Traité de Primerose sur les erreurs vulgaires de la médecine, avec des additions très curieuses....
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- Monographie
- DESCRIPTION
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- Identifiant
- ark:/13685/32684
- Titre
- Traité de Primerose sur les erreurs vulgaires de la médecine, avec des additions très curieuses. Par M. de Rostagny
- Créateur
- Primerose, James
- Date
- 1689
- Éditeur
- Lyon : chez Jean Certe
- Siècle
- XVIIe siècle
- Format
- Nombre de vues : 894
- Cote du document
- 32684
- Licence
- Licence Ouverte
- Identifiant SUDOC
- Notice dans le Sudoc
- Table des matières
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0004 - Page sans numérotation - [Page de titre]
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0006 - Page sans numérotation - A Monseigneur l'évêque de Marseille
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0010 - Page sans numérotation - Table des livres et des chapitres de ces erreurs vulgaires de la médecine
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0023 - Page sans numérotation - Approbation
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0024 - Page sans numérotation - Extrait du privilège du Roy
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0025 - Page sans numérotation - Le sentiment de Zacutus Portugais, écrivant à un de ses amis, sur le livre de Primerose, des erreurs vulgaires de la médecine
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0028 - Page sans numérotation - Préface de Primerose
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0032 - Page 1 - Des médecins / Chapitre I. Des médecins en général
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0035 - Page 4 - Chapitre II. Des docteurs en médecine
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0039 - Page 8 - Chapitre III. Des serviteurs des médecins, & des apoticaires qui font la médecine
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0041 - Page 10 - Chapitre IV. Des docteurs en théologie qui exercent la médecine
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0050 - Page 19 - Chapitre V. Des femmes qui se mélent d'exercer la médecine & la chirurgie
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0053 - Page 22 - Chapitre VI. Des charlatans
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0056 - Page 25 - Chapitre VII. Des antidotes des charlatans
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0061 - Page 30 - Chapitre VIII. Du baume & de l'onguent des charlatans
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0065 - Page 34 - Chapitre IX. De ceux qui se ventent d'être de la secte de Paracelse
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0068 - Page 37 - Chapitre X. Qu'un médecin ne doit pas ignorer la chirurgie
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0072 - Page 41 - Chapitre XI. Savoir s'il est permis à un médecin de composer luy-même les remedes qu'il ordonne
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0074 - Page 43 - Chapitre XII. De ceux qui se ventent d'avoir des secrets
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0078 - Page 47 - Chapitre XIII. Des médecins qui passent pour être heureux
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0082 - Page 51 - Chapitre XIV. Des médecins qui passent pour fort experimentez
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0087 - Page 56 - Chapitre XV. De plusieurs gens qui examinent les urines, qui tâtent le poux, & qui prescrivent des remèdes purgatifs
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0090 - Page 59 - Chapitre XVI. De ceux qui promettent de guerir facilement le mal vénérien
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0094 - Page 63 - Chapitre XVII. De l'erreur de ceux qui croient que la médecine des hommes differe de celle des brutes
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0102 - Page 71 - Chapitre XVIII. Que la médecine est un art mécanique
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0121 - Page 90 - Chapitre XIX. Qu'il n'y a point de partie de Médecine, destinée à la conservation de la santé distinguée de l'art de guérir
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0128 - Page 97 - Chapitre XX. Des médecins qui attribuent trop aux astres
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0152 - Page 121 - Livre second. Des erreurs touchant certaines maladies & de leur connoissance / Chapitre I. Du jugement trompeur des urines
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0161 - Page 130 - Chapitre II. De l'impossibilité de connoître par les urines, ny le sexe, ny la grossesse d'une femme
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0167 - Page 136 - Chapitre III. Réponse aux raisons qui semblent favoriser le jugement par les urines
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0172 - Page 141 - Chapitrev IV. Que ce n'est pas toujours une bonne marque quand l'urine devient trouble dans les maladies
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0175 - Page 144 - Chapitre V. Que la consomption ne peut être connue par les urines
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0180 - Page 149 - Chapitre VI. De la consomption
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0187 - Page 156 - Chapitre VII. De la peste, à savoir si elle se communique
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0192 - Page 161 - Chapitre VIII. S'il est permis de s'absenter au tems de la peste
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0194 - Page 163 - Chapitre IX. De quel genre de mort la médecine nous peut préserver
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0213 - Page 182 - Chapitre X. A savoir si les fièvres intermitentes appelées Agues par les anglois, sont guérissables
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0216 - Page 185 - Chapitre XI. Que l'on ne peut point connoître la chaleur du foye, par celle du creux de la main
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0219 - Page 188 - Chapitre XII. De ceux qui accusent le foye de trop de chaleur & l'estomac de froideur
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0222 - Page 191 - Chapitre XIII. Que le mary n'est plus malade à cause de sa la grossesse de sa femme
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0226 - Page 195 - Chapitre XIV. Savoir si les médecins etrangers & qui courent le païs, peuvent connaître le tempérament des malades d'un autre royaume
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0230 - Page 199 - Chapitre XV. De ceux qui rapportent presque toutes les maladies au rafroidissement
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0234 - Page 203 - Chapitre XVI. De quelle manière il faut entendre ce proverbe, que les moeurs suivent le tempérament des corps
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0240 - Page 209 - Chapitre XVIII. De ceux qui sont dans le délire
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0243 - Page 212 - Chapitre XVIII. Que l'homme n'est pas toujours d'un tempérament plus chaud que la femme
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0248 - Page 217 - Chapitre XIX. De l'accouchement du septième, du huitième et de l'onzième mois
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0254 - Page 223 - Chapitre XX. De quelle manière il faut entendre quand on dit qu'une femme peut concevoir, quoy qu'elle n'ait pas ses ordinaires
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0262 - Page 231 - Chapitre XXI. De l'abus des années climatériques
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0268 - Page 237 - Chapitre XXII. De ceux qui ne mettent aucune difference entre les personnes grasses et les charnues
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0270 - Page 239 - Chapitre XXIII. Que la petitesse du coeur n'est ny le signe, ny la cause d'un grand courage, ou de la hardiesse
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0273 - Page 242 - Chapitre XXIV. Du loup, ou ulcère chancreux
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0275 - Page 244 - Chapitre XXV. Que la mélancolie n'est pas toujours causée par une humeur mélancolique
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0290 - Page 259 - Chapitre XXVI. De ceux qui tombent dans les extases
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0294 - Page 263 - Chapitre XXVII. Que la raison de ceux qui font dans le délire, n'est pas proprement blessée
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0302 - Page 271 - Chapitre XXVIII. Des femmes rateleuses
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0306 - Page 275 - Chapitre XXIX. Des fièvres qu'on ne serait bien distinguer par leurs périodes
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0312 - Page 281 - Chapitre XXX. De l'erreur de ceux qui croient que toute fièvre est une indisposition chaude
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0316 - Page 285 - Chapitre XXXI. De certaines fièvres qui peuvent être salutaires
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0320 - Page 289 - Chapitre XXXII. De l'erreur de ceux qui croient que toute forte fièvre procède du coeur
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0324 - Page 293 - Chapitre XXXIII. De la connoissance de la peste & combien elle est difficile & incertaine dans son commencement
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0327 - Page 296 - Chapitre XXXIV. Que les comètes ne sont point un signe de la peste
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0332 - Page 301 - Chapitre XXXV. Des maladies qui naissent de la débauche & de la crudité appelées des anglois surfert
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0341 - Page 310 - Chapitre XXXVI. Que tous ceux qui sont attaquez d'un profond sommeil, ou contre nature, ne sont pas lethargiques
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0344 - Page 313 - Chapitre XXXVII. Quelle sorte d'épilepsie est guerissable
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0350 - Page 319 - Livre troisième. Des fautes qui se font dans le régime de vivre, tant des sains que des malades / Chapitre I. De la bonté des eaux
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0355 - Page 324 - Chapitre II. Que l'eau qui passe par des canaux de plomb n'est pas la plus mauvaise
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0358 - Page 327 - Chapitre III. De la necessité de changer le linge aux malades
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0364 - Page 333 - Chapitre IV. Du livre du R. Père Lessius jesuite touchant le régime de vivre
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0370 - Page 339 - Chapitre V. De ceux qui peuvent vivre naturellement plusieurs mois, & plusieurs années sans aucun aliment
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0392 - Page 361 - Chapitre VI. Du régime léger et peu nourrissant qu'il faut ordonner aux malades
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0396 - Page 365 - Chapitre VIII. Du temps propre pour nourrir les malades
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0402 - Page 371 - Chapitre VIII. De ceux qui donnent aux malades mal à propos des bouillons & des orges mondez à minuit, ou le matin
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0406 - Page 375 - Chapitre IX. De ceux qui ordonnent mal à propos le bouillon d'un vieux coq pour toute nourriture aux malades
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0409 - Page 378 - Chapitre X. Si c'est mal fait de boire en se couchant
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0413 - Page 382 - Chapitre XI. De ceux qui s'amusent à mettre de l'or dans le bouillon des hetiques
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0417 - Page 386 - Chapitre XII. Du prétendu or potable des chymistes & de leurs remèdes
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0431 - Page 400 - Chapitre XIII. Du lait propre aux hetiques, quand il est delaïé avec de l'eau d'orge
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0433 - Page 402 - Chapitre XIV. De ceux qui soutiennent qu'on ne peut, & qu'on ne doit se passer de vin
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0445 - Page 414 - Chapitre XV. De la mauvaise coutume de ceux qui boivent à jeun de la double bière
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0447 - Page 416 - Chapitre XVI. De ceux qui croient que toute fièvre provienne du froid, excepté la chaude, & des divers sentimens sur les fièvres intermittentes
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0464 - Page 433 - Chapitre XVII. De l'erreur de ceux qui boivent des eaux de vie distillées après le repas à dessein d'aider la digestion
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0470 - Page 439 - Chapitre XVIII. De ceux qui disent qu'il est bon de boire aussi chaud que son sang en été & qu'il est mal sain de mettre le vin rafraichir
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0475 - Page 444 - Chapitre XIX. De la mauvaise coutume de quelques sages femmes, de ne donner aux accouchées que des boissons chaudes
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0479 - Page 448 - Chapitre XX. De ceux qui craignent trop de se faire saigner, s'imaginant que la première sauve la vie
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0486 - Page 455 - Chapitre XXI. De deux erreurs sur le choix des nourrices
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0490 - Page 459 - Chapitre XXII. Des boissons trop copieuses & trop fortes qu'on donne mal à propos aux enfans
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0493 - Page 462 - Chapitre XIII. De la mauvaise coutume de plusieurs qui donnent des alimens solides aux enfans avant qu'ils aient poussé leurs dents
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0495 - Page 464 - Chapitre XXIV. De la trop fréquente saignée
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0498 - Page 467 - Chapitre XXV. De l'utilité qu'il y a de passer quelques fois les bornes de la sobriété
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0502 - Page 471 - Chapitre XXVI. De ceux qui n'estiment pas un médecin s'il ne guérit contre leur opinion & qui attribuent le gloire de la guerison à celuy qui vient au déclin du mal
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0507 - Page 476 - Chapitre XXVII. De l'erreur de ceux qui preferent les couvertures rouges aux autres, afin de faire mieux sortir la petite vérole
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0509 - Page 478 - Chapitre XXVII. De ceux qui tâchent de se défaire de leur mal, dés qu'il commence à force d'exercice
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0510 - Page 479 - Chapitre XXIX. De quelle manière on doit entendre, que le défaut de la première coction ne se corrige point dans la seconde
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0515 - Page 484 - Chapitre XXX. De l'erreur de ceux qui croient qu'il n'est pas besoin d'avoir un médecin ordinaire
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0521 - Page 490 - Chapitre XXXI. Des fautes qui se font sur la variété, & sur l'ordre des alimens
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0524 - Page 493 - Chapitre XXXII. De ceux qui disent que la repletion du pain, est la pire de toutes
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0529 - Page 498 - Chapitre XXXIII. De l'erreur de ceux qui rejettent l'usage du poisson dans les maladies
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0533 - Page 502 - Chapitre XXXIV. De l'erreur de ceux qui prennent le froid, qu'on ressent après le repas pour un signe de santé
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0539 - Page 508 - Chapitre XXXV. D'où vient qu'on doit donner du vin pur à ceux qui sont fort échaufez & faire pisser ceux qui viennent de travailler
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0547 - Page 516 - Chapitre XXXVI. De l'inutilité des eaux distillées de la chair des animaux
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0549 - Page 518 - Chapitre XXXVII. Des truffes & des huitres qu'on dit rendre les maris propres au jeu d'amour
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0553 - Page 522 - Chapitre XXXVIII. De certaines questions incommodes qu'on fait aux médecins au sujet des alimens
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0559 - Page 528 - Chapitre XXXIX. Des tabides qui aprehendent mal à propos l'usage du lait, à cause, disent-ils, qu'il produit de la pituite
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0562 - Page 531 - Chapitre XXLX. De ceux qui jugent de la suffisance & de l'habileté d'un médecin, par le bon succez qui est souvent dû au seul bon-heur
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0565 - Page 534 - Livre quatrième. Des erreurs populaires, touchant l'usage des remèdes / Chapitre I. De ceux qui méprisent les remèdes des chymistes
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0572 - Page 541 - Chapitre II. De ceux erreurs qui rejettent l'usage des métaux
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0576 - Page 545 - Chapitre III. De certains importuns qui calomnient le procédé du médecin & des presomptueux fort nuisibles aux malades
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0582 - Page 551 - Chapitre IV. De ceux qui donnent trop aux remèdes chymiques
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0598 - Page 567 - Chapitre V. De ceux qui changent de remède dès qu'ils voient que le premier ne guérit pas
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0603 - Page 572 - Chapitre VI. De ceux qui refusent de prendre les remèdes à cause de leur mauvais goût
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0606 - Page 575 - Chapitre VII. De ceux qui croient que l'usage du poisson rend les hommes plus propres pour engendrer, & de quelques autres questions fort curieuses
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0613 - Page 582 - Chapitre VIII. Des remèdes de chaque païs, savoir s'il peuvent suffire
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0624 - Page 593 - Chapitre IX. De ceux qui aprehendent la saignée & la purgation, de peur de s'y accoutumer
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0627 - Page 596 - Chapitre X. Du peu d'égard qu'on doit avoir pour les astres, au sujet de la saignée & de la purgation
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0636 - Page 605 - Chapitre XI. Des observations ridicules des faiseurs d'almanachs, touchant l'usage des remèdes
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0641 - Page 610 - Chapitre XII. De quelle manière on doit entendre l'aphorisme d'Hippocrate, au sujet de la purgation, aux jours caniculaires
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0648 - Page 617 - Chapitre XIII. De la nécessité qu'il y a de reïtérer les purgations
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0651 - Page 620 - Chapitre XIV Du peu d'utilité des pilules qu'on prend après le souper
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0653 - Page 622 - Chapitre XV. De l'utilité qu'il y a à prendre les médecines tantôt froides et tantôt chaudes
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0654 - Page 623 - Chapitre XVI. Du peu de danger qu'il y a de boire froid le jour qu'on est purgé
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0658 - Page 627 - Chapitre XVII. De ceux qui, passe le commencement du printems, ne veulent plus entendre parler de purgation
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0661 - Page 630 - Chapitre XVIII. De la nécessité qu'il y a de prendre médecine, bien qu'on ne mange pas, quand on est malade
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0662 - Page 631 - Chapitre XIX. Du jugement favorable qu'on doit porter sur le vomissement d'une médecine, quelques temps après l'avoir avalée
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0665 - Page 634 - Chapitre XX. De ceux qui apprehendent la purgation lors qu'ils vont souvent à la selle
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0667 - Page 636 - Chapitre XXI. De certaines qui s'imaginent que les médecins prolongent le maux ne faisant qu'abuser des malades
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0672 - Page 641 - Chapitre XXII. Du peu d'aprehension qu'on doit avoir de l'usage des lavemens
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0676 - Page 645 - Chapitre XXIII. De l'ingratitude des personnes qui ont été guéries, envers les médecins
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0684 - Page 653 - Chapitre XXIV. Du danger qu'il y a de prendre aussitôt après les vomitifs les posseta des anglois, pour les faire agir
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0687 - Page 656 - Chapitre XXV. Du peu de danger qu'il y de saigner les vieillards
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0690 - Page 659 - Chapitre XXVI. De l'indiferent choix des veines du bras
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0693 - Page 662 - Chapitre XXVII. De l'utilité qu'il y a de mesurer la quantité du sang par les palettes plutôt que par les onces, les livres & les poids
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0698 - Page 667 - Chapitre XXVIII. De l'erreurs de ceux qui empéchent de boire & de dormir après la saignée
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0702 - Page 671 - Chapitre XXXIX. Du peu de danger qu'il a de saigner & de purger les femmes grosses
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0707 - Page 676 - Chapitre XXX. Des femmes en couche ausquelles conviennent les mêmes remèdes qu'on ordonne pour celles qui sont enceintes
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0710 - Page 679 - Chapitre XXXI. Des femmes qui usent des bains afin de devenir grosses, & des autres qui emploient mille remèdes pour ce sujet
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0724 - Page 693 - Chapitre XXXII. Que le mercure pris par la bouche n'est point nuisible
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0729 - Page 698 - Chapitre XXXIII. Du peu de péril qu'il y a de prendre le mercure sans être préparé
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0733 - Page 702 - Chapitre XXXIV. Du parfun de la nicotiane, ou tabac
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0735 - Page 704 - Chapitre XXXV. Du bon usage du tabac
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0740 - Page 709 - Chapitre XXXVI. De l'erreur de ceux qui croient que la fumée du tabac pénètre jusqu'au cerveau
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0743 - Page 712 - Chapitre XXXVII. De ceux qui disent que la fumée du tabac est un bon préservatif contre la peste
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0747 - Page 716 - Chapitre XXXVIII. De l'usage trop fréquent des cordiaux
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0751 - Page 720 - Chapitre XXXIX. Des erreurs sur le bezoar
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0764 - Page 733 - Chapitre XL. De la temperature & de la dose du bezoar
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0767 - Page 736 - Chapitre XLI. De la corne de la licorne
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0777 - Page 746 - Chapitre XLII. De certaines eaux distilées qu'on ordonne mal à propos pour les fièvres
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0780 - Page 749 - Chapitre XLIII. Des juleps & des autres boissons rafraîchissantes, dont la dose doit être grande dans les fièvres
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0784 - Page 753 - Chapitre XLIV. De l'erreur de ceux qui croient que la pierre qui est dans la vessie peut se dissoudre par les remèdes pris par la bouche
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0787 - Page 756 - Chapitre XLV. Qu'on ne doit point faire mourir les vers si-tôt dans les fièvres
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0790 - Page 759 - Chapitre XLVI. Qu'on ne doit point ordonner la canele aux femmes pour arrêter le flux immodéré de leurs mois, ou de leurs vuidanges
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0793 - Page 762 - Chapitre XLVII. Du peu de danger qu'il y a de prendre l'opium bien préparé
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0798 - Page 767 - Chapitre XLVIII. Des somniferes appliqués sur la tête
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0799 - Page 768 - Chapitre XLIX. Du peu d'efficacité des fomentations faites avec des vescies
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0801 - Page 770 - Chapitre L. Des petits chiens & des pigeons qu'on applique à la plante des pieds & sur le tête
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0804 - Page 773 - Chapitre LI. Des onguens pour les armes, vulgairement nommé, onguens de sympathie
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0833 - Page 802 - Chapitre LII. De la guérison des ecrouëlles, qu'on dit se faire par l'attouchement du septième garçon
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0841 - Page 810 - Chapitre LIII. De l'opinion erronée de ceux qui veulent qu'on devienne gras par la saignée
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0844 - Page 813 - Chapitre LIV. Que les hemorrhoïdes ne sont pas toujours utiles aux mélancoliques
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0849 - Page 818 - Chapitre LV. Du peu de vertu qu'a le sang de bouc pour rompre la pierre
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0851 - Page 820 - Chapitre LVI. Qu'on doit point faire avorter, pour procurer le guerison aux femmes grosses
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0853 - Page 822 - Chapitre LVII. Du peu de profit qu'apportent les injections dans la matrice, & dans la vescie
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0855 - Page 824 - Chapitre LVIII. Des tasses d'antimoine
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0864 - Page 833 - Chapitre LIX. De l'abus des cauteres
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0869 - Page 838 - Chapitre LX. De l'abus de plusieurs remèdes