sont salutaires dans la manie
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0336 - Page 188 - Aphorisme XXII. La saignée guérit les douleurs déchirantes, qui du dos s'étendent aux coudes
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0337 - Page 189 - Aphorisme XXIII. Si la crainte et le découragement sont opiniâtres, ils annoncent la mélancolie
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0339 - Page 191 - Aphorisme XXIV. Si l'intestin grêle est divisé, il ne se rejoint pas
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0340 - Page 192 - Aphorisme XXV. L'érysipèle qui disparaît, pour se porter au dedans, n'est point, favorable; c'est le contraire, s'il se porte du dedans au-dehors
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0342 - Page 194 - Aphorisme XXVI. Le délire dissipe les petits tremblements qui ont lieu dans la fièvre ardente
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0344 - Page 196 - Aphorisme XXVII. Si, dans l'opération de l'empyème ou de l'hydropisie, soit par le fer, soit par le feu, on soutire tout d'un coup toute l'eau ou le pus, la mort peut être subite
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0346 - Page 198 - Aphorisme XXVIII. Les eunuques ne deviennent point chauves, ni sujets à la goutte
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0347 - Page 199 - Aphorismes XXIX - XXX. La goutte ne paraît point avant l'adolescence. La goutte n'atteint point les femmes avant la cessation des règles
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0349 - Page 201 - Aphorisme XXXI. Les douleurs ophtalmiques se guérissent par la boisson de vin pur, les bains, la saignée ou al purgation
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0350 - Page 202 - Aphorisme XXXII. Les bègues sont particulièrement sujets aux longs cours de ventre
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0352 - Page 204 - Aphorisme XXXIII. Ceux qui ont habituellement des renvois acides, sont rarement atteints de pleurésie
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0354 - Page 206 - Aphorisme XXIV. Les sujets chauves n'ont point de grandes varices, ou s'il leur en survient, la calvitie disparaît
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0355 - Page 207 - Aphorisme XXXV. La toux qui survient dans l'hydropisie est de mauvais augure
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0357 - Page 209 - Aphorisme XXXVI. La saignée guérit la dysurie; mais il faut ouvrir les veines internes
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0360 - Page 212 - Aphorisme XXXVII. Dans la squinance, l'enflure qui se manifeste au cou est favorable; car le mal est tout-à-fait extérieur
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0362 - Page 214 - Aphorisme XXXVIII. Il vaut mieux ne point toucher aux cancers occultes; car dans le cas contraire, on les exaspère mortellement, au lieu qu'abandonnés à eux-mêmes, ils laissent vivre plus longtemps
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0364 - Page 216 - Aphorisme XXXIX. Les convulsions viennent d'inanition ou de plénitude; de même que le hoquet
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0366 - Page 218 - Aphorisme XL. Les douleurs non inflammatoires des hypochondres se résolvent, s'il survient de la fièvre
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0368 - Page 220 - Aphorisme XLI. Su une suppuration existe dans quelque partie du corps, sans se manifester, cela vient de l'épaisseur de la matière, ou du lieu où elle est située
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0370 - Page 222 - Aphorisme XLII. Dans l'ictère, l'induration du foie est de mauvais augure
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0373 - Page 225 - Aphorisme XLIII. Dans les affections spléniques, la dysenterie prolongée termine par l'hydropisie ou une lientérie mortelle
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0375 - Page 227 - Aphorisme XLIV. L'iléus paraissant dans la strangurie donne la mort en sept jours, à moins que la fièvre ne se déclare avec un flux d'urine très abondant
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0377 - Page 229 - Aphorisme XLV. Les ulcères annuels ou plus anciens occasionnent nécessairement la carie de l'os et des cicatrices profondes
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0380 - Page 232 - Aphorisme XLVI. La gibbosité qui se manifeste avec l'asthme et la toux, fait périr avant la puberté
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0382 - Page 234 - Aphorisme XLVII. Ceux qui se trouvent bien de la saignée ou de la purgation, doivent y recourir au printemps
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0384 - Page 236 - Aphorisme XLVIII. La dysenterie est utile dans les maladies de la rate
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0386 - Page 238 - Aphorisme XLIX. Les attaques inflammatoires de goutte se guérissent par résolution, en quarante jours
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0391 - Page 243 - Aphorisme L. Les plaies pénétrantes du cerveau, causent nécessairement la fièvre et le vomissement de bile
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0393 - Page 245 - Aphorisme LI. Une violente douleur de tête, chez les personnes en santé, avec perte de la voix et une respiration stertoreuse, donne la mort en sept jours, si la fièvre ne survient pas
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0395 - Page 247 - Aphorisme LII. Considérez même les yeux dans le sommeil; car si du blanc se laisse apercevoir entre les paupières à demi closes, sans être l'effet d'un flux de ventre ou d'un purgatif, ce signe est mauvais et même mortel
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0397 - Page 249 - Aphorisme LIII. Les délires gais inspirent plus de sécurité, les sérieux plus de crainte
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0400 - Page 252 - Aphorisme LIV. Dans les maladies aiguës avec fièvre, la respiration plaintive est un mauvais signe
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0401 - Page 253 - Aphorisme LV. Les affections goutteuses se renouvellent surtout au printemps et en automne
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0404 - Page 256 - Aphorisme LVI. Dans les maladies atrabilaires, les métastases de la mélancolie sont à craindre, pouvant produire la paralysie, les convulsions, la manie et la cécité
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0410 - Page 262 - Aphorisme LVII. L'apoplexie attaque surtout les sujets de quarante à soixante ans
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0412 - Page 264 - Aphorisme LVIII. Si l'épiploon sort, il doit nécessairement se corrompre
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0414 - Page 266 - Aphorisme LIX. Lorsqu'à la suite d'une sciatique chronique, le fémur luxé est chassé de la cavité cotyloïde, nécessairement celle-ci se remplit de mucosités
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0415 - Page 267 - Aphorisme LX. La luxation du fémur, à la suite de sciatique chronique, est suivie de claudication et de marasme, si l'on n'y applique pas le feu
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0417 - Page 269 - Observation XXIII