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Nouvelle traduction des aphorismes d'Hippocrate, et commentaires spécialement applicables à la médecine dite clinique, avec...

Collections
Hippocrate
Classe de ressource
Monographie
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Identifiant
ark:/13685/33271x02_z
Titre
Nouvelle traduction des aphorismes d'Hippocrate, et commentaires spécialement applicables à la médecine dite clinique, avec le traité des humeurs, d'Hippocrate -- traduit du grec par M. le Chevalier de Mercy, tome II e
Date
1821
Éditeur
Paris : Vigor Renaudière
Siècle
XIXe siècle
Format
Nombre de vues : 340
Notes
Suivi de Réflexions sur le nouveau système de classification des fièvres
Cote du document
33271x02
Licence
Licence Ouverte
Table des matières
0001 - Page sans numérotation - [page de faux titre]0001 - Page sans numérotation - [page de faux titre]
0002 - Page sans numérotation - [Avertissement]0002 - Page sans numérotation - [Avertissement]
0003 - Page sans numérotation - [page de titre]0003 - Page sans numérotation - [page de titre]
0005 - Page 1 - Commentaires sur les Aphorismes d'Hippocrate. Section quatrième. Aphorisme XLVIII. Dans les fièvres continues, si les parties externes sont froides et les internes brûlantes avec une grande soif, c'est un signe mortel0005 - Page 1 - Commentaires sur les Aphorismes d'Hippocrate. Section quatrième. Aphorisme XLVIII. Dans les fièvres continues, si les parties externes sont froides et les internes brûlantes avec une grande soif, c'est un signe mortel
0019 - Page 15 - Aphorisme XLIX. Dans une fièvre continue, si les lèvres, l'oeil, le sourcil ou le nez paraissent renversés, si l'audition et la vue sont supprimés par l'extrême faiblesse, la mort est prochaine0019 - Page 15 - Aphorisme XLIX. Dans une fièvre continue, si les lèvres, l'oeil, le sourcil ou le nez paraissent renversés, si l'audition et la vue sont supprimés par l'extrême faiblesse, la mort est prochaine
0026 - Page 22 - Aphorisme L. Dans une fièvre continue, la difficulté de respirer et le délire, sont des signes mortels0026 - Page 22 - Aphorisme L. Dans une fièvre continue, la difficulté de respirer et le délire, sont des signes mortels
0030 - Page 26 - Aphorisme LI. Dans les fièvres, les abcès qui ne se résolvent pas, des les premières crises, présagent une maladie longue0030 - Page 26 - Aphorisme LI. Dans les fièvres, les abcès qui ne se résolvent pas, des les premières crises, présagent une maladie longue
0037 - Page 33 - Aphorisme LII. Dans les fièvres ou autres maladies, les larmes volontaires ou motivées n'ont rien d'extraordinaire, mais il y a bien plus de danger si elles sont involontaires0037 - Page 33 - Aphorisme LII. Dans les fièvres ou autres maladies, les larmes volontaires ou motivées n'ont rien d'extraordinaire, mais il y a bien plus de danger si elles sont involontaires
0040 - Page 36 - Aphorisme LIII. Les fièvres dans lesquelles se développent des viscosités autour des dents, deviennent plus grave0040 - Page 36 - Aphorisme LIII. Les fièvres dans lesquelles se développent des viscosités autour des dents, deviennent plus grave
0049 - Page 45 - Aphorisme LIV. Ceux qui ont longuement une petite toux sèche, avec peu d'irritation, ne sont pas beaucoup altérés dans la fièvre ardente0049 - Page 45 - Aphorisme LIV. Ceux qui ont longuement une petite toux sèche, avec peu d'irritation, ne sont pas beaucoup altérés dans la fièvre ardente
0055 - Page 51 - Aphorisme LV. Les fièvres qui accompagnent les bubons sont toutes mauvaises, à l'exception de l'éphémère0055 - Page 51 - Aphorisme LV. Les fièvres qui accompagnent les bubons sont toutes mauvaises, à l'exception de l'éphémère
0069 - Page 65 - Peste ou fièvre adeno-nerveuse0069 - Page 65 - Peste ou fièvre adeno-nerveuse
0072 - Page 68 - Aphorisme LVI. La sueur qui survient dans la fièvre, non suivie de rémission, est mauvaise, car la maladie se prolonge; ou c'est un signe de superfluité des humeurs0072 - Page 68 - Aphorisme LVI. La sueur qui survient dans la fièvre, non suivie de rémission, est mauvaise, car la maladie se prolonge; ou c'est un signe de superfluité des humeurs
0081 - Page 77 - Aphorisme LVII. La fièvre qui survient dans les convulsions, ou le tétanos, en est la guérison0081 - Page 77 - Aphorisme LVII. La fièvre qui survient dans les convulsions, ou le tétanos, en est la guérison
0090 - Page 86 - Aphorisme LVIII. Un violent frisson dans la fièvre ardente, en est la solution0090 - Page 86 - Aphorisme LVIII. Un violent frisson dans la fièvre ardente, en est la solution
0095 - Page 91 - Aphorisme LIX. La fièvre tierce vraie se juge après, sept paroxysmes, au plus0095 - Page 91 - Aphorisme LIX. La fièvre tierce vraie se juge après, sept paroxysmes, au plus
0099 - Page 95 - Aphorisme LX. Dans les fièvres où il survient une surdité, l'hémorragie nazale ou le flux de ventre la termine0099 - Page 95 - Aphorisme LX. Dans les fièvres où il survient une surdité, l'hémorragie nazale ou le flux de ventre la termine
0104 - Page 100 - Aphorisme LXI. Si la fièvre ne cesse pas, après un jour critique, elle revient pour l'ordinaire0104 - Page 100 - Aphorisme LXI. Si la fièvre ne cesse pas, après un jour critique, elle revient pour l'ordinaire
0109 - Page 105 - Aphorisme LXII. Dans la fièvre, la jaunisse qui paraît avant le septième jour est mauvaise, (à moins qu'il ne survienne des évacuations du ventre)0109 - Page 105 - Aphorisme LXII. Dans la fièvre, la jaunisse qui paraît avant le septième jour est mauvaise, (à moins qu'il ne survienne des évacuations du ventre)
0119 - Page 115 - Aphorisme LXIII. Les fièvres, où les frissons sont quotidiens, on leurs rémissions chaque jour0119 - Page 115 - Aphorisme LXIII. Les fièvres, où les frissons sont quotidiens, on leurs rémissions chaque jour
0125 - Page 121 - Aphorisme LXIV. Dans les fièvres la jaunisse avant le neuvième, onzième ou quatorzième jour, est favorable, à moins que l'hypocondre droit ne soit tuméfié; autrement elle est mauvaise0125 - Page 121 - Aphorisme LXIV. Dans les fièvres la jaunisse avant le neuvième, onzième ou quatorzième jour, est favorable, à moins que l'hypocondre droit ne soit tuméfié; autrement elle est mauvaise
0134 - Page 130 - Inflammation aiguë du foie0134 - Page 130 - Inflammation aiguë du foie
0136 - Page 132 - Aphorisme LXV. Dans les fièvres, l'ardeur excessive du ventre et les pincemens à l'orifice supérieur de l'estomac sont de mauvais augure0136 - Page 132 - Aphorisme LXV. Dans les fièvres, l'ardeur excessive du ventre et les pincemens à l'orifice supérieur de l'estomac sont de mauvais augure
0144 - Page 140 - Fièvre puerpérale, du genre typhoïde0144 - Page 140 - Fièvre puerpérale, du genre typhoïde
0146 - Page 142 - Fièvre rémittente bilieuse. (purpuérale)0146 - Page 142 - Fièvre rémittente bilieuse. (purpuérale)
0149 - Page 145 - Considérations sur la nature particulière des maladies, à raison du climat; description de la fièvre jaune sporadique0149 - Page 145 - Considérations sur la nature particulière des maladies, à raison du climat; description de la fièvre jaune sporadique
0152 - Page 148 - Aphorisme LXVI. Dans les fièvres aiguës, les convulsions et les fortes douleurs autour des viscères, ne sont pas d'un bon augure0152 - Page 148 - Aphorisme LXVI. Dans les fièvres aiguës, les convulsions et les fortes douleurs autour des viscères, ne sont pas d'un bon augure
0155 - Page 151 - Fièvre puerpérale accompagnée d'inflammation de l'estomac0155 - Page 151 - Fièvre puerpérale accompagnée d'inflammation de l'estomac
0158 - Page 154 - Autopsie cadavérique. Observations relatives au traitement des fièvres0158 - Page 154 - Autopsie cadavérique. Observations relatives au traitement des fièvres
0164 - Page 160 - Aphorisme LXVII. Dans les fièvres, les terreurs et convulsions, pendant le sommeil, sont de sinistres présages0164 - Page 160 - Aphorisme LXVII. Dans les fièvres, les terreurs et convulsions, pendant le sommeil, sont de sinistres présages
0166 - Page 162 - Fièvre double tierce (ataxique pernicieuse)0166 - Page 162 - Fièvre double tierce (ataxique pernicieuse)
0168 - Page 164 - Aphorisme LXVIII. Dans les fièvres, la respiration entrecoupée est mauvaise, elle annonce des convulsions0168 - Page 164 - Aphorisme LXVIII. Dans les fièvres, la respiration entrecoupée est mauvaise, elle annonce des convulsions
0172 - Page 168 - Fièvre maligne ou ataxique0172 - Page 168 - Fièvre maligne ou ataxique
0181 - Page 177 - Aphorisme LXIX. Dans les fièvres, les urines épaisses, grumeuses, en petite quantité, sont favorables, s'il en survient de claires et abondantes; or elles sont telles au début des maladies, ou peu de temps après0181 - Page 177 - Aphorisme LXIX. Dans les fièvres, les urines épaisses, grumeuses, en petite quantité, sont favorables, s'il en survient de claires et abondantes; or elles sont telles au début des maladies, ou peu de temps après
0186 - Page 182 - Aphorisme LXX. Dans les fièvres, les urines troubles, épaisses, semblables à celles des bêtes de somme, dénoncent des douleurs de tête, actuelles ou à venir0186 - Page 182 - Aphorisme LXX. Dans les fièvres, les urines troubles, épaisses, semblables à celles des bêtes de somme, dénoncent des douleurs de tête, actuelles ou à venir
0192 - Page 188 - Aphorisme LXXI. Si la maladie doit se juger le septième jour, l'urine contient au quatrième, un nuage rougeâtre, si toutefois les autres signes sont favorables0192 - Page 188 - Aphorisme LXXI. Si la maladie doit se juger le septième jour, l'urine contient au quatrième, un nuage rougeâtre, si toutefois les autres signes sont favorables
0196 - Page 192 - Aphorisme LXXII. Des urines claires ou blanches sont mauvaises; on les remarque surtout dans la phrénésie0196 - Page 192 - Aphorisme LXXII. Des urines claires ou blanches sont mauvaises; on les remarque surtout dans la phrénésie
0199 - Page 195 - Aphorisme LXXIII. Lorsque le hypocondres sont élevés et murmurans, avec douleurs des lombes, attendez-vous au flux de ventre, à des émissions gaseuses, ou à  des urines copieuses: ceci arrive surtout dans les fièvres0199 - Page 195 - Aphorisme LXXIII. Lorsque le hypocondres sont élevés et murmurans, avec douleurs des lombes, attendez-vous au flux de ventre, à des émissions gaseuses, ou à des urines copieuses: ceci arrive surtout dans les fièvres
0204 - Page 200 - Aphorisme LXXIV. Ceux qui ont à craindre des dépôts aux articulations, en sont préservés par des urines épaisses et blanches, telles qu'au quatrième jour des fièvres, accompagnées de lassitude pénible. L'hémorragie nazale très-abondante, les guérit aussi très-promptement0204 - Page 200 - Aphorisme LXXIV. Ceux qui ont à craindre des dépôts aux articulations, en sont préservés par des urines épaisses et blanches, telles qu'au quatrième jour des fièvres, accompagnées de lassitude pénible. L'hémorragie nazale très-abondante, les guérit aussi très-promptement
0209 - Page 205 - Fièvre adynamique dite putride, compliquée de parotides0209 - Page 205 - Fièvre adynamique dite putride, compliquée de parotides
0211 - Page 207 - Fièvre continue du genre typhoïde0211 - Page 207 - Fièvre continue du genre typhoïde
0216 - Page 212 - Aphorisme LXXVI. Quand on rend avec des urines épaisses, des espèces de caroncules ou des filamens, ces matières viennent des reins0216 - Page 212 - Aphorisme LXXVI. Quand on rend avec des urines épaisses, des espèces de caroncules ou des filamens, ces matières viennent des reins
0233 - Page 231 - Aphorisme LXXVII. Si l'on rend une urine épaisse, avec des matières semblables à du son, c'est un signe de dartres à la vessie0233 - Page 231 - Aphorisme LXXVII. Si l'on rend une urine épaisse, avec des matières semblables à du son, c'est un signe de dartres à la vessie
0238 - Page 236 - Aphorisme LXXVIII. Le pissement de sang spontané, indique la rupture d'une veine des reins0238 - Page 236 - Aphorisme LXXVIII. Le pissement de sang spontané, indique la rupture d'une veine des reins
0242 - Page 240 - Aphorisme LXXIX. L'urine chargée de sable, désigne une affection calculeuse des reins ou de la vessie0242 - Page 240 - Aphorisme LXXIX. L'urine chargée de sable, désigne une affection calculeuse des reins ou de la vessie
0248 - Page 246 - Aphorisme LXXX. Si l'on rend par l'urétre, le sang pur on des grumeaux de sang, avec strangurie et douleur à l'hypogastre et au périnée, la vessie ou ses dépendances sont affectées0248 - Page 246 - Aphorisme LXXX. Si l'on rend par l'urétre, le sang pur on des grumeaux de sang, avec strangurie et douleur à l'hypogastre et au périnée, la vessie ou ses dépendances sont affectées
0252 - Page 250 - Aphorisme LXXXI. Si l'on pisse de sang ou le pus, et de petites écailles, si l'urine a une mauvaise odeur, ce sont les signes d'un ulcère des reins ou de la vessie0252 - Page 250 - Aphorisme LXXXI. Si l'on pisse de sang ou le pus, et de petites écailles, si l'urine a une mauvaise odeur, ce sont les signes d'un ulcère des reins ou de la vessie
0258 - Page 256 - Aphorisme LXXXII. Lorsqu'un tubercule formé dans l'urètre vient à suppurer, l'écoulement du pus est la guérison0258 - Page 256 - Aphorisme LXXXII. Lorsqu'un tubercule formé dans l'urètre vient à suppurer, l'écoulement du pus est la guérison
0265 - Page 263 - Aphorisme LXXXIII. L'excrétion urinaire nuitamment, peu copieuse, annonce pour lendemain de faibles déjections0265 - Page 263 - Aphorisme LXXXIII. L'excrétion urinaire nuitamment, peu copieuse, annonce pour lendemain de faibles déjections
0271 - Page 269 - Réflexions sur le nouveau système de classification des fièvres0271 - Page 269 - Réflexions sur le nouveau système de classification des fièvres
0294 - Page 292 - Conclusions0294 - Page 292 - Conclusions
0301 - Page 299 - Tableau topographique et médical pour la description des Maladies endémiques, d'après le plan suivi d'Hippocrate (traité des airs, des eaux et des lieux), par M. Gérardin, médecin à la Nouvelle-Orléans0301 - Page 299 - Tableau topographique et médical pour la description des Maladies endémiques, d'après le plan suivi d'Hippocrate (traité des airs, des eaux et des lieux), par M. Gérardin, médecin à la Nouvelle-Orléans
0304 - Page 302 - Constitution physique du jeune Créole d'origine française, et du Français qui arrive d'Europe0304 - Page 302 - Constitution physique du jeune Créole d'origine française, et du Français qui arrive d'Europe
0307 - Page 305 - Post-scriptum0307 - Page 305 - Post-scriptum
0310 - Page 308 - Table des noms des auteurs et des ouvrages cités dans les Commentaires0310 - Page 308 - Table des noms des auteurs et des ouvrages cités dans les Commentaires
0317 - Page sans numérotation - Diplomata Universitatum0317 - Page sans numérotation - Diplomata Universitatum
0319 - Page 1 - Gazette de Gottingue, page 1804 - année 1814. Aphorismes d'Hippocrate. Edition grecque, latine, française, 1811, tom 1er de la traduction0319 - Page 1 - Gazette de Gottingue, page 1804 - année 1814. Aphorismes d'Hippocrate. Edition grecque, latine, française, 1811, tom 1er de la traduction
0320 - Page 2 - Pronostics d'Hippocrate, tom 20320 - Page 2 - Pronostics d'Hippocrate, tom 2
0322 - Page 4 - Pronostics de Cos, tom 30322 - Page 4 - Pronostics de Cos, tom 3
0326 - Page 8 - Observations sur les Pronostics et les Prorrhétics d'Hippocrate, traduits sur le texte grec, par M. de Marcy0326 - Page 8 - Observations sur les Pronostics et les Prorrhétics d'Hippocrate, traduits sur le texte grec, par M. de Marcy
0334 - Page 16 - Pronostics de Cos et Epidémies (tom 4 de la traduction), par M. de Mercy0334 - Page 16 - Pronostics de Cos et Epidémies (tom 4 de la traduction), par M. de Mercy
0338 - Page 20 - Nouvelle traduction des Aphorismes d'Hippocrate, et Commentaires spécialement applicables à l'étude de la Médecine pratique, dite Clinique, par M. de Mercy0338 - Page 20 - Nouvelle traduction des Aphorismes d'Hippocrate, et Commentaires spécialement applicables à l'étude de la Médecine pratique, dite Clinique, par M. de Mercy
0340 - Page 22 - Errata0340 - Page 22 - Errata