La premiere et seconde partie des erreurs populaires, touchant la Medecine et le regime de...
- Collections
- Littérature médicale en français de 1601 à 1700
- Classe de ressource
- Monographie
- DESCRIPTION
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- Identifiant
- ark:/13685/32687
- Titre
- La premiere et seconde partie des erreurs populaires, touchant la Medecine et le regime de santé. Par M. Laur. Joubert, Conseiller et Medecin ordinaire du Roy de France et de Navarre, premier Docteur Regent, Chancelier et Juge de l’Université de Medecine de Montpellier. Avec plusieurs autres petits traitez, lesquels sont specifiez en la page suyvante
- Créateur
- Joubert, Laurent
- Date
- 1601
- Éditeur
- Rouen : Raphael Dupetit Val
- Siècle
- XVIIe siècle
- Format
- Nombre de vues : 544
- Notes
- La seconde partie est imprimée en 1600
- Parties liminaires
- [A Tres-haute, tresexcellente et studieuse Princesse, Marguerite de France, tres illustre Royne de Navarre, fille, sœur et femmes de Roy ; Laurent Joubert, son tres-humble et tres affectionné serviteur, Salut., 1er janvier 1578, f. ã2r- ã5v ; A Monsieur Joubert sur son Œuvre des Erreurs populaires. Sonnet, Sal. Certon. Chatillonois, f. ã8v]
- Cote du document
- 32687
- Licence
- Licence Ouverte
- Univers Numerabilis
- Médecine
- Sur l'auteur
- Joubert, Laurent (1529 - 1582)
- Identifiant SUDOC
- Notice dans le Sudoc
- Table des matières
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0001 - Page sans numérotation - [Page de titre]
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0002 - Page sans numérotation - Ordre de tout l'oeuure
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0003 - Page sans numérotation - A tres-haute, tres excellente et studieuse Princesse, Marguerite de France, tres-illustre Royne de Nauarre, fille, soeur & femme de Roy
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0011 - Page sans numérotation - Diuision de la premiere partie en ses liures & chapitres
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0016 - Page sans numérotation - A Monsieur Ioubert sur son oeuure des Erreurs populaires. Sonnet
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0017 - Page 1 - Premier liure de la premiere partie des Erreurs populaires, touchant la Medecine & les Medecins. Excellence de l'art de Medecine, par dessus tous les arts humains. Chapitre premier
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0024 - Page 8 - S'il est possible par la Medecine allonger la uie des hommes. Chap. II
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0032 - Page 16 - Contre ceux qui ont opinion, que les Medecins prolongent les maux, & ne font qu'abuser le monde. Chap. III
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0039 - Page 23 - Que ce n'est peché, ou mal fait d'appeller des Medecins, & user de leurs remedes quand on est malade. Chap. IIII
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0041 - Page 25 - De l'ingratitude des malades enuers les Medecins. Chap. V
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0045 - Page 29 - Que le uulgaire n'estime rien si on ne guerit contre son opinion: que les derniers remedes ont tout l'honneur: & heureux le Medecin, qui uient à la declination du mal. Chap. VI
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0049 - Page 33 - Contre ceux qui iugent de la suffisance des Medecins par le succez, qui est souuent deu à l'heur, plus qu'au sçauoir. Chap. VII
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0051 - Page 35 - Contre ceux ausquels tout est suspect, & calomnient les Medecins, de la plupart des accidens qui suruiennent és maladies. Chap. VIII
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0055 - Page 39 - Qu'il y a plus de Medecins, que d'autre sorte de gens. Chap. IX
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0057 - Page 41 - Que ce n'est le profit des malades, d'auoir plusieurs Medeicns d'ordinaire: mais qu'un Medecin y doit estre fort assidu. Chap. X
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0061 - Page 45 - Contre ceux qui se plaignent de la courte uisitation de quelques Medecins. Chap. XI
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0065 - Page 49 - De combien sert la confiance du malade au Medecin. Chap. XII
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0067 - Page 51 - Contre ceux qui ueulent des Medecins, & ne font ce qu'ils ordonnent. Chap. XIII
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0069 - Page 53 - De ceux qui en leurs maux ne ueulent aucun Medecin ou remede, sinon contre les douleurs. Chap. XIIII
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0071 - Page 55 - Que les suiets à maladies, sont suiets à la Medecine: les autres non. Chap. XV
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0073 - Page 57 - Que ceux qui sçauent quelque peu la Medecine, sont plus mal aupres des malades, que ceux qui ne sçauent rien du tout. Chap. XVI
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0075 - Page 59 - Second Liure de la premiere partie des Erreurs populaires touchant la Conception & Generation. Si une femme peut conceuoir sans auoir eu ses fleurs. Chapitre premier
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0079 - Page 63 - S'il est possible qu'une femme conçoiue à neuf ou à dix ans. Chap. II
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0082 - Page 68 - Sçauoir mon si les taches rouges que les enfans portent en leur naissance sont de la Conception. Et s'il est possible, qu'une femme conçoiue, durant qu'elle à ses fleurs. Chap. III
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0084 - Page 70 - Pourquoy est'ce que la femme conçeuant à la fin de ses fleurs, ou tost apres, uolontiers deuient grosse d'un fils: & celle que sur le retour, d'une fille. Chap. IIII
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0087 - Page 73 - Contre ceux qui conseillent de cognoistre la femme durant ses fleurs, pour de faillir de l'ongroisser. Chap. V
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0088 - Page 74 - Contre ceux qui ne cessent d'embrasser pour auoir des enfans, & les autres qui le font peu souuent, afin d'en auoir moins. Chap. VI
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0090 - Page 76 - Qu'il ne faut cognoistre la femme auant dormir: & que pource les trauailleurs sont moins goutteux, & ont plus d'enfans. Chap. VII
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0093 - Page 79 - Comment se doit entendre, qu'une heure plus tost, ou plus tard, fait qu'on engendre fils ou fille. Chap. VIII
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0096 - Page 82 - S'il est vray qu'un homme uieux ne puisse engendrer des fils. Chap. IX
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0099 - Page 85 - Pourquoy dit-on, que l'homme peut engendrer, tant qu'il peut leuer un quarton de son, & s'il est uray, que ceux qui ont les yeux enfoncez ont esté engendrez d'un vieillard. Chap. X
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0103 - Page 89 - Abus des femmes qui se baignent toutes pour engroisser, & de celles qui auec cinq cens diuers remedes n'y peuuent aduenir. Chap. XI
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0106 - Page 92 - Sçauoir-mon, si un ladre confirmé, ou un verollé, peut engendrer des enfans sains. Chap. XII
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0109 - Page 95 - Troisiesme Liure de la premiere partie des Erreurs populaires touchant la Groisse. Comme se peut faire, que d'une uentree la femme porte neuf enfans. Chapitre premier
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0121 - Page 107 - Si une femme peut porter plus de neuf mois, & comment il faut entendre le terme de la groisse. Chap. II
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0131 - Page 121 - Qu'il n'est possible de cognoistre par les urines si une femme est grosse: & quels sont les vrais signes de la groisse. Chap. III
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0136 - Page 126 - S'il y a certaine cognoissance, que le fruict soit masle ou femelle, & qu'il n'y en ait qu'un ou deux. Chap. IIII
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0138 - Page 128 - Que c'est un grand abus, de mespriser les maux qui viennent à raison de la groisse. Chap. V
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0143 - Page 133 - Pourquoy dit on, que qui refuse quelque chose à une femme grosse, un orgeol luy naist en l'oeil. Chap. VI
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0146 - Page 136 - Pourquoy conseille-on à la femme grosse de mettre la main à son derriere, si elle ne peut soudain estre satisfaite de son appetit. Chap. VII
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0149 - Page 139 - Des femmes qui mangent à force codignac durant leur grossesse, pour faire que l'enfant ait bon esprit: & des raisins de panse, à ce qu'ils ayent meilleure ueuë. Chap. VIII
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0152 - Page 142 - S'il est uray que le premier morceau que mange la femme enceinte, va à son enfant. Chap. IX
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0155 - Page 154 - Quatriesme liure de la premiere partie des Erreurs populaires touchant l'Enfantement & la Gesine. Que l'oz Bertrand ne s'ouure point pour donner passage à l'enfant. Chapitre premier
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0159 - Page 149 - S'il est bon de faire asseoir la femme sur le cul d'un chaudron chaud, ou de luy mettre sur le ventre le bonnet de son mary, pour auoir meilleure deliurance, & quels sont les meilleurs moyens d'accoucher. Chap. II
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0162 - Page 152 - Que les matrones faillent grandement, de n'appeller Medecins à l'enfantement: & autres maux peculiers des femmes, & que mesmes les sages-femmes doiuent estre enseignees des Medecins. Chap. III
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0164 - Page 154 - De faire bonne mesure aux garçons, & non aux filles: & comment il faut gouuerner la vedille, & si celle des filles sert à leur faire des amoureux. Chap. IIII
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0167 - Page 157 - S'il est vray qu'on puisse cognositre aux noeuds des cordes de l'arriere-faix, combien d'enfans aura la femme qui accouche. Chap. V
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0170 - Page 160 - Des enfans qui naissent uestus, s'ils sont plus heureux que les autres: & si leur chemise preserue de danger ceux qui en portent. Chap. VI
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0172 - Page 162 - Des Harpies qu'on dit uoler, & attacher aux courtines. Chap. VII
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0176 - Page 166 - S'il est vray que la femme accouchant en pleine Lune fera depuis un fils, & si en nouuelle, une fille. Chap. VIII
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0178 - Page 168 - De l'huile d'amandres douces, auec du sucre candi, qu'aucunes femmes boiuent dés aussi tost qu'elles ont enfanté, & de la nourriture qu'on leur donne mal à propos. Chap. IX
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0182 - Page 172 - Qu'on nourrit trop les accouchees, disant que la matrice est vuide, & qu'il la faut remplir. Chap. X
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0183 - Page 173 - S'il est vray qu'une accouchee puisse pisser le laict. Chap. XI
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0184 - Page 174 - Pourquoy est-ce que du premier enfant communément on a moins des tranchees. Chap. XII
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0186 - Page 176 - Cinquiesme liure de la premiere partie des Erreurs populaires touchant le laict & la nourriture des enfans. Exhortation à toutes meres, de nourrir leurs enfans. Chapitre premier
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0200 - Page 190 - Quand est bon le laict d'une accouchee, combien d'heures doit estre l'enfant sans tetter, & qu'est ce qu'on luy doit donner premierement. Chap. II
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0203 - Page 193 - Qu'une pucelle peut auoir du laict en quantité notable. Chap. III
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0208 - Page 198 - S'il y a certaine cognoissance du pucellage d'une fille. Chap. IIII
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0226 - Page 216 - D'où vient le consentement des mammelles, & de la matrice, qu'on voit si euident. Chap. V
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0230 - Page 220 - Pourquoy est ce que le laict de celle qui a fait un fils, est meilleur à nourrir une fille, & au contraire. Chap. VI
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0235 - Page 225 - Superstitieuse & fausse opinion des femmes, qui croyent les mammelles tarir, à celles de qui on chauffe le laict. Chap. VII
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0241 - Page 231 - Qu'il ne faut endurcir les tetins, pour euiter les tendrieres. Chap. VIII
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0242 - Page 232 - De muer l'enfant à toute heure qu'il est ord, & s'il doit auoir certaines heures à tetter. Chap. IX
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0249 - Page 239 - Contre ceux qui trouuent bon que les enfans crient & pleurent. Chap. X
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0251 - Page 241 - Qui doit plus longuement tetter, un fils ou une fille: & combien le chacun. Chap. XI
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0257 - Page sans numérotation - Au Lecteur d'esprit libre et studieux
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0259 - Page sans numérotation - Diuision de toute l'oeuure en six parties, contenant trente Liures
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0260 - Page sans numérotation - Diuision de la seconde partie en ses liures & chapitres
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0262 - Page sans numérotation - Diuision de la troisieme partie en ses liures & chapitres
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0265 - Page sans numérotation - Diuision de la quatriesme partie en ses liures & chapitres
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0268 - Page sans numérotation - Diuision de la cinquiesme partie en ses liures & chapitres
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0270 - Page sans numérotation - Diuision de la sixieme partie en ses liures & chapitres
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0272 - Page sans numérotation - Aduertissement
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0273 - Page sans numérotation - [Page de titre]
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0275 - Page sans numérotation - A mon tres-honoré Seigneur Monseigneur de Neufuille, Seigneur de Villeroy, Conseiller & Secretaire d'estat du Roy, grand tresorier general de l'ordre de sa Maiesté, Barthelemy Cabrol son tres-humble seruiteur, Salut
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0276 - Page sans numérotation - Epistre Dedicatoire
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0282 - Page sans numérotation - Epistre de B. Cabrol, Maistre iuré en la faculté de Chirurgie, de l'Uniuersité, Cité, & Ville de Montpellier, Chirurgien ordinaire du Roy. Repulsiue des enuieux & venimeux propos tenus contre l'Autheur des Erreurs populaires. Addressee au tres-uertueux magnifique et genereux Seigneur, M. Anthoine de Clermont, Baron de Montoison, & gentilhomme de la chambre du Roy
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0283 - Page sans numérotation - Epistre Apologitique
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0297 - Page sans numérotation - Indice des chapitres et matieres, contenues en ceste seconde partie des Erreurs populaires, & propos vulgaires
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0300 - Page sans numérotation - [Sonnet]
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0301 - Page sans numérotation - [Sonnet]
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0302 - Page sans numérotation - [Sonnet]
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0305 - Page 1 - La seconde partie des Erreurs populaires, et propos vulgaires, touchant la Medecine & le regime de santé. Que l'on se peut & doit souuent passer du vin, dont il n'est tant necessaire, que cuide le vulgaire. Chapitre premier
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0312 - Page 8 - Contre ceux qui pensent toute fieure estre de froid, hormis celle qu'on nomme chaude. D'où procede le frisson, & le retour des fieures terminees. Chap. II
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0319 - Page 15 - Du Morfondement & Larfondement: & comment le peuple s'abuse, cuidant que tous les maux des trauailleurs (ou la pluspart) soit de Morfondement. Chap. III
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0323 - Page 19 - Pourquoy ordonne l'on de boire du uin pur à ceux qui sont fort eschauffez, & de pisser auant que se mettre en repos, quand on a fort trauaillé. Chap. IIII
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0329 - Page 25 - Qu'il faut souuent changer de linge aux febricitans. Chap. V
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0333 - Page 29 - Que les femmes tuent les febricitans d'abstinence de boire, abondance des uiures, & ennuyeuse couuerture. Et quel regime il conuient obseruer aux febricitans. Chap. VI
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0345 - Page 41 - Contre ceux qui ne permettent aux febricitans de boire durant leur accez: & les autres qui ueulent qu'ils boiuent chaud pour suer plustot & mieux. Chap. VII
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0346 - Page 42 - Des boüillons & orge-mondez qu'on baille à minuict, ou le matin, fort indiscrettement. Chap. VIII
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0350 - Page 46 - Si c'est mal fait, de boire à l'heure du coucher. Chap. IX
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0354 - Page 50 - S'il faut boire aussi chaud qu'on a le sang, mesmement en Esté: & s'il est mauuais de raffraischir le vin. Chap. X
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0357 - Page 53 - Contre ceux qui se plaignent en Esté, de la chaleur des nuicts: & cependant ils couchent sur la plume, les fenestres fermees. Chap. XI
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0360 - Page 56 - Que les boudins ne ualent rien gardez: & que de là est uenue la coustume d'en faire des presens. Chap. XII
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0363 - Page 59 - Contre ceux qui craignent par trop la saignee, & ont opinion que la premiere sauue la uie. Chap. XIII
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0369 - Page 65 - Qu'on peut saigner les femmes grosses, les enfans & les uieux. Chap. XIIII
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0374 - Page 70 - Contre ceux qui temerairement & trop souuent usent de la saignee. Chap. XV
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0376 - Page 72 - Que la purgation peut conuenir à toute saison, uoire durant les iours caniculaires. Chap. XVI
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0381 - Page 77 - Comment il se faut gouuerner le iour qu'on prend medecine. Si on peut dormir apres: De l'heure du bouillon lauatif: Des repas qui conuiennenet à ce iour là: & pourquoy on ne doit sortir de la chambre. Chap. XVII
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0391 - Page 87 - D'où uient communément, que les plus cheris meurent le plus souuent. Chap. XVIII
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0394 - Page 90 - Contre ceux qui disent, que mort ne fut iamais sans regret. Chap. XIX
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0396 - Page 92 - Contre ceux, qui pour auoir le uentre lasche, marchent pieds nuds sur un lieu froid: ou boiuent de l'huile en quantité: & qu'est-ce qu'auoir bon uentre. Chap. XX
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0399 - Page 95 - Sçauoir-mon si les huitres, & les truffes, rendent l'homme plus gaillard à l'acte venerien. Chap. XXI
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0405 - Page 101 - A M. Franc. Ioubert, Cheualier du S. Sepulchre de Hierusalem, Conseiller & maistre des Requestes ordinaire de l'hostel du Roy de Nauarre, Iuge mage de Valance. Christophle de Beau-chastel, son treshumble neueu. Salut
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0407 - Page 103 - Contre ceux qui iugent de la suffisance des medecins par le succés, qui est deu souuent à l'heur, plus qu'au sçauoir. Chap. XXII
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0408 - Page 104 - Que le uulgaire n'estime rien, si on ne guerit contre son opinion: que les derniers remedes ont tout l'honneur, & bien heureux le Medecin, qui uient à la declination du mal. Chap. XXIII
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0411 - Page 107 - Des importuns & supçonneux, qui calomnient les procedures du Medecin. Des outrecuidez & presomptueux, dangereux aupres d'un malade. Chap. XXIIII
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0416 - Page 112 - Que ce n'est le profit des Malades, d'auoir plusieurs Medecins d'un ordinaire. Chap. XXV
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0417 - Page 113 - Meslanges d'autres propos uulgaires, & erreurs populaires
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0422 - Page 118 - Ramas de propos uulgaires, et erreurs populaires, auec quelques problemes, enuoyez de plusieurs à M. Ioubert
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0443 - Page 139 - Catalogue de plusieurs diuers propos uulgaires & erreurs populaires, colligez de plusieurs, & donnez à M. Ioubert, par M. Barthelemy Cabrol
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0451 - Page 147 - Catalans. Espagnols. Italiens
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0453 - Page 149 - Latins
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0454 - Page 150 - A tres uertueux et uenerable Seigneur, M. Estienne de Rate, Conseiller du Roy, & General en la souueraine Cour des Aydes, à Montpellier, Iean Imbert compagnon Apoticaire, Salut
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0456 - Page 152 - Sommaire de ce qui est traitté en ceste suitte. Explication de quelque Phrases & mots uulgaires touchant les maladies, principalement
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0457 - Page 153 - Remedes Metaphoriques & extrauagans. Des remedes superstitieux ou uains, & ceremonieux. Propos fabuleux. Deux Paradoxes de M. Ioubert, traduits par Isaac son fils
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0458 - Page 154 - Explication des quelques phrases et mots uulgaires, touchant les maladies, principalement / 1. - Fleurs, flux, flux menstrual, mois, menstrues, perdement, rhodais, chemise, doit auoir, son cas, malade, male semaine, temps, cardinal, marquis
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0459 - Page 155 - 2. - auorter, affouler, blesser, dessarrier, gaster
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0460 - Page 156 - 3. - Desuerdiat, desantourat, desourat, deflorer
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0461 - Page 157 - 4. - Retaillat / 5. - Mal de mere
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0462 - Page 158 - 6. - Dysanterie, eprensas, seintegne, cague-sangue / 7. - Nephritique, phrenetique, colique uenteuse, nephritique, & pierreuse
-
0463 - Page 159 - 8. - Colique, masclon, colique d'estomach / 9. - Goutte, dessente, theume, catarrhe, goutte naturelle
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0464 - Page 160 - 10. - Sciatique / 11. - Squinance, morceau d'Adam
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0465 - Page 161 - 10. - Noli me tangere / 13. - Saigner du nez / 14. - Migraine / 15. - Lunatic, & tenir la Lune
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0466 - Page 162 - 16. - Mal caduc, mau de terre, mal S. Iean, mau de las passeras, haut-mal
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0467 - Page 163 - 17. - Mau-loubet / 18. La male bosse, la ghiandozza / 19. - Escannar
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0468 - Page 164 - 20. - Aualisque, euanoyr, spasme, pasmaison / 21. - Desieuner, boire, ressiner, gouter, souper, dementir
-
0469 - Page 165 - 22. - Grasse matinee
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0470 - Page 166 - 23. - Penser un malade
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0471 - Page 167 - Remedes metaphoriques et extrauagans / 1. - Pour la multiplication de semence, & la fecondité
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0472 - Page 168 - 2. - pour enfanter plus aisémént, & pour empescher l'auortissement
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0473 - Page 169 - 3. - Pour rompre la pierre dans le corps
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0474 - Page 170 - 4. - Contraire à la memoire
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0475 - Page 171 - Des remedes superstitieux ou uains, & ceremonieux / 1. Pour arrester tout flux de sang
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0476 - Page 172 - 2. Contre la iaunisse / 3. - Contre la goutte grampe / 4. - Pour faire sortir plust ost les dents aux petits enfans / 5. - Pour ne uomir point sur mer / 6. - A faire perdre le laict
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0477 - Page 173 - 7. - Contre toute fieure / 8. - Contre la fieure quarte / 9. - Pour faire perdre ses uerrues / 10. - Pour guerir de l'hydropisie
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0478 - Page 174 - 11. - Contre le masclon / 12. - Contre le mal de maire / 13. - Coniuration de l'amarry delouee, en langue Agenoise
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0479 - Page 175 - Propos fabuleux
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0481 - Page 177 - 1. - De la uipere
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0482 - Page 178 - 2. - Du bieure, dit castor / 3. - De la salamandre
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0483 - Page 179 - 4. - De l'ours
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0484 - Page 180 - A Monsieur Ioubert Conseiller & Medecin ordinaire du Roy, & du Roy de Nauarre, Chancelier de l'Uniuersité en Medecine de Montpellier, à Paris
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0485 - Page 181 - 1. Si on peut limiter que les poisons ne peuuent estre bailles à certain iour, ne faire mourir à certain temps: au tres-renommé Docteur en Medecine, M. Pierre Perreau, le ieune
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0495 - Page 191 - 2. Qu'il y a raison, que quelques uns puissent uiure sans manger, durant plusieurs iours & annees: au tres-renommé Iurisconsulte, M. Iean Papon, Conseiller du Roy, Iuge & Lieutenant general au Bailliage de Forest
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0512 - Page 208 - Ce qui s'ensuit est traduit de la seconde partie des Opuscules de M. Ioubert, pag. 136 où il est noté, pour adiouster à ce Paradoxe
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0516 - Page 212 - Question uulgaire. Quel langage parleroit un enfant qui n'auroit iamais ouy parler. Qu'un sourd de naissance est muet necessairement, comme aussi celuy qui est nourri parmi les muets & non au contraire, qu'un muet de nature, soit sourd, & d'où prouient, que l'homme est si tardif à sçauoir parler
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0532 - Page sans numérotation - [Table des matières]
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0544 - Page sans numérotation - [Achevé d'imprimer]