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Nouvelle traduction des aphorismes d'Hippocrate, et commentaires spécialement applicables à la médecine dite clinique, avec...

Collections
Hippocrate
Classe de ressource
Monographie
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Identifiant
ark:/13685/33271x03
Titre
Nouvelle traduction des aphorismes d'Hippocrate, et commentaires spécialement applicables à la médecine dite clinique, avec le traité des humeurs, d'Hippocrate -- traduit du grec par M. le Chevalier de Mercy, Ve et VIe sections. tome III
Date
1829
Éditeur
Paris : Béchet Jeune
Siècle
XIXe siècle
Format
Nombre de vues : 420
Notes
Précédé d'une préface, d'un texte sur intitulé Du danger des innovations dans l'instruction médicale et d'une analyse du traité hippocratique des Vents.
Cote du document
33271x03
Licence
Licence Ouverte
Table des matières
0001 - Page sans numérotation - [page du faux titre]0001 - Page sans numérotation - [page du faux titre]
0003 - Page sans numérotation - [page de titre]0003 - Page sans numérotation - [page de titre]
0005 - I - Préface0005 - I - Préface
0045 - Page XLI - Avis au Lecteur0045 - Page XLI - Avis au Lecteur
0055 - Page LI - Du danger des innovations dans l'instruction médicale0055 - Page LI - Du danger des innovations dans l'instruction médicale
0109 - Page CV - Conclusion0109 - Page CV - Conclusion
0111 - Page CVII - Pièces justificatives0111 - Page CVII - Pièces justificatives
0125 - Page CXXI - Analyse du Traité des vents, traduit du grec d'Hippocrate0125 - Page CXXI - Analyse du Traité des vents, traduit du grec d'Hippocrate
0133 - Page CXXIX - Analyse des quatre dernières sections des Aphorismes0133 - Page CXXIX - Analyse des quatre dernières sections des Aphorismes
0136 - Page CXXXII - Analyse de la doctrine d'Hippocrate0136 - Page CXXXII - Analyse de la doctrine d'Hippocrate
0139 - Page CXXXV - Réfutation de l'assertion du docteur Rasori0139 - Page CXXXV - Réfutation de l'assertion du docteur Rasori
0149 - Page 1 - Commentaires sur les Aphorismes d'Hippocrate. Section cinquième. Aphorisme premier. La convulsion occasionnée par l'ellébore est mortelle0149 - Page 1 - Commentaires sur les Aphorismes d'Hippocrate. Section cinquième. Aphorisme premier. La convulsion occasionnée par l'ellébore est mortelle
0153 - Page 5 - Aphorisme II. La convulsion à la suite d'une blessure est mortelle0153 - Page 5 - Aphorisme II. La convulsion à la suite d'une blessure est mortelle
0158 - Page 10 - Aphorisme III. La convulsion ou le hoquet succédant à une hémorrhagie est funeste0158 - Page 10 - Aphorisme III. La convulsion ou le hoquet succédant à une hémorrhagie est funeste
0160 - Page 12 - Aphorisme IV. La convulsion ou le hoquet après une purgation immodérée est fatale0160 - Page 12 - Aphorisme IV. La convulsion ou le hoquet après une purgation immodérée est fatale
0163 - Page 15 - Aphorisme V. Si un homme ivre est frappé tout à coup de mutisme, il périt dans les convulsions, à moins qu'il ne soit pris de fièvre, ou qu'à l'instant même de la dissipation de l'ivresse il n'ait recouvré la parole0163 - Page 15 - Aphorisme V. Si un homme ivre est frappé tout à coup de mutisme, il périt dans les convulsions, à moins qu'il ne soit pris de fièvre, ou qu'à l'instant même de la dissipation de l'ivresse il n'ait recouvré la parole
0166 - Page 18 - Aphorisme VI. Le tétanos est mortel en quatre jours; passé ce terme, la guérison est possible0166 - Page 18 - Aphorisme VI. Le tétanos est mortel en quatre jours; passé ce terme, la guérison est possible
0169 - Page 21 - Aphorisme VII. L'épilepsie qui se déclare avant la puberté peut alors changer; mais celle qui survint à l'âge de vingt-cinq ans, est le plus souvent mortelle0169 - Page 21 - Aphorisme VII. L'épilepsie qui se déclare avant la puberté peut alors changer; mais celle qui survint à l'âge de vingt-cinq ans, est le plus souvent mortelle
0173 - Page 25 - Aphorisme VIII. Les pleurésies non jugées entièrement par l'expectoration en quatorze jours, se changent en empyème0173 - Page 25 - Aphorisme VIII. Les pleurésies non jugées entièrement par l'expectoration en quatorze jours, se changent en empyème
0179 - Page 31 - Aphorisme IX. La phthisie survient surtout de dix-huit à trente-cinq ans0179 - Page 31 - Aphorisme IX. La phthisie survient surtout de dix-huit à trente-cinq ans
0181 - Page 33 - Aphorisme X. La métastase de l'angine sur le poumon est mortelle en sept jours; passé ce terme, il y a à craindre l'empyème0181 - Page 33 - Aphorisme X. La métastase de l'angine sur le poumon est mortelle en sept jours; passé ce terme, il y a à craindre l'empyème
0183 - Page 35 - Aphorisme XI. Dans la phthisie, si on expectore des matières épaisses s'attachant sur des charbons ardens et exhalant une mauvaise odeur, et si le cheveux tombent, la maladie est mortelle0183 - Page 35 - Aphorisme XI. Dans la phthisie, si on expectore des matières épaisses s'attachant sur des charbons ardens et exhalant une mauvaise odeur, et si le cheveux tombent, la maladie est mortelle
0184 - Page 36 - Aphorisme XII. Les phthisiques dont les cheveux tombent périssent avec la diarrhée / Aphorisme XIII. Le crachement d'un sang écumeux avec toux provient du poumon / Aphorisme XIV. Dans la phthisie la diarrhée est mortelle / Aphorisme XV. Si, dans l'empyème provenant de pleurésie, on crache entièrement le pus en quarante jours après l'ouverture de l'abcès, la guérison est possible; autrement la maladie se convertit en phthisie0184 - Page 36 - Aphorisme XII. Les phthisiques dont les cheveux tombent périssent avec la diarrhée / Aphorisme XIII. Le crachement d'un sang écumeux avec toux provient du poumon / Aphorisme XIV. Dans la phthisie la diarrhée est mortelle / Aphorisme XV. Si, dans l'empyème provenant de pleurésie, on crache entièrement le pus en quarante jours après l'ouverture de l'abcès, la guérison est possible; autrement la maladie se convertit en phthisie
0192 - Page 44 - Aphorisme XVI. L'abus du chaud produit la flaccidité des chairs, de débilité des nerfs, la torpeur d'esprit, des hémorrhagies, des défaillances, et quelquefois la mort0192 - Page 44 - Aphorisme XVI. L'abus du chaud produit la flaccidité des chairs, de débilité des nerfs, la torpeur d'esprit, des hémorrhagies, des défaillances, et quelquefois la mort
0195 - Page 47 - Aphorisme XVII. Le froid cause des convulsions, des tétanos, des taches livides et des frissons fébriles0195 - Page 47 - Aphorisme XVII. Le froid cause des convulsions, des tétanos, des taches livides et des frissons fébriles
0198 - Page 50 - Aphorisme XVIII. Le froid en ennemi des os, des dents, des nerfs, de la moelle épinière; le chaud leur est au contraire favorable0198 - Page 50 - Aphorisme XVIII. Le froid en ennemi des os, des dents, des nerfs, de la moelle épinière; le chaud leur est au contraire favorable
0201 - Page 53 - Aphorisme XIX. Echauffez les parties saisies par le froid, excepté celles qui sont attaquées d'hémorrhagie actuelle ou prochaine0201 - Page 53 - Aphorisme XIX. Echauffez les parties saisies par le froid, excepté celles qui sont attaquées d'hémorrhagie actuelle ou prochaine
0204 - Page 56 - Aphorisme XX. Le froid irrite les plaies, durcit la peau, occasionne de la douleur sans suppuration; produit la gangrène, des frissons fébriles, des spasmes, des tétanos0204 - Page 56 - Aphorisme XX. Le froid irrite les plaies, durcit la peau, occasionne de la douleur sans suppuration; produit la gangrène, des frissons fébriles, des spasmes, des tétanos
0207 - Page 59 - Aphorisme XXI. Lorsque le tétanos attaque un jeune sujet, sans plaie, au milieu de l'été, des affusions abondantes d'eau froide rétablissent la chaleur, et celle-ci résout le spasme0207 - Page 59 - Aphorisme XXI. Lorsque le tétanos attaque un jeune sujet, sans plaie, au milieu de l'été, des affusions abondantes d'eau froide rétablissent la chaleur, et celle-ci résout le spasme
0210 - Page 62 - Aphorisme XXII. La chaleur, qui est favorable à la suppuration, ne convient cependant pas à toutes les blessures, quoiqu'elle soit le meilleur signe de guérison: en effet, elle rend la peau plus souple, est résolutive, anodyne, contraire aux frissons fébriles, aux spasmes, aux tétanos; ...0210 - Page 62 - Aphorisme XXII. La chaleur, qui est favorable à la suppuration, ne convient cependant pas à toutes les blessures, quoiqu'elle soit le meilleur signe de guérison: en effet, elle rend la peau plus souple, est résolutive, anodyne, contraire aux frissons fébriles, aux spasmes, aux tétanos; ...
0213 - Page 65 - Aphorisme XXIII. Lorsqu'il y a hémorrhagie ou seulement danger de celle-ci, appliquez le froid, non sur le lieu même, mais aux environs et sur le siège de l'inflammation, pourvu que l'extravasation du sang soit encore récente et d'une couleur naturelle, car dans la phlogose déjà ancienne, la mortification est à craindre...0213 - Page 65 - Aphorisme XXIII. Lorsqu'il y a hémorrhagie ou seulement danger de celle-ci, appliquez le froid, non sur le lieu même, mais aux environs et sur le siège de l'inflammation, pourvu que l'extravasation du sang soit encore récente et d'une couleur naturelle, car dans la phlogose déjà ancienne, la mortification est à craindre...
0216 - Page 68 - Aphorisme XXIV. Les corps froids, comme la neige, la glace, sont ennemis de la poitrine; ils y excitent la toux, les hémorrhagies et les fluxions0216 - Page 68 - Aphorisme XXIV. Les corps froids, comme la neige, la glace, sont ennemis de la poitrine; ils y excitent la toux, les hémorrhagies et les fluxions
0218 - Page 70 - Aphorisme XXV. Les douleurs et tumeurs articulaires, goutteuses non ulcérées, et les convulsions, s'apaisent par les affusions abondantes d'eau froide; en effet un engourdissement modéré assoupit la douleur0218 - Page 70 - Aphorisme XXV. Les douleurs et tumeurs articulaires, goutteuses non ulcérées, et les convulsions, s'apaisent par les affusions abondantes d'eau froide; en effet un engourdissement modéré assoupit la douleur
0222 - Page 74 - Aphorisme XXVI. L'eau qui s'échauffe promptement et se refroidit de même est la plus légère0222 - Page 74 - Aphorisme XXVI. L'eau qui s'échauffe promptement et se refroidit de même est la plus légère
0225 - Page 77 - Aphorisme XXVII. Si la soif se manifeste nuitamment et s'apaise par le sommeil, c'est un bon signe0225 - Page 77 - Aphorisme XXVII. Si la soif se manifeste nuitamment et s'apaise par le sommeil, c'est un bon signe
0226 - Page 78 - Aphorisme XXVIII. Les fumigations aromatiques excitent le flux menstruel; elles conviendraient généralement plus souvent, s'il n'en résultait pas la pesanteur de tête0226 - Page 78 - Aphorisme XXVIII. Les fumigations aromatiques excitent le flux menstruel; elles conviendraient généralement plus souvent, s'il n'en résultait pas la pesanteur de tête
0228 - Page 80 - Aphorisme XXIX. Purgez les femmes grosses, s'il y a turgescence, depuis le quatrième mois jusqu'au septième; plus rarement à cette dernière époque. Craignez pour le foetus plus petit ou plus grand / Aphorisme XXX. Il est mortel pour les femmes d'être prises de maladies aiguës, pendant la grossesse0228 - Page 80 - Aphorisme XXIX. Purgez les femmes grosses, s'il y a turgescence, depuis le quatrième mois jusqu'au septième; plus rarement à cette dernière époque. Craignez pour le foetus plus petit ou plus grand / Aphorisme XXX. Il est mortel pour les femmes d'être prises de maladies aiguës, pendant la grossesse
0230 - Page 82 - Observation sur la saignée du bras dans la grossesse0230 - Page 82 - Observation sur la saignée du bras dans la grossesse
0231 - Page 83 - Aphorisme XXXI. La saignée fait avorter les femmes enceintes, surtout si le foetus est déjà grand0231 - Page 83 - Aphorisme XXXI. La saignée fait avorter les femmes enceintes, surtout si le foetus est déjà grand
0233 - Page 85 - Aphorisme XXII. Chez les femmes, le vomissement de sang cesse par l'éruption des règles0233 - Page 85 - Aphorisme XXII. Chez les femmes, le vomissement de sang cesse par l'éruption des règles
0234 - Page 86 - Aphorisme XXXIII. Si une forte diarrhée se déclare pendant la grossesse, l'avortement est à craindre0234 - Page 86 - Aphorisme XXXIII. Si une forte diarrhée se déclare pendant la grossesse, l'avortement est à craindre
0235 - Page 87 - Aphorisme XXXIV. Dans l'aménorrhée, le saignement de nez est favorable0235 - Page 87 - Aphorisme XXXIV. Dans l'aménorrhée, le saignement de nez est favorable
0236 - Page 88 - Aphorisme XXXV. Dans l'hystérie et l'accouchement difficile, l'éternuement est de bon augure0236 - Page 88 - Aphorisme XXXV. Dans l'hystérie et l'accouchement difficile, l'éternuement est de bon augure
0237 - Page 89 - Aphorisme XXXVI. Chez les femmes, la décoloration et l'irrégularité des menstrues, sont une indication des purgatifs0237 - Page 89 - Aphorisme XXXVI. Chez les femmes, la décoloration et l'irrégularité des menstrues, sont une indication des purgatifs
0238 - Page 90 - Aphorisme XXXVII. Si les seins d'une femme enceinte s'affaissent tout à coup, c'est un signe de fausse couche0238 - Page 90 - Aphorisme XXXVII. Si les seins d'une femme enceinte s'affaissent tout à coup, c'est un signe de fausse couche
0239 - Page 91 - Aphorisme XXXVIII. Si la grossesse est double, et si l'une des mamelles s'affaisse subitement avant l'autre, la fausse couche atteint l'un des jumeaux; le foetus masculin ou féminin, si la mamelle droite ou gauche tombe la première0239 - Page 91 - Aphorisme XXXVIII. Si la grossesse est double, et si l'une des mamelles s'affaisse subitement avant l'autre, la fausse couche atteint l'un des jumeaux; le foetus masculin ou féminin, si la mamelle droite ou gauche tombe la première
0240 - Page 92 - Aphorisme XXXIX. Si une femme qui n'est point enceinte ni nouvellement accouchée a du lait dans les seins, ses menstrues sont supprimées0240 - Page 92 - Aphorisme XXXIX. Si une femme qui n'est point enceinte ni nouvellement accouchée a du lait dans les seins, ses menstrues sont supprimées
0241 - Page 93 - Voici une observation qui prouve le rapport qui existe entre la sensibilité de l'utérus et le cerveau0241 - Page 93 - Voici une observation qui prouve le rapport qui existe entre la sensibilité de l'utérus et le cerveau
0243 - Page 95 - Aphorisme XL. Chez les femmes, la congestion du sang vers les mamelles présage la manie0243 - Page 95 - Aphorisme XL. Chez les femmes, la congestion du sang vers les mamelles présage la manie
0245 - Page 97 - Aphorisme XLI. Si vous voulez savoir si une femme a conçu, faites-lui prendre en se couchant, et avec abstinence du repas du soir, de l'eau et du miel délayé. S'il survient des tranchées, il y a grossesse; autrement, point0245 - Page 97 - Aphorisme XLI. Si vous voulez savoir si une femme a conçu, faites-lui prendre en se couchant, et avec abstinence du repas du soir, de l'eau et du miel délayé. S'il survient des tranchées, il y a grossesse; autrement, point
0246 - Page 98 - Aphorisme XLII. Si une femme enceinte est bien colorée, le foetus est masculin, et si elle l'est mal, il est féminin0246 - Page 98 - Aphorisme XLII. Si une femme enceinte est bien colorée, le foetus est masculin, et si elle l'est mal, il est féminin
0247 - Page 99 - Aphorisme XLIII. Si un érysipèle attaque l'utérus pendant la grossesse, il est mortel0247 - Page 99 - Aphorisme XLIII. Si un érysipèle attaque l'utérus pendant la grossesse, il est mortel
0249 - Page 101 - Aphorisme XLIV. Les femmes enceintes très-grêles, avortent avant de se fortifier0249 - Page 101 - Aphorisme XLIV. Les femmes enceintes très-grêles, avortent avant de se fortifier
0251 - Page 103 - Aphorisme XLV. Les femmes de complexion moyenne qui, sans cause manifeste, sont prises de fausse couche le deuxième ou troisième mois de leur grossesse, ont les sinus utérins saturés de mucosités. Ceux-ci, incapables de résister, se rompent sous le poids du foetus0251 - Page 103 - Aphorisme XLV. Les femmes de complexion moyenne qui, sans cause manifeste, sont prises de fausse couche le deuxième ou troisième mois de leur grossesse, ont les sinus utérins saturés de mucosités. Ceux-ci, incapables de résister, se rompent sous le poids du foetus
0252 - Page 104 - Aphorisme XLVI. Les femmes trop replètes sont difficilement fécondes, parce que l'épiploon comprime alors l'orifice utérin; pour concevoir il faut alors qu'elles maigrissent0252 - Page 104 - Aphorisme XLVI. Les femmes trop replètes sont difficilement fécondes, parce que l'épiploon comprime alors l'orifice utérin; pour concevoir il faut alors qu'elles maigrissent
0254 - Page 106 - Aphorisme XLVII. Si l'utérus, incliné fortement sur l'ischion, vient à suppurer, nécessairement un ulcère sinueux s'y établira0254 - Page 106 - Aphorisme XLVII. Si l'utérus, incliné fortement sur l'ischion, vient à suppurer, nécessairement un ulcère sinueux s'y établira
0255 - Page 107 - Aphorisme XLVIII. Chez les femmes, les foetus mâles sont du côté droit, et le femelles du côté gauche0255 - Page 107 - Aphorisme XLVIII. Chez les femmes, les foetus mâles sont du côté droit, et le femelles du côté gauche
0256 - Page 108 - Aphorisme XLIX. Pour hâter l'expulsion de l(arrière-faix, donnez un sternutatoire, et comprimez ensuite le nez et la bouche0256 - Page 108 - Aphorisme XLIX. Pour hâter l'expulsion de l(arrière-faix, donnez un sternutatoire, et comprimez ensuite le nez et la bouche
0257 - Page 109 - Aphorisme L. Si vous voulez modérer le flux menstruel trop abondant, appliquez une large ventouse vers les mamelles0257 - Page 109 - Aphorisme L. Si vous voulez modérer le flux menstruel trop abondant, appliquez une large ventouse vers les mamelles
0258 - Page 110 - Aphorisme LI. Dès que la femme est fécondée, l'orifice utérin est fermé0258 - Page 110 - Aphorisme LI. Dès que la femme est fécondée, l'orifice utérin est fermé
0260 - Page 112 - Aphorisme LII. Si le lait s'échappe abondamment pendant la grossesse, c'est un signe de faiblesse du foetus; c'est le contraire si les mamelles sont fermes0260 - Page 112 - Aphorisme LII. Si le lait s'échappe abondamment pendant la grossesse, c'est un signe de faiblesse du foetus; c'est le contraire si les mamelles sont fermes
0261 - Page 113 - Aphorisme LIII. Si les seins s'affaissent subitement pendant la grossesse, l'avortement est à craindre, mais s'ils se gonflent de nouveau et deviennent douloureux, ou si la fluxion se porte aux cuisses, aux yeux ou aux genoux, l'avortement n'aura point lieu0261 - Page 113 - Aphorisme LIII. Si les seins s'affaissent subitement pendant la grossesse, l'avortement est à craindre, mais s'ils se gonflent de nouveau et deviennent douloureux, ou si la fluxion se porte aux cuisses, aux yeux ou aux genoux, l'avortement n'aura point lieu
0262 - Page 114 - Aphorisme LIV. Les femmes atteintes d'induration du col de l'utérus, ont nécessairement cet orifice fermé0262 - Page 114 - Aphorisme LIV. Les femmes atteintes d'induration du col de l'utérus, ont nécessairement cet orifice fermé
0264 - Page 116 - Aphorisme LV. Les femmes enceintes qui maigrissent sans cause manifeste, enfantent difficilement et dangereusement, ou avortent0264 - Page 116 - Aphorisme LV. Les femmes enceintes qui maigrissent sans cause manifeste, enfantent difficilement et dangereusement, ou avortent
0265 - Page 117 - Aphorisme LVI. Dans l'hémorrhagie utérine, les convulsions et le hoquet sont funestes0265 - Page 117 - Aphorisme LVI. Dans l'hémorrhagie utérine, les convulsions et le hoquet sont funestes
0268 - Page 120 - Aphorisme LVII. Le flux menstruel trop abondant est une source de maladies; et son défaut en est une autre d'affections de l'utérus0268 - Page 120 - Aphorisme LVII. Le flux menstruel trop abondant est une source de maladies; et son défaut en est une autre d'affections de l'utérus
0270 - Page 122 - Aphorisme LVIII. La strangurie accompagne l'inflammation du rectum et de l'utérus, et la suppuration des reins; le hoquet suit l'inflammation du foie0270 - Page 122 - Aphorisme LVIII. La strangurie accompagne l'inflammation du rectum et de l'utérus, et la suppuration des reins; le hoquet suit l'inflammation du foie
0272 - Page 124 - Aphorisme LIX. Voulez-vous connaître si une femme est apte à la fécondation ? Après l'avoir bien enveloppée de ses couvertures, faites-lui prendre des fumigations avec des aromates; si l'odeur vous paraît avoir monté à travers le corps et la bouche, sachez que l'infécondité n'est point son fait0272 - Page 124 - Aphorisme LIX. Voulez-vous connaître si une femme est apte à la fécondation ? Après l'avoir bien enveloppée de ses couvertures, faites-lui prendre des fumigations avec des aromates; si l'odeur vous paraît avoir monté à travers le corps et la bouche, sachez que l'infécondité n'est point son fait
0274 - Page 126 - Aphorisme LX. Si les règles continuent pendant la grossesse, le foetus sera nécessairement faible0274 - Page 126 - Aphorisme LX. Si les règles continuent pendant la grossesse, le foetus sera nécessairement faible
0275 - Page 127 - Aphorisme LXI. S'il y a suspension de la menstruation sans fièvre, mais avec dégoût, supputez la grossesse0275 - Page 127 - Aphorisme LXI. S'il y a suspension de la menstruation sans fièvre, mais avec dégoût, supputez la grossesse
0277 - Page 129 - Aphorisme LXII. Les femmes dont l'utérus est froid et compacte ne conçoivent pas; ni celles en qui il est saturé de mucosités, car le feu générateur s'y éteint; ni celles où l'ardeur et la sécheresse dominent, car la liqueur prolifique s'y consume faute d'alimens; mais celles qui tiennent le milieu entre ces deux extrêmes sont surtout fécondes0277 - Page 129 - Aphorisme LXII. Les femmes dont l'utérus est froid et compacte ne conçoivent pas; ni celles en qui il est saturé de mucosités, car le feu générateur s'y éteint; ni celles où l'ardeur et la sécheresse dominent, car la liqueur prolifique s'y consume faute d'alimens; mais celles qui tiennent le milieu entre ces deux extrêmes sont surtout fécondes
0280 - Page 132 - Aphorisme LXIII. Il en est de même des hommes: car des chairs très poreuses laissent échapper l'esprit vivifiant qui n'envoie plus le sperme; ou bien, par trop de densité, la liqueur prolifique ne peut se faire jour; ou par défaut de chaleur naturelle, elle ne peut s'échauffer ni se rassembler dans ses réservoirs; ou cela arrive encore par un excès contraire ou de frigidité0280 - Page 132 - Aphorisme LXIII. Il en est de même des hommes: car des chairs très poreuses laissent échapper l'esprit vivifiant qui n'envoie plus le sperme; ou bien, par trop de densité, la liqueur prolifique ne peut se faire jour; ou par défaut de chaleur naturelle, elle ne peut s'échauffer ni se rassembler dans ses réservoirs; ou cela arrive encore par un excès contraire ou de frigidité
0282 - Page 134 - Aphorisme LXIV. Le lait est nuisible dans les douleurs de tête et les fièvres, et avec la soif, ou lorsque les hypochondres sont élevés et murmurans; ...0282 - Page 134 - Aphorisme LXIV. Le lait est nuisible dans les douleurs de tête et les fièvres, et avec la soif, ou lorsque les hypochondres sont élevés et murmurans; ...
0285 - Page 137 - Aphorisme LXV. La tuméfaction qui succède aux grandes plaies prévient les convulsions et le délire; ...0285 - Page 137 - Aphorisme LXV. La tuméfaction qui succède aux grandes plaies prévient les convulsions et le délire; ...
0287 - Page 139 - Aphorisme LXVI. Les grandes plaies sans tuméfaction sont dangereuses0287 - Page 139 - Aphorisme LXVI. Les grandes plaies sans tuméfaction sont dangereuses
0288 - Page 140 - Aphorisme LXVII. Les tumeurs molles sont les meilleures; les dures et crues sont les plus mauvaises0288 - Page 140 - Aphorisme LXVII. Les tumeurs molles sont les meilleures; les dures et crues sont les plus mauvaises
0290 - Page 142 - Aphorisme LXVIII. Dans les douleurs occipitales, la saignée de la veine frontale est utile0290 - Page 142 - Aphorisme LXVIII. Dans les douleurs occipitales, la saignée de la veine frontale est utile
0291 - Page 143 - Aphorisme LXIX. Les frissons se déclarent ordinairement aux lombes chez les femmes, et rampent le long du dos, vers la tête; chez les hommes ils commencent plutôt derrière qu'en devant des coudes et de cuisses, où la peau est plus rare. Cela est visible par les poils0291 - Page 143 - Aphorisme LXIX. Les frissons se déclarent ordinairement aux lombes chez les femmes, et rampent le long du dos, vers la tête; chez les hommes ils commencent plutôt derrière qu'en devant des coudes et de cuisses, où la peau est plus rare. Cela est visible par les poils
0292 - Page 144 - Aphorisme LXX. Ceux qui ont la fièvre quarte ne sont pas sujets aux convulsions; et s'il leur survient, elle les on délivre pour l'ordinaire0292 - Page 144 - Aphorisme LXX. Ceux qui ont la fièvre quarte ne sont pas sujets aux convulsions; et s'il leur survient, elle les on délivre pour l'ordinaire
0294 - Page 146 - Aphorisme LXXI. Ceux dont la peau est sèche et tendue meurent sans sueur. C'est le contraire lorsqu'elle et sèche et rare0294 - Page 146 - Aphorisme LXXI. Ceux dont la peau est sèche et tendue meurent sans sueur. C'est le contraire lorsqu'elle et sèche et rare
0296 - Page 148 - Aphorisme LXXII. Les ictériques ne sont presque jamais sujets aux flatuosités0296 - Page 148 - Aphorisme LXXII. Les ictériques ne sont presque jamais sujets aux flatuosités
0298 - Page 150 - Section sixième. Aphorisme premier. Dans la lientérie déjà ancienne, les rapports acides, inaccoutumés, sont d'un augure favorable0298 - Page 150 - Section sixième. Aphorisme premier. Dans la lientérie déjà ancienne, les rapports acides, inaccoutumés, sont d'un augure favorable
0301 - Page 153 - Aphorisme II. La fluidité du mucus nasal et du sperme indique une santé plus faible, et leur épaississement une plus robuste0301 - Page 153 - Aphorisme II. La fluidité du mucus nasal et du sperme indique une santé plus faible, et leur épaississement une plus robuste
0303 - Page 155 - Aphorisme III. Les ulcères de mauvais caractère ont les bords luisans0303 - Page 155 - Aphorisme III. Les ulcères de mauvais caractère ont les bords luisans
0304 - Page 156 - Aphorisme IV. Dans la dysenterie déjà ancienne, l'appétit entièrement détruit est de mauvais augure0304 - Page 156 - Aphorisme IV. Dans la dysenterie déjà ancienne, l'appétit entièrement détruit est de mauvais augure
0306 - Page 158 - Aphorisme V. Sachez si les douleurs de côté, de poitrine et de toute autre partie (circonvoisine) différent beaucoup entre elles0306 - Page 158 - Aphorisme V. Sachez si les douleurs de côté, de poitrine et de toute autre partie (circonvoisine) différent beaucoup entre elles
0307 - Page 159 - Aphorisme VI. Les douleurs néphrétiques et vésicales se détruisent difficilement chez les vieillards0307 - Page 159 - Aphorisme VI. Les douleurs néphrétiques et vésicales se détruisent difficilement chez les vieillards
0308 - Page 160 - Aphorisme VII. Les douleurs de ventre avec élévation sont moins graves qu'avec dépression0308 - Page 160 - Aphorisme VII. Les douleurs de ventre avec élévation sont moins graves qu'avec dépression
0310 - Page 162 - Aphorisme VIII. Les ulcères des hydropiques sont rebelles0310 - Page 162 - Aphorisme VIII. Les ulcères des hydropiques sont rebelles
0312 - Page 164 - Aphorisme IX. Les exanthèmes non circonscrits, ne sont point très prurigineux0312 - Page 164 - Aphorisme IX. Les exanthèmes non circonscrits, ne sont point très prurigineux
0316 - Page 168 - Aphorisme X. Dans le violens maux de tête et des parties circonvoisines, un écoulement de pus, de sérosité ou de sang, par le nez, la bouche ou les oreilles, termine la maladie0316 - Page 168 - Aphorisme X. Dans le violens maux de tête et des parties circonvoisines, un écoulement de pus, de sérosité ou de sang, par le nez, la bouche ou les oreilles, termine la maladie
0317 - Page 169 - Aphorisme XI. Les hémorrhoïdes spontanées sont salutaires dans l'affection des reins et la mélancolie0317 - Page 169 - Aphorisme XI. Les hémorrhoïdes spontanées sont salutaires dans l'affection des reins et la mélancolie
0319 - Page 171 - Aphorisme XII. Si en guérissant d'anciennes hémorrhoïdes, on n'en conserve pas au moins une, il y a à craindre ensuite l'hydropisie ou la phthisie0319 - Page 171 - Aphorisme XII. Si en guérissant d'anciennes hémorrhoïdes, on n'en conserve pas au moins une, il y a à craindre ensuite l'hydropisie ou la phthisie
0321 - Page 173 - Aphorisme XIII. L'éternuement spontané supprime le hoquet0321 - Page 173 - Aphorisme XIII. L'éternuement spontané supprime le hoquet
0322 - Page 174 - Aphorisme XIV. Lorsque, dans l'hydropisie, l'eau reflue des veines dans les intestins, la résolution s'opère0322 - Page 174 - Aphorisme XIV. Lorsque, dans l'hydropisie, l'eau reflue des veines dans les intestins, la résolution s'opère
0325 - Page 177 - Aphorisme XV. Le vomissement spontané fait cesser le cours de ventre0325 - Page 177 - Aphorisme XV. Le vomissement spontané fait cesser le cours de ventre
0327 - Page 179 - Aphorisme XVI. Dans la pleurésie et péripneumonie, la diarrhée n'est pas favorable0327 - Page 179 - Aphorisme XVI. Dans la pleurésie et péripneumonie, la diarrhée n'est pas favorable
0329 - Page 181 - Aphorisme XVII. Dans l'ophtalmie, la diarrhée est utile0329 - Page 181 - Aphorisme XVII. Dans l'ophtalmie, la diarrhée est utile
0330 - Page 182 - Aphorisme XVIII. Les plaies profondes de l'encéphale, du coeur, du diaphragme, des intestins grêles, de l'estomac, du foie ou de la vessie, sont mortelles0330 - Page 182 - Aphorisme XVIII. Les plaies profondes de l'encéphale, du coeur, du diaphragme, des intestins grêles, de l'estomac, du foie ou de la vessie, sont mortelles
0331 - Page 183 - Aphorisme XIX. Lorsqu'un os, un cartilage, un nerf, l'angle des lèvres ou le prépuce, sont divisés, ils ne croissent, ni se réunissent0331 - Page 183 - Aphorisme XIX. Lorsqu'un os, un cartilage, un nerf, l'angle des lèvres ou le prépuce, sont divisés, ils ne croissent, ni se réunissent
0332 - Page 184 - Aphorisme XX. Si du sang s'extravase contre nature dans une cavité, nécessairement il s'y convertit en pus0332 - Page 184 - Aphorisme XX. Si du sang s'extravase contre nature dans une cavité, nécessairement il s'y convertit en pus
0334 - Page 186 - Aphorisme XXI. Les varices ou les hémorrhoïdes spontanées sont salutaires dans la manie0334 - Page 186 - Aphorisme XXI. Les varices ou les hémorrhoïdes spontanées sont salutaires dans la manie
0336 - Page 188 - Aphorisme XXII. La saignée guérit les douleurs déchirantes, qui du dos s'étendent aux coudes0336 - Page 188 - Aphorisme XXII. La saignée guérit les douleurs déchirantes, qui du dos s'étendent aux coudes
0337 - Page 189 - Aphorisme XXIII. Si la crainte et le découragement sont opiniâtres, ils annoncent la mélancolie0337 - Page 189 - Aphorisme XXIII. Si la crainte et le découragement sont opiniâtres, ils annoncent la mélancolie
0339 - Page 191 - Aphorisme XXIV. Si l'intestin grêle est divisé, il ne se rejoint pas0339 - Page 191 - Aphorisme XXIV. Si l'intestin grêle est divisé, il ne se rejoint pas
0340 - Page 192 - Aphorisme XXV. L'érysipèle qui disparaît, pour se porter au dedans, n'est point, favorable; c'est le contraire, s'il se porte du dedans au-dehors0340 - Page 192 - Aphorisme XXV. L'érysipèle qui disparaît, pour se porter au dedans, n'est point, favorable; c'est le contraire, s'il se porte du dedans au-dehors
0342 - Page 194 - Aphorisme XXVI. Le délire dissipe les petits tremblements qui ont lieu dans la fièvre ardente0342 - Page 194 - Aphorisme XXVI. Le délire dissipe les petits tremblements qui ont lieu dans la fièvre ardente
0344 - Page 196 - Aphorisme XXVII. Si, dans l'opération de l'empyème ou de l'hydropisie, soit par le fer, soit par le feu, on soutire tout d'un coup toute l'eau ou le pus, la mort peut être subite0344 - Page 196 - Aphorisme XXVII. Si, dans l'opération de l'empyème ou de l'hydropisie, soit par le fer, soit par le feu, on soutire tout d'un coup toute l'eau ou le pus, la mort peut être subite
0346 - Page 198 - Aphorisme XXVIII. Les eunuques ne deviennent point chauves, ni sujets à la goutte0346 - Page 198 - Aphorisme XXVIII. Les eunuques ne deviennent point chauves, ni sujets à la goutte
0347 - Page 199 - Aphorismes XXIX - XXX. La goutte ne paraît point avant l'adolescence. La goutte n'atteint point les femmes avant la cessation des règles0347 - Page 199 - Aphorismes XXIX - XXX. La goutte ne paraît point avant l'adolescence. La goutte n'atteint point les femmes avant la cessation des règles
0349 - Page 201 - Aphorisme XXXI. Les douleurs ophtalmiques se guérissent par la boisson de vin pur, les bains, la saignée ou al purgation0349 - Page 201 - Aphorisme XXXI. Les douleurs ophtalmiques se guérissent par la boisson de vin pur, les bains, la saignée ou al purgation
0350 - Page 202 - Aphorisme XXXII. Les bègues sont particulièrement sujets aux longs cours de ventre0350 - Page 202 - Aphorisme XXXII. Les bègues sont particulièrement sujets aux longs cours de ventre
0352 - Page 204 - Aphorisme XXXIII. Ceux qui ont habituellement des renvois acides, sont rarement atteints de pleurésie0352 - Page 204 - Aphorisme XXXIII. Ceux qui ont habituellement des renvois acides, sont rarement atteints de pleurésie
0354 - Page 206 - Aphorisme XXIV. Les sujets chauves n'ont point de grandes varices, ou s'il leur en survient, la calvitie disparaît0354 - Page 206 - Aphorisme XXIV. Les sujets chauves n'ont point de grandes varices, ou s'il leur en survient, la calvitie disparaît
0355 - Page 207 - Aphorisme XXXV. La toux qui survient dans l'hydropisie est de mauvais augure0355 - Page 207 - Aphorisme XXXV. La toux qui survient dans l'hydropisie est de mauvais augure
0357 - Page 209 - Aphorisme XXXVI. La saignée guérit la dysurie; mais il faut ouvrir les veines internes0357 - Page 209 - Aphorisme XXXVI. La saignée guérit la dysurie; mais il faut ouvrir les veines internes
0360 - Page 212 - Aphorisme XXXVII. Dans la squinance, l'enflure qui se manifeste au cou est favorable; car le mal est tout-à-fait extérieur0360 - Page 212 - Aphorisme XXXVII. Dans la squinance, l'enflure qui se manifeste au cou est favorable; car le mal est tout-à-fait extérieur
0362 - Page 214 - Aphorisme XXXVIII. Il vaut mieux ne point toucher aux cancers occultes; car dans le cas contraire, on les exaspère mortellement, au lieu qu'abandonnés à eux-mêmes, ils laissent vivre plus longtemps0362 - Page 214 - Aphorisme XXXVIII. Il vaut mieux ne point toucher aux cancers occultes; car dans le cas contraire, on les exaspère mortellement, au lieu qu'abandonnés à eux-mêmes, ils laissent vivre plus longtemps
0364 - Page 216 - Aphorisme XXXIX. Les convulsions viennent d'inanition ou de plénitude; de même que le hoquet0364 - Page 216 - Aphorisme XXXIX. Les convulsions viennent d'inanition ou de plénitude; de même que le hoquet
0366 - Page 218 - Aphorisme XL. Les douleurs non inflammatoires des hypochondres se résolvent, s'il survient de la fièvre0366 - Page 218 - Aphorisme XL. Les douleurs non inflammatoires des hypochondres se résolvent, s'il survient de la fièvre
0368 - Page 220 - Aphorisme XLI. Su une suppuration existe dans quelque partie du corps, sans se manifester, cela vient de l'épaisseur de la matière, ou du lieu où elle est située0368 - Page 220 - Aphorisme XLI. Su une suppuration existe dans quelque partie du corps, sans se manifester, cela vient de l'épaisseur de la matière, ou du lieu où elle est située
0370 - Page 222 - Aphorisme XLII. Dans l'ictère, l'induration du foie est de mauvais augure0370 - Page 222 - Aphorisme XLII. Dans l'ictère, l'induration du foie est de mauvais augure
0373 - Page 225 - Aphorisme XLIII. Dans les affections spléniques, la dysenterie prolongée termine par l'hydropisie ou une lientérie mortelle0373 - Page 225 - Aphorisme XLIII. Dans les affections spléniques, la dysenterie prolongée termine par l'hydropisie ou une lientérie mortelle
0375 - Page 227 - Aphorisme XLIV. L'iléus paraissant dans la strangurie donne la mort en sept jours, à moins que la fièvre ne se déclare avec un flux d'urine très abondant0375 - Page 227 - Aphorisme XLIV. L'iléus paraissant dans la strangurie donne la mort en sept jours, à moins que la fièvre ne se déclare avec un flux d'urine très abondant
0377 - Page 229 - Aphorisme XLV. Les ulcères annuels ou plus anciens occasionnent nécessairement la carie de l'os et des cicatrices profondes0377 - Page 229 - Aphorisme XLV. Les ulcères annuels ou plus anciens occasionnent nécessairement la carie de l'os et des cicatrices profondes
0380 - Page 232 - Aphorisme XLVI. La gibbosité qui se manifeste avec l'asthme et la toux, fait périr avant la puberté0380 - Page 232 - Aphorisme XLVI. La gibbosité qui se manifeste avec l'asthme et la toux, fait périr avant la puberté
0382 - Page 234 - Aphorisme XLVII. Ceux qui se trouvent bien de la saignée ou de la purgation, doivent y recourir au printemps0382 - Page 234 - Aphorisme XLVII. Ceux qui se trouvent bien de la saignée ou de la purgation, doivent y recourir au printemps
0384 - Page 236 - Aphorisme XLVIII. La dysenterie est utile dans les maladies de la rate0384 - Page 236 - Aphorisme XLVIII. La dysenterie est utile dans les maladies de la rate
0386 - Page 238 - Aphorisme XLIX. Les attaques inflammatoires de goutte se guérissent par résolution, en quarante jours0386 - Page 238 - Aphorisme XLIX. Les attaques inflammatoires de goutte se guérissent par résolution, en quarante jours
0391 - Page 243 - Aphorisme L. Les plaies pénétrantes du cerveau, causent nécessairement la fièvre et le vomissement de bile0391 - Page 243 - Aphorisme L. Les plaies pénétrantes du cerveau, causent nécessairement la fièvre et le vomissement de bile
0393 - Page 245 - Aphorisme LI. Une violente douleur de tête, chez les personnes en santé, avec perte de la voix et une respiration stertoreuse, donne la mort en sept jours, si la fièvre ne survient pas0393 - Page 245 - Aphorisme LI. Une violente douleur de tête, chez les personnes en santé, avec perte de la voix et une respiration stertoreuse, donne la mort en sept jours, si la fièvre ne survient pas
0395 - Page 247 - Aphorisme LII. Considérez même les yeux dans le sommeil; car si du blanc se laisse apercevoir entre les paupières à demi closes, sans être l'effet d'un flux de ventre ou d'un purgatif, ce signe est mauvais et même mortel0395 - Page 247 - Aphorisme LII. Considérez même les yeux dans le sommeil; car si du blanc se laisse apercevoir entre les paupières à demi closes, sans être l'effet d'un flux de ventre ou d'un purgatif, ce signe est mauvais et même mortel
0397 - Page 249 - Aphorisme LIII. Les délires gais inspirent plus de sécurité, les sérieux plus de crainte0397 - Page 249 - Aphorisme LIII. Les délires gais inspirent plus de sécurité, les sérieux plus de crainte
0400 - Page 252 - Aphorisme LIV. Dans les maladies aiguës avec fièvre, la respiration plaintive est un mauvais signe0400 - Page 252 - Aphorisme LIV. Dans les maladies aiguës avec fièvre, la respiration plaintive est un mauvais signe
0401 - Page 253 - Aphorisme LV. Les affections goutteuses se renouvellent surtout au printemps et en automne0401 - Page 253 - Aphorisme LV. Les affections goutteuses se renouvellent surtout au printemps et en automne
0404 - Page 256 - Aphorisme LVI. Dans les maladies atrabilaires, les métastases de la mélancolie sont à craindre, pouvant produire la paralysie, les convulsions, la manie et la cécité0404 - Page 256 - Aphorisme LVI. Dans les maladies atrabilaires, les métastases de la mélancolie sont à craindre, pouvant produire la paralysie, les convulsions, la manie et la cécité
0410 - Page 262 - Aphorisme LVII. L'apoplexie attaque surtout les sujets de quarante à soixante ans0410 - Page 262 - Aphorisme LVII. L'apoplexie attaque surtout les sujets de quarante à soixante ans
0412 - Page 264 - Aphorisme LVIII. Si l'épiploon sort, il doit nécessairement se corrompre0412 - Page 264 - Aphorisme LVIII. Si l'épiploon sort, il doit nécessairement se corrompre
0414 - Page 266 - Aphorisme LIX. Lorsqu'à la suite d'une sciatique chronique, le fémur luxé est chassé de la cavité cotyloïde, nécessairement celle-ci se remplit de mucosités0414 - Page 266 - Aphorisme LIX. Lorsqu'à la suite d'une sciatique chronique, le fémur luxé est chassé de la cavité cotyloïde, nécessairement celle-ci se remplit de mucosités
0415 - Page 267 - Aphorisme LX. La luxation du fémur, à la suite de sciatique chronique, est suivie de claudication et de marasme, si l'on n'y applique pas le feu0415 - Page 267 - Aphorisme LX. La luxation du fémur, à la suite de sciatique chronique, est suivie de claudication et de marasme, si l'on n'y applique pas le feu
0417 - Page 269 - Observation XXIII0417 - Page 269 - Observation XXIII