La premiere et seconde partie des erreurs populaires, touchant la Medecine et le regime de...
- Collections
- Littérature médicale en français de 1500 à 1600
- Classe de ressource
- Monographie
- DESCRIPTION
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- Identifiant
- ark:/13685/71683x01
- Titre
- La premiere et seconde partie des erreurs populaires, touchant la Medecine et le regime de santé. Par M. Laurent Joubert, Conseiller et Medecin ordinaire du Roy, et du Roy de Navarre, premier Docteur Regent, Chancelier et juge de l’université en Medecine de Montpellier. Avec plusieurs autres petits traictez, lesquels sont specifiez en la page suyvante,
- Créateur
- Joubert, Laurent
- Date
- 1587
- Éditeur
- Paris : chez Claude Micard. Avec privilege
- Siècle
- XVIe siècle
- Format
- Nombre de vues : 272
- Parties liminaires
- [Ordre de tout l’œuvre, f. ã1v ; A Tres-haute, tresexcellente et studieuse Princesse, Marguerite de France, tres illustre Royne de Navarre, fille, sœur et femme de Roy ; Laurent Joubert, son tres-humble et tres affectionné serviteur, Salut., 1er janvier 1578, p. 3-10 ; Division de la premiere partie, p. 11-15 ; A Monsieur Joubert sur son Œuvre des Erreurs populaires. Sonnet, Sal. Certon. Chatillonois, p. 16 – Au lecteur d’esprit libre et studieux, f. Q1r-v ; Division de toute l’œuvre en six parties, f. Q2r ; Division de la seconde partie, f. Q2v ; Advertissement, f. Q8v]
- Cote du document
- 71683 (1)
- Licence
- Licence Ouverte
- Sur l'auteur
- Joubert, Laurent (1529 - 1582)
- Identifiant SUDOC
- Notice dans le Sudoc
- Table des matières
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0001 - Page 1 - [Page de titre]
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0002 - Page 2 - Ordre de tout l'oeuure. Oultre la premiere & seconde partie des Erreurs populaires, y est
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0003 - Page 3 - A tres haute, tres excellente et studieuse Princesse, Marguerite de France, tres illustre Royne de Nauarre, fille, soeur, & femme de Roy, Laurent Ioubert, son tres humble & tres affectionné seruiteur Salut
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0011 - Page 11 - Diuision de la premiere partie en ses Liures & Chapitres. De la Medecine & des Medecins. Liure I
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0012 - Page 12 - De la Conception & Generation. Liure deuxième
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0013 - Page 13 - De la Groisse. Liure III / De l'Enfantement & Gesine. Liure quatrième
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0014 - Page 14 - Diu laict, & de la nourriture des enfans. Liure cinquième
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0016 - Page 16 - A Monsieur Ioubert sur son oeuure des Erreurs populaires. Sonnet
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0017 - Page 1 - Premier liure des la premiere parties des Erreurs populaires, touchant la Medecine & les Medecins. Chapitre premier. Excellence de l'art de Medecine, par dessus tous les arts humains
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0024 - Page 8 - S'il est possible par la Medecine allonger la vie des hommes. Chap. II
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0032 - Page 16 - Contre ceux qui ont opinion, que les Medecins prolongent les maux, & ne font qu'abuser le monde. Chap. III
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0039 - Page 23 - Que ce n'est peché, ou mal fait d'appeller des Medecins, & user de leurs remedes quand on est malade. Chap. IIII
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0041 - Page 25 - De l'ingratitude des malades enuers les Medecins. Chap. V
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0045 - Page 29 - Que le vulgaire n'estime rien si on ne guerit contre son opinion: que les derniers remedes ont tout l'honneur: & heureux le Medecin, qui vient à la declination du mal. Chap. VI
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0049 - Page 33 - Contre ceux qui iugent de la suffisance des Medecins par le succez, qui est souuent deu à l'heur, plus qu'au sçauoir. Chap. VII
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0051 - Page 35 - Contre ceux ausquels tout est suspect, & calomnient les Medecins, de la plus part des accidents qui suruiennent és maladies. Chap. VIII
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0055 - Page 39 - Qu'il y a plus de Medecins, que d'autre sorte de gens. Chap. IX
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0057 - Page 41 - Que ce n'est le profit des malades, d'auoir plusieurs Medecins d'ordinaire: mais qu'un Medecin y doit estre fort assidu. Chap. X
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0061 - Page 45 - Contre ceux qui se plaignent de la courte visitation de quelque Medecins. Chap. XI
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0065 - Page 49 - De combien sert la confiance du malade au Medecin. Chap. XII
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0067 - Page 51 - Contre ceux qui veulent des Medecins, & ne font ce qu'ils ordonnent. Chap. XIII
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0069 - Page 53 - De ceux qui en leurs maux ne veulent aucun Medecin ou remede, sinon contre les douleurs. Chap. XIIII
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0071 - Page 55 - Que les suiets à maladies, sont suiets à la Medecine: les autres non. Chap. XV
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0073 - Page 57 - Que ceux qui sçauent quelque peu la Medecine, sont plus mal aupres malades, que ceux qui ne sçauent rien du tout. Chap. XVI
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0075 - Page 59 - Second Liure de la premiere partie des Erreurs populaires touchant la Conception & generation. Si une femme peut conceuoir sans auoir eu les fleurs. Chapitre premier
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0079 - Page 63 - S'il est possible qu'une fille conçoiue à neuf ou à dix ans. Chap. II
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0082 - Page 68 - Sçauoir mon si les taches rouges que les enfans portent de leur naissance sont de la conception. Et s'il est possible, qu'une femme conçoiue, durant qu'elle a ses fleurs. Chap. III
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0084 - Page 70 - Pourquoy est-ce que la femme conceuant à la fin de ses fleurs, ou tost apres, volontiers deuient grosse d'un fils: & celle que sur le retours, d'une fille. Chap. IIII
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0087 - Page 73 - Contre ceux qui conseillent de cognoistre la femme durant ses fleurs, pour ne saillir de l'engroisser. Chap. V
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0088 - Page 74 - Contre ceux qui ne cessent d'embrasser pour auoir des enfans: & les autres qui le font peu souuent, afin d'en auoir moins. Chap. VI
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0090 - Page 76 - Qu'il ne faut cognoistre la femme auant dormir & que pource les trauailleurs sont moins goutteux, & ont plus d'enfans. Chap. VII
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0093 - Page 79 - Comment se doit entendre, qu'une heure plus tost, ou plus tard, fait qu'on engendre fils ou fille. Chap. VIII
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0096 - Page 82 - S'il est vray qu'un homme vieux ne puisse engendrer des fils. Chap. IX
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0099 - Page 85 - Pourquoy dit-on, que l'homme peut engendrer, tant qu'il peut leuer un quarton de son, & s'il est vray, que ceux qui ont les yeux enfoncez ont esté engendrez d'un vieillard. Chap. X
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0103 - Page 89 - Abus des femmes qui se baignent toutes pour engrosser: & de celles qui auec cinq cens diuers remedes n'y peuuent aduenir. Chap. XI
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0106 - Page 92 - Sçauoir-mon, si un ladre confirmé, ou un verolé, peut engendrer des enfans sains. Chap. XII
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0109 - Page 95 - Troisieme Liure de la premiere partie des Erreurs populaires touchant la Groisse. Comme se peut faire, que d'une ventre de la femme porte neuf enfans. Chapitre premier
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0121 - Page 107 - Si une femme peut porter plus de neuf mois, & comment il faut entendre le terme de la Groisse. Chap. II
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0131 - Page 121 - Qu'il n'est possible de cognoistre par les urines si une femme est grosse: & quels sont les vrais signes de la groisse. Chap. III
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0136 - Page 126 - S'il y a certaine cognoissance, que le fruict soit masle ou femelle, & qu'il n'y en ait qu'un ou deux. Chap. IIII
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0138 - Page 128 - Que c'est un grand abus, de mespriser les maux qui viennent à raison de la Groisse. Chap. V
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0143 - Page 133 - Pourquoy dit on, que qui refuse quelque chose à une femme grosse, un orgeol luy naist en l'oeil. Chap. VI
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0146 - Page 136 - Pourquoy conseille on & la femme grosse de mettre la main à son derriere, si elle ne put soudain estre satisfaite de son appetit. Chap. VII
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0149 - Page 139 - Des femmes qui mangent à force codignac durant leur grossesse, pour faire que l'enfant ait bon esprit: & des raisins de panse, à ce qu'ils ayent meilleure veuë. Chap. VIII
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0152 - Page 142 - S'il est vray que le premier morceau que mange la femme enceinte, va à son enfant. Chap. IX
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0155 - Page 145 - Quatrieme Liure de la premiere partie des Erreurs populaires touchant l'Enfantement & la Gessine. Que l'oz Bertrand ne s'ouure point pour donner passage à l'enfant. Chapitre premier
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0159 - Page 149 - S'il est bon de faire asseoir la femme sur le cul d'un chauderon chaud, ou de luy mettre sur le ventre le bonnet de son mary, pour auoir meilleure deliurance, & quels sont les meilleurs moyens de accoucher. Chap. II
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0162 - Page 152 - Que les matrones faillent grandement, de n'appeler Medecins à l'enfantement: & que mesmes les sages-femmes doiuent estre enseignees des Medecins. Chap. III
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0164 - Page 154 - De faire bonne mesure aux garçons, & non aux filles: & comment il faut gouuerner la vedille, & si celle des filles sert à leur faire des amoureux. Chap. IIII
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0167 - Page 157 - S'il est vray qu'on puisse cognoistre aux noeuds des cordes de l'arriere-faix, combien d'enfans aura la femme qui accouche. Chap. V
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0170 - Page 160 - Des enfans qui naissent vestus, s'ils sont plus heureux que les autres: & si leur chemise preserue de danger ceux qui en portent. Chap. VI
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0172 - Page 162 - Des Harpies qu'on dit voler, & s'attacher aux courtines. Chap. VII
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0176 - Page 166 - S'il est vray que la femme accouchant en pleine Lune fera depuis un fils, & si en nouuelle, une fille. Chap. VIII
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0178 - Page 168 - De l'huile d'amandres douces, auec du succre candi, qu'aucunes femmes boiuent dés aussi tost qu'elles ont enfanté, & de la nourriture qu'on leur donne mal à propos. Chap. IX
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0182 - Page 172 - Qu'on nourrit trop les accouchees, disant que la matrice est vuide, & qu'il la faut remplir. Chap. X
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0183 - Page 173 - S'il est vray qu'une accouchee puisse pisser le laict. Chap. XI
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0184 - Page 174 - Pourquoy est-ce que du premier enfant communément on a moins de tranchees. Chap. XII
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0186 - Page 176 - Cinquieme Liure de la premiere partie des Erreurs populaires touchant le laict & la nourriture des enfans. Exhortation à toutes meres, de nourrit leurs enfans. Chapitre premier
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0200 - Page 190 - Quand est bon le laict d'une accouchee, combien d'heures doit estre l'enfant sans tetter, & qu'est-ce qu'on luy doit donner premierement. Chap. II
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0203 - Page 193 - Qu'un'pucelle peut auoir du laict en quantité notable. Chap. III
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0208 - Page 198 - S'il y a certaine cognoissance du pucellage d'une fille. Chap. IIII
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0226 - Page 216 - D'où vient le consentement des mammelles, & de la matrice, qu'on voit si euident. Chap. V
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0230 - Page 220 - Pourquoy est-ce que le laict de celle qui a fait un fils, est meilleur à nourrir une fille, & au contraire. Chap. VI
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0235 - Page 225 - Superstitieuse & fausse opinion des femmes, qui croyent les mammelles tarir, à celles de qui on chauffe le laict. Chap. VII
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0241 - Page 231 - Qu'il ne faut endurcir les tetins, pour euiter les tendrieres. Chap. VIII
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0242 - Page 232 - De muer l'enfant à toute heure qu'il est ord, & s'il doit auoir certaines heures à tetter. Chap. IX
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0249 - Page 239 - Contre ceux qui trouuent bon que les enfans crient & pleurent. Chap. X
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0251 - Page 241 - Qui doit plus longuement tetter, un fils ou une fille: & combien le chacun. Chap. XI
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0257 - Page sans numérotation - Au Lecteur d'esprit libre et studieux
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0259 - Page sans numérotation - Diuision de toute l'oeuure en six parties, contenant trente Liures
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0260 - Page sans numérotation - Diuision de la seconde parties en ses Liures & Chapitres. De la complexion & coustume. Liure sixième / De l'air & des vestemens. Liure 7
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0261 - Page sans numérotation - De l'appetit & de la soif. Liure 8 / Des repas, & de l'embon-point. Liure 9
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0262 - Page sans numérotation - De la digestion. Liure 10 / Diuision de la troisieme partie en ses Liures & Chapitres. Du manger & des viandes. Liure onzième
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0263 - Page sans numérotation - De l'apprest & ordre en l'usage des viandes. Liure 12
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0264 - Page sans numérotation - Des fruicts & salades particulierement. Liure 13 / Du boire. Liure 14
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0265 - Page sans numérotation - Traicté du vin. Liure 15 / Diuision de la quatrieme partie en ses Liures & Chapitres. Du coucher & dormir. Liure 16
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0266 - Page sans numérotation - Des causes de maladie. Liure 17
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0267 - Page sans numérotation - Des maladies. Liure 18 / Des iugements és maladies. Liure 19 / Des viures en maladie. Liure 20
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0268 - Page sans numérotation - Diuision de la cinquieme partie en ses Liures & Chapitres. De la curation des maladies. Liure 21 / Des abus és remedes. Liure 22
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0269 - Page sans numérotation - Des mauuaises cures, & remedes extrauagans. Liure 23 / Des remedes superstitieux & vains. Liure 24
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0270 - Page sans numérotation - Des bons & vrais remedes. Liure 25 / Diuision de la sixieme partie en ses Liures & Chapitres. Des euacuations communes. Liure 26 / Des purgations ou medecines. Liure 27
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0271 - Page sans numérotation - Regime de ceux que lon purge. Liure 28 / De la saignee. Liure 29
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0272 - Page sans numérotation - De la mort. Liure 30 / Advertissement