Paradoxe ou traité medullaire auquel est amplement prouvé contre l’opinion commune & vulgaire que la...
- Collections
- Littérature médicale en français de 1601 à 1700
- Classe de ressource
- Monographie
- DESCRIPTION
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- PARCOURIR
- Identifiant
- ark:/13685/30920x02
- Titre
- Paradoxe ou traité medullaire auquel est amplement prouvé contre l’opinion commune & vulgaire que la moelle n’est pas la nourriture des os
- Créateur
- Marque, Jacques de
- Date
- 1609
- Éditeur
- Paris : chez Catherine Niverd
- Siècle
- XVIIe siècle
- Format
- Nombre de vues : 293
- Cote du document
- 30920 (2)
- Licence
- Licence Ouverte
- Univers Numerabilis
- Médecine
- Sur l'auteur
- Marque, Jacques de (1571 - 1622)
- Identifiant SUDOC
- Notice dans le Sudoc
- Table des matières
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0001 - Page sans numérotation - [Page de titre]
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0003 - Page sans numérotation - Epistre
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0008 - Page sans numérotation - Preface aux Lecteurs
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0017 - Page 1 - Necessité de la nourriture, & qu'il en faut moins à l'os qu'à toutes les autres parties du corps. Chapitre I
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0026 - Page 10 - Les diuerses opinions de la matiere nutrimentale des os. Chapitre II
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0035 - Page 19 - Que la moëlle ne peut nourrir les os puis qu'elle est de qualité & de substance contraire à la nature d'iceux. Chap. III
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0061 - Page 45 - Que tous les os du corps auroient de la moëlle, si elle estoit leur nourriture, ce qu'ils n'ont pas. Chapitre IIII
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0090 - Page 74 - Que la diuersité des especes & differences de la moëlle, & la varieté & mutation d'icelle demonstre qu'elle n'est pas la nourriture des os. Chapitre V
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0109 - Page 93 - Que la moëlle est excrement de l'os, & neantmoins, ainsi que la graisse, partie similaire du corps, & que pour ces raisons elle ne peut estre aliment. Chap. VI
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0129 - Page 113 - De plusieurs animaux fort osseux qui n'ont point, ou peu, de moëlle; d'autres qui en ont grande quantité & peu d'os: & qu'il y a des hommes qui n'en ont point du tout, & des plantes qui en beaucoup & n'en viuent pas. Chapitre VII
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0148 - Page 132 - Que les os sont nourris immediatement de sang, ainsi que toutes les autres parties du corps. Chap. VIII
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0169 - Page 157 - La moëlle seroit l'une des quatre secondes humeurs, si elle nourrisoit les os, ce qu'elle n'est pas. Chapitre IX
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0182 - Page 170 - Par quels signes & experiences nous recognoissons que c'est le sang qui nourrit les os, & non pas la moëlle. Chapitre X
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0199 - Page 187 - Que la moëlle n'est pas la matiere de laquelle le callus se fait aux os fracturez, & partant qu'elle n'est pas la matiere nutrimentale d'iceux. Chapitre XI
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0221 - Page 209 - De quoy sert la moëlle dedans les os. Chapitre XII
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0248 - Page 236 - Conclusion
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0251 - Page sans numérotation - Indice des autheurs qui sont alleguez en ce liure
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0256 - Page sans numérotation - Extraict du Priuilege du Roy
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0257 - Page sans numérotation - A Monsieur Lanay
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0258 - Page sans numérotation - Sommaire des Chapitres contenus en ce premier Paradoxe
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0260 - Page sans numérotation - Autre Sommaire contenant les principales questions contenues dans ce Liure, outre les precedentes, que M. Lanay a soustenues affirmatiues. Nous les maintenons icy, & les prouuerons negatiues
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0265 - Page sans numérotation - Table ou Indice des principales matieres, et choses plus notables contenuës en ce present Liure