Les occultes merveilles et secretz de nature, avec plusieurs enseignemens des choses diverses tant par...
- Collections
- Littérature médicale en français de 1500 à 1600
- Classe de ressource
- Monographie
- DESCRIPTION
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- Identifiant
- ark:/13685/42053B
- Titre
- Les occultes merveilles et secretz de nature, avec plusieurs enseignemens des choses diverses tant par raison probable que par conjecture artificielle : exposées en deux livres de non moindre plaisir que proufit au lecteur studieux. Par Levin Lemne Medecin Zirizeen, et nouvellement traduit de Latin en François, par I. G. P.. Avec deux tables, l’une des argumens des chapitres, l’autre des singulieres matieres d’iceux
- Créateur
- Lemne, Levin
- Gohory, Jacques
- Date
- 1574
- Éditeur
- Paris : pour Galiot du Pré
- Siècle
- XVIe siècle
- Format
- Nombre de vues : 464
- Parties liminaires
- [Preface du traducteur. I. G. P., de Paris, 2 Fevrier 1567, f. 1r ; A tresvertueux et tresdigne seigneur, messire Matthias Gallomontois de Heesuvuiick, tres reverend Prelat à Metelbourg, Levin Medecin, Salut, f. 2r-6r ; Preface de Levin Lemne Medecin, au lecteur debonnaire, f. 6r-9r]
- Cote du document
- 42053 B
- Licence
- Licence Ouverte
- Identifiant SUDOC
- Notice dans le Sudoc
- Table des matières
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0001 - Page sans numérotation - [Page de titre]
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0003 - Page 1 - Preface du traducteur. I.G.P
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0004 - Page sans numérotation - Les autheurs dont Leuin Lemne c'est aydé en cest oeuure, tant Hebreux que Grecz & Latins
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0005 - Page 2 - A tresuertueux et tresdigne Seigneur, Messire Matthias Gallomontois de Heesuuuiick, tres-reuerend Prelat à Metelbourg, Leuin Medecin, Salut. Epistre
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0013 - Page 6 - Preface de Leuin Lemne Medecin, au Lecteur debonnaire
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0020 - Page sans numérotation - Le premier Liure de Leuin Lemne, Medecin Zirizeen, Des occultes merueilles de nature. De nature instrument de la diuinité. Chap. I
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0026 - Page sans numérotation - La dignité & excellence de l'homme. Chap. II
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0031 - Page 15 - Que c'est chose tres-naturelle engendrer son semblable, & que à ceste cause les hommes en doiuent user reueremment, comme le don diuin & uraye ordonnance de dieu. Chap. III
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0035 - Page 17 - De la semblance des enfans à leurs pere & mere: & par quelle raison les incidens de dehors leur sont communiquez aussi par l'imagination de la mere, ilz retiennent les marques de plusieurs choses. Chap. IIII
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0049 - Page 24 - Du desordonné appetit & desir insatiable des femmes enceintes, à manger certaines choses, en default desquelles elles tombent en inconuenient. Chap. V
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0054 - Page sans numérotation - Que la femme fournit semence aussi bien que l'homme, & quelle est concurrente de l'oeuure. Chap. VI
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0059 - Page 29 - D'où depend l'espece & le sexe de l'animal: c'est à dire auquel des deux doit estre attribué la generation du masle ou de la femelle, & l'homme ou à la femme. Chap. VII
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0064 - Page sans numérotation - Des enfantemens prodigieux & monstrueux, & incidemment que signifie le prouerbe, Il est nay au quartier brisant, cy autrement expliqué qu'il n'est en ce mien liure mesme, n'a pas long temps mis en lumiere. Chap. VIII
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0072 - Page sans numérotation - Par quelle maniere peut engendrer fils ou fille, celuy qui en a desir: & incidemment, de quelle cause s'engendrent les Hermaphrodites: c'est à dire ceux qui ont les deux sexes ensemble. Chap. IX
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0082 - Page sans numérotation - A sçauoir si l'enfant est nourry au uentre de l'excrement menstrual, & si les filles peuuent conceuoir auant leurs fleurs. Chap. X
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0090 - Page sans numérotation - Que l'ame ne prouient pas de la semence des pere & mere, ains est infuse diuinement, & qu'elle est exempte de toute mort & corruption. Plus à sçauoir le quarante cinquieme iour apres l'empraignement elle y est mise. Chap. XI
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0102 - Page sans numérotation - Combien que l'ame soit incorporelle & ne soit composée d'aucune matiere, ny d'element, neantmoins est exposée aux affections, & sent ses perturbations, lesquelles redondent au corps. Chap. XII
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0118 - Page sans numérotation - Que les ames des hommes ne sont en tout egales, ne de pareille condition & dignité, ains est l'une plus excellente que l'autre. Chap. XIII
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0129 - Page 65 - De l'immortalité de l'ame, & indubitable & certaine resurrection du corps humain, & en quelle sorte & maniere elle se fera. Aussi combien tel don de Dieu fait eleuer les cueurs à luy, & quelle confiance il baille à l'homme mourant, de son salut. Chap. XIIII
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0153 - Page 77 - Sçauoir si és enfans prodigieux & monstrueux, & és auortez y a une ame raisonnable, & s'ils auront part au resuscitement futur. Incidemment de quelle cause s'engendrent les monstres. Chap. XV
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0159 - Page 80 - Les humeurs & les uiandes manifestement changent la disposition du corps, & l'estat de lame, & que de la procede la source des passions, & les remors de conscience. Incidemment quel est l'effect de la melancholie, & par quelle maniere un chacun peut remedier à icelle. Chap. XVI
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0179 - Page 90 - Les herbes aussi bien que les corps des hommes estre subiectes à changement, & dechoir de leur forme & uertu, si souuent on ne les cultiue. Chap. XVII
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0205 - Page 103 - Combien les natures & conditions des terroirs sont differentes. Chap. XVIII
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0209 - Page 105 - Que la grappe du raisin croist & grossit: mais ne meurit pas és rayons de la Lune. Chap. XIX
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0210 - Page sans numérotation - Pourquoy Hesiode blasme le fumage des terres. Chap. XX
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0211 - Page 106 - Du moyen à chasser & faire mourir les cossons & autres bestions qui gastent les bleds. Chap. XXI
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0215 - Page 108 - Du grand sentement des vers qui naissent au corps humain, & quel signe c'est quand ils montent à la bouche & au nez. Chap. XXII
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0219 - Page 110 - Le second liure de Leuin Lemne / A tres-honnorable Seigneur, Monsieur Mathias Gallomontois de Hesuuuijck, reuerend Abbé, & protecteur des gens de lettre, Leuin Lemne, Medecin, Salut
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0221 - Page 111 - Les humeurs & non les espris malings causer noz maladies: mais bien les aeriens soy mesler parmy les humeurs (en les emouuant & enflambant) comme parmy les tempestes. Chap. I
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0233 - Page 117 - Les melancoliques, manyaques, frenetiques, & qui par quelque autre cause sont esmeus de fureur, parles quelquefois un langage estrange qu'ils n'ont iamais aprins, sans toutesfois estre demoniaques. Chap. II
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0237 - Page 119 - De la violance & cruel tourment de l'epilepsie: laquelle tant les anciens que modernes du commun peuple attribuent aux saincts. Et comme on la peut combatre, incidemment que ceux qui sont oppressez du haut mal, de lethargie, & apoplexie, ne doiuent incontinent estre portez en terre. Chap. III
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0249 - Page 125 - D'où vient que les maladies sont longues & durables, & qu'aysement elles ne se guarissent par medecine. Aussi d'où prouiennent les fieures recidiues & les iours de leur relache entre les accez. Chose conuenable à chacun de sçauoir pour y obuier, ou bien tost s'en guarir. Chap. IIII
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0255 - Page 128 - De ceux qui en dormant se leuent du lict, & vont & grimpent par dessus les maisons, & font maintes choses endormiz que veillans ils n'oseroient auoir entrepris, voire ne pourroient faire, quelque peine qu'ils y meissent. Chap. V
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0260 - Page sans numérotation - Des corps qui sont noyez ceux des hommes flotter à la renuerse, & des femmes au contraire, & si le poumon leur est osté ils demeurent au font de l'eau. Chap. VI
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0264 - Page sans numérotation - Les corps des personnes noyées sont titrez de l'eau, & presentez en veue, aussi ceux qui ont esté occis & meurdris ieter le sang par le nez ou autre partie du corps, si leurs amis en approchent ou les meurdriers. Chap. VII
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0268 - Page sans numérotation - Du heaume ou peau tenue, dont les enfans nouueau nez ont la face couuerte comme d'un masque, au sortir du ventre dit vulgairement. Chap. VIII
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0272 - Page sans numérotation - A quelle cause ceux qui sont de cerueau debile & egaié on dit en Flandre hanter les feues. Chap. IX
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0275 - Page 138 - Toute odeur violente & puante n'estre nuysante à l'homme, voire qu'il y en a qui obuient aux maladies de putrefaction, & enchassent la contagion. Incidemment d'ou est nay le prouerbe, in brule là des cornes. Chap. X
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0277 - Page 139 - De l'excellence du doigt de la main senestre le plus prochain du petit, lequel est le dernier attaint de goutte, & s'il l'est, bien tost apres la mort ensuit. Incidemment, pourquoy plustost qu'es autres, on y met uolontiers l'anneau d'or. Chap. XI
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0280 - Page sans numérotation - De certaines choses qui ne bruslent point, ains resistent au feu. Et comme cela se fait. Chap. XII
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0283 - Page 142 - La chaleur naturelle de l'homme estre maintenue & enforcée par celle de quelques petits animaux, principallement de petits enfans, s'ils sont appliquez à la partie du corps debilitée, d'autant que telle fomentation non seulement sera à la concoction: mais appaise aussi la douleur des gouttes, & entre les petis chiens qui y sont les plus propres & de plus grande efficace. Chap. XIII
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0286 - Page sans numérotation - D'ou vient que la verolle n'est pas maintenant si forte qu'elle a esté au temps passé, & en quelles maladies elle se tourne. Chap. XIIII
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0288 - Page sans numérotation - Pourquoy ceux qui approchent de la mort ayant encore le sens & entendement entier, iettent une uoix enrouée auec un son reciprocant que vulgairement on appelle le ranquet. Chap. XV
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0290 - Page sans numérotation - Que la mort de l'homme & de toutes choses qui sont en estre, est contre nature & mal appellée naturelle. Que toutesfois nous faut assurer à l'encontre, à ce qu'elle ne nous soit point espouuantable, combien que non sans raison chacun l'ait en horreur. Chap. XVI
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0292 - Page sans numérotation - Des inconueniens qui viennent de l'yurongnerie: & qu'elles choses luy resistent & remedient. Chap. XVII
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0297 - Page 149 - Intemperance du boire estre plus dangereuse que du manger. Chap. XVIII
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0298 - Page sans numérotation - Le vin enyurer d'autre forme & maniere & accoustrer les gens, que la biere, godale, ceruoyse. Chap. XIX
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0300 - Page sans numérotation - Les hommes de corpulence estre aucunes fois de moindre vie que les gresles & de moindre courage resister aux maladies & les petits corps aualer souuent plus de vin que les gros & gras, & n'en estre si tost abbatus. Chap. XX
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0303 - Page 152 - Ceux qui desieunent au matin, pourueu que moderement en diner apres de meilleur appetit, & estre moins offoncez par le vin quoy qu'ils en beussent largement. Incidemment s'il est sain de manger beaucoup de pain. Chap. XXI
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0308 - Page sans numérotation - La noix muguette & le coral portez sur l'honneur en deuenir meilleur, & au contraire empirer sur la femme. Chap. XXII
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0310 - Page sans numérotation - La plus part de ceux estre steriles ausquels la semence coule & se perd d'elle mesme, & qui se pollue, & pour quelle raison. Chap. XXIII
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0313 - Page 157 - Les corps croistre & s'alonger par maladie, combien qu'on mange moins, mais diminuer sur la grosseur. Chap. XXIIII
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0315 - Page 158 - Si la saignée est plus propre auant le repas ou apres. Et s'il fait bon dormir sur icelle. Chap. XXV
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0318 - Page sans numérotation - Que l'art physiognomique, c'est à dire, de cognoistre par signes du corps, les meurs ou inclinations de l'ame n'est pas à reprouuer. Et les tesmoignages de l'escripture saincte, ne ce qu'il y conuient principalement obseruer. Chap. XXVI
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0324 - Page sans numérotation - Lequel est plus sain de dormir la bouche ouuerte ou close & les leures serrées. Chap. XXVII
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0325 - Page 163 - Les maudissons des pere & mere sur les enfans aucunefois sortir à effect: comme aussi les benissons qui leur font succeder toutes choses à heureuse fin. Chap. XXVIII
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0327 - Page 164 - Pourquoy selon le dict commun quasi nul par maladie ou loingtain voyage de deuient pas meilleur & n'amende sa vie d'auantage. Chap. XXIX
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0331 - Page 166 - Quelle force & vertu ont les pierres precieuses & autres qui sont tirées de la terre, & de la mer ou des corps des bestes & par quelle raison elles ont quelque effect. Chap. XXX
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0335 - Page 168 - Des euenemens des songes & quelle consideration on doit auoir à les obseruer & y adiouster foy. Chap. XXXI
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0340 - Page sans numérotation - De l'An Climateric (c'est à dire graduel) septieme & neufieme, es quels les corps des hommes souffrent manifeste changement, & ceux des vieilles gens principalement au soixantetroisieme. Semblablement de la raison des iours critiques, c'est à dire de iugement de maladies, par lesquels le Medecin denonce certainement la conualescence ou la mort du patient. Chap. XXXII
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0345 - Page 173 - Par quelle raison le miroer rend les choses qui luy sont presentées, & quel bien, la nette polissure d'iceluy cause à la veue des estudians, ou autres qui ont tousiours l'oeil fiché sur une besongne. Aussi par quelle raison il refait & conforte la veuë qui s'eblouit. Chap. XXXIII
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0350 - Page sans numérotation - Quelle force & pouuoir a l'eau de vie, & à qui on en peut donner à boire sans inconuenient. Incidemment des vertus & merueilleux effects d'icelle liqueur artificielle. Chap. XXXIIII
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0354 - Page sans numérotation - De la prodigieuse puissance & nature de l'argent vif, que les Flamens à cause de sa grande mobilité appellent Quicksiluer. Chap. XXXV
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0357 - Page 179 - Par quelle raison, à faute de sel, on peut garder la chair & autres viandes de pourrir, incidemment de la merueilleuse force du sel & du vinaigre. Chap. XXXVI
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0363 - Page 182 - Les femmes pasles estre plus addonnées à luxure que les rouges, & les maigres que les grasses. Chap. XXXVII
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0364 - Page sans numérotation - Si quand a soif ou qu'on prend son repas il est meilleur de boire à coup, & à longs traits, ou peu & à petits trais, & par reposées. Chap. XXXVIII
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0369 - Page 185 - Toutes choses qui viennent hastiuement à leur maturité, & entiere grandeur, aussi soudain dechoir & ne durer gueres, comme nous monstrent quelques enfans & certaines especes de plantes. Chap. XXXIX
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0371 - Page 186 - Les uiandes estre aucunefois gastées empoisonnées par attouchement de quelques bestions. Uoire par les ordures diffuses és corps humains s'engendrer quelque chose semblables a eux, comme de rats, souris, grenoilles, crapaux, uerdiers, auec exemple. Chap. XL
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0376 - Page sans numérotation - La puissance & nature du Soleil & de la Lune a causer & engendrer les tempestes, & quel effect produit le changement de l'air, & des uens és corps & ames humaines. Incidemment quelle est la cause du flux & reflux de l'Ocean qui se fait deux fois par l'espace d'un tour naturel. Chap. XLI
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0388 - Page sans numérotation - La nature & force de la laitue & à qui elle sert ou nuit. Chap. XLII
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0390 - Page sans numérotation - De l'herbe Hippolapathe, appellée communement Pacience. Chap. XLIII
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0391 - Page 196 - De l'effect de la saliue de l'homme. Chap. XLIIII
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0393 - Page 197 - De l'usage de laict & de la creme, & quelles choses les empeschent de cailler en nostre estomac. Chap. XLV
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0395 - Page 198 - Pourquoy les goutteux sont enclins à luxure, & tous ceux qui se couchent ordinairement sur les dos, & sur quelque lict dur. Chap. XLVI
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0397 - Page 199 - Si la uerole des enfans se peut guarir par administration de uin uermeil, & laict de uache, que les femmes ont accoustumé leur bailler. Chap. XLVII
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0399 - Page 200 - Le uin & la ceruoise soy tourner & gaster par le tonnerre, & la foudre, & comme on y obuie, & les remet on en leur estat & bonté. Chap. XLVIII
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0402 - Page sans numérotation - Presages de tempeste prochaine par le maniement de l'eau de la mer. Et dequoy menacent les tonnerres d'hyuer. Chap. XLIX
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0404 - Page sans numérotation - Les enfans aymer les belles choses, & auoir horreur les uieilles laydes & ridées. A ceste cause qu'il ne les faut coucher en mesme lit auec elles, & beaucoup moins à leurs pieds. Chap. L
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0405 - Page 203 - D'ou uient que l'aage tendre, les femmes grosses, les prestres, & ceux qui meinent une solitaire & sedentaire, sont communement les premiers frappez de peste, & de telles maladies publiques. Chap. LI
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0407 - Page 204 - Enseignemens diuers de nature, & reueil non impertinent de choses diuerses, à cause de brieueté assemblées comme en un faisseau. Chap. LII
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0425 - Page sans numérotation - [Table des matières]
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0433 - Page sans numérotation - Indice des matieres