Les occultes merveilles et secretz de nature, avec plusieurs enseignemens des choses diverses tant par...
- Collections
- Littérature médicale en français de 1500 à 1600
- Classe de ressource
- Monographie
- DESCRIPTION
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- Identifiant
- ark:/13685/76867
- Titre
- Les occultes merveilles et secretz de nature, avec plusieurs enseignemens des choses diverses tant par raison probable que par conjecture artificielle : exposées en deux livres de non moindre plaisir que proufit au lecteur studieux. Par Levin Lemne Medecin Zirizeen, et nouvellement traduit de Latin en François, par I. G. P.. Avec deux tables, lune des argumens des chapitres, l’autre des singulieres matieres d’iceux
- Date
- 1567
- Éditeur
- Paris : Pierre du Pré
- Siècle
- XVIe siècle
- Format
- Nombre de vues : 464
- Parties liminaires
- [Preface du traducteur. I. G. P. Paris, 2 Fevrier 1567, f. A2r ; A Tresvertueus et tresdigne seigneur Messire Matthias Gallomontois de Heesuvujck, tresreverend Prelat à Metelbourg, Levin Medecin, Salut, de Zirizee, decembre 1555, f. A3r-A6v ; Table des sommaires des chapitres, f. A7r-B3v ; Preface de Levin Lemne Medecin au lecteur debonnaire, f. B4r-B6v]
- Cote du document
- 76867
- Licence
- Licence Ouverte
- Sur l'auteur
- Lemnius, Levinus (1505 - 1568)
- Identifiant SUDOC
- Notice dans le Sudoc
- Table des matières
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0001 - Page sans numérotation - [Page de titre]
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0003 - Page sans numérotation - Preface du traducteur. I.G.P
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0004 - Page sans numérotation - Les autheurs dont Leuin Lemne s'est aydé en cest oueuure, tant Hebreux, que Grecs & Latins
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0005 - Page sans numérotation - A tres uertueux et tres-digne Seigneur Messire Mathias Gallomontois de Heesuvuijck tresreuerand Prelat à Metelbourg, Leuin Medecin, Salut. Epistre
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0013 - Page sans numérotation - [Table des matières]
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0023 - Page sans numérotation - Preface de Leuin Lemne Medecin, au lecteur debonnaire
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0029 - Page 1 - Le premier liure de Leuin Lemne, Medecin Zirizeen, des occultes merueilles de nature / De nature, instrument de la diuinité. Chap. I
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0035 - Page 7 - La dignité & excellence de l'homme. Chap. II
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0040 - Page 12 - Que c'est chose tres naturelle engendrer son semblable, & que à ceste cause les hommes en doiuent user reueremment, comme de don diuin & uraye ordonnance de Dieu. Chap. III
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0045 - Page 17 - De la semblance des enfans à leur pere & mere: & par quelle raison les incidens de dehors leur sont communiquez, aussi que par l'imagination de la mere, ils retiennent les marques de plusieurs choses. Chap. IIII
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0058 - Page 30 - Du desordonnée appetit & desir insatiable des femmes enceintes à manger certaines choses, en default desquelles elles tombent en inconuenient. Chap. V
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0063 - Page 35 - Que la femme fournit semence aussi bien que l'homme, & quelle est concurrente de l'oeuure. Chap. VI
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0069 - Page 41 - D'ou depend l'espece & le sexe de l'animal, c'est à dire, auquel des deux doit estre attribué la generation du masle ou de de la femelle, a l'homme ou a la femme. Chap. VII
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0073 - Page 45 - Des enfantemens prodigieux & monstreueux, & incidemment que signifie le prouerbe, Il est nay au quartier brisant, icy autrement expliqué qu'il n'est en ce mien liure mesme n'a pas long temps mis en lumiere
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0081 - Page 53 - Par quelle maniere peut engendrer fils ou fille celuy qui en a desir: & incidemment de quelle cause s'engendrent les hermaphrodites, c'est à dire ceux qui ont les deux sexes ensemble. Chap. IX
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0091 - Page 63 - A sçauoir si l'enfant nourri au uentre de l'excrement menstrual, & si les filles peuuent conceuoir leurs fleurs. Chap. X
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0099 - Page 71 - Que l'ame ne prouient pas de la semence des peres & meres, ains est infuse diuinement, & qu'elle est exempte de toute mort & corruption. Plus à sçauoir le quantieme iour apres l'empraignement elle y est mise. Chap. XI
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0111 - Page 83 - Combien que l'ame soit incorporelle & ne soit composee d'aucune matiere de d'elemens, neantmois est composee aux affections, & sent ses perturbations, lesquelles redondent au corps. Chap. XII
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0126 - Page 98 - Que les ames des hommes ne sont en tout egales, ne de pareille condition & dignité, ains est l'une plus excellente que l'autre. Chap. XIII
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0137 - Page 109 - De l'immortalité de l'ame, & indubitable & certaine resurrection du corps humain, & en quelle sorte & maniere elle se fera. Aussi combien tel don de Dieu faict eleuer les cueurs à luy, & quelle confiance il baille à l'homme mourant, de son salut. Chap. XIIII
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0162 - Page 134 - Sçauoir si és enfans prodigieux & monstrueux, & és auortez y a une ame raisonnable, & s'ils auront part au resuscitement futur. Incidemment de quelle cause s'engendrent les monstres. Chap. XV
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0168 - Page 140 - Les humeurs & les viandes manifestement changent la disposition du corps, & l'estat de l'ame, & que de là procede la source des passions, & les remors de conscience. Incidemment quel est l'effect de la melancholie, & par quelle maniere un chacun peut remedier à icelle. Chap. XVI
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0187 - Page 159 - Les herbes aussi bien que le corps des hommes estre subiectes à changement, & decheoir de leur forme & vertu, si souuent on ne le cultiue. Chap. XVII
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0214 - Page 186 - Combien les natures & conditions des terroirs sont differentes. Chap. XVIII
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0216 - Page 188 - Des terroirs dont l'un est
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0217 - Page 189 - Des lieux les uns sont
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0218 - Page 190 - Que la grappe du raison croist & grossit: mais ne meurit pas és rayons de la lune. Chap. XIX
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0219 - Page 191 - Pourquoy Hesiode blasme le fumage des terres. Chap. XX
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0220 - Page 192 - Du moyen a chasser & faire mourir les cossons & autres bestions qui gastent les bleds. Chap. XXI
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0224 - Page 196 - Du grand sentement des vers qui naissent au corps humain, & quel signe c'est quand ils montent a la bouche & au nez. Chap. XXII
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0228 - Page 200 - Le second liure de Leuin Lemne, Medecin Zirizeen, des choses occultes, & questions naturelles / A tres-honnorable Seigneur, Monsieur Mathias Gallomontois de Hesuvvilck, reuerand Abbé, & protecteur des gens de lettre, Leuin Lemne, Medecin, Salut
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0231 - Page 203 - Les humeurs & non les espris mailings causer noz maladies: mais bien les aeriens soy mesler parmy les humeurs (en les emouuant & enflambant) comme parmy les tempestes. Chap. I
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0242 - Page 214 - Les melancoliques, maniaques, frenetiques, & qui par quelque autre cause sont esmeus de fureur, parler quelquefois un langage estrange qu'ils n'ont iamais aprins, sans toutesfois estre demoniaques. Chap. II
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0246 - Page 218 - De la violence & cruel tourment de l'epilepsie: laquelle tant les anciens que modernes du commun peuple attribuent aux saincts. Et comme on la peut combattre, incidemment que ceux qui sont oppressez du chaut mal, de lethargie, & apoplexie, ne doyuent incontinent estre portez en terre. Chap. III
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0258 - Page 230 - D'où uient que les maladies sont longues & durables, & qu'aysement elles ne se guarissent par medecines. Aussi d'où prouiennent les fieures recidiues & les iours de leur relache entre les accez. Chose conuenable a chacun de sçauoir pour y obuier, ou bien tost s'en guarir. Chap. IV
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0264 - Page 236 - De ceux qui en dormant se leuent du lit, & uont & grimpent par dessus les maisons, & font maintes choses endormiz, que ueillans ils n'oseroient auoir entrepris, uoire ne pourroient faire, quelque peine qu'ils y meissent. Chap. V
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0269 - Page 241 - Des corps qui sont noyez ceux des hommes flotter à la renuerse, & des femmes au contraire, & si le poumon leur est osté ils demeurent au fond de l'eau. Chap. VI
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0273 - Page 245 - Les corps des personnes noyes s'ils sont tirez de l'eau, & presentez en ueuë, aussi ceux qui on esté occis & meurdris ietter le sang par le nez ou autre partie du corps, si leurs amis en approchent ou les meurdriers. Chap. VII
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0277 - Page 249 - Du heaume ou peau tenue, dont les enfans nouueau nez ont la face couuerte comme d'un masque, au sortir du uentre dit uulgairement. Chap. VIII
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0281 - Page 253 - A quelle cause ceux qui sont de cerueau debile & egaié on dit en Flandre hanter les feues. Chap. IX
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0284 - Page 256 - Toute odeur uiolente & puante n'estre nuysante a l'homme, uoire qu'il y en a qui obuient aux maladies de putrefaction, & en chassent la contagion. Incidemment d'ou est nay le prouerbe, on brule là des cornes. Chap. X
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0286 - Page 258 - De l'excellence du doigt de la main senestre le plus prochain du petit, lequel est le dernier attaint de goutte, & s'il est, bien tost apres la mort ensuyt. Incidemment, pourquoy plustost qu'es autres, on y met uolontiers l'anneau d'or. Chap. XI
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0289 - Page 261 - Des certaines choses qui ne bruslent point, ains resistent au feu. Et comme cela se fait. Chap. XII
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0292 - Page 264 - La chaleur naturelle de l'homme estre maintenue & enforcee par celle de quelques petits animaux, principalement de petits enfans, s'ils sont appliquez a la partie du corps debilitee, d'autant que telle fomentation non seulement sert a la concoction: mais appaise aussi la douleur des gouttes, & entre les petits chiens qui y sont les plus propres & de plus grand efficace. Chap. XIII
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0295 - Page 267 - D'où uient que la uerolle n'est pas maintenant si forte qu'elle a esté au temps passé, & en quelles maladies elle se tourne. Chap. XIIII
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0297 - Page 269 - Pourquoy ceux qui approchent de la mort ayant encore le sens & entendement entier, iettent une uoix enroüee auec un son reciprocant que uulgairement on appelle le ranquet. Chap. XV
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0298 - Page 270 - Que la mort de l'homme & de toutes choses qui sont en estre, est contre nature & mal appelle naturelle. Que toutesfois nous faut assurer à l'encontre, à ce qu'elle ne nous soit point espouuantable, combien que non sans raison chacun l'ait en horreur. Chap. XVI
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0301 - Page 273 - Des incoueniens qui uiennent de l'yurongnerie: & quelles choses luy rsistent & remedient. Chap. XVII
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0305 - Page 277 - L'intemperance du boire estre plus dangereuse que du manger. Chap. XVIII
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0306 - Page 278 - Le uin enyurer d'autre forme & maniere & accoustrer les gens, que la biere, godale, ceruoyse. Chap. XIX
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0308 - Page 280 - Les hommes de corpulence estre aucunefois de moindre uie que les gresles & de moindre courage resister aux maladies & les petits corps aualer souuent plus de uin que les gros & gras, & n'en estre si tost abbatus. Chap. XX
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0311 - Page 283 - Ceux qui desieunnent au matin pourueu que moderement en diner apres de meilleur appetit, & estre moins offencez par le uin quoy qu'ils en beussent largement. Incidemment s'il est sain de manger beaucoup de pain. Chap. XXI
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0316 - Page 288 - La noix muguette & le coral portez sur l'homme en deuenir meilleur, & contraire empirer sur la femme. Chap. XXII
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0318 - Page 290 - La plus part de ceux estre steriles ausquels la semence coule & se perd d'elle mesme, & qui se pollue, & pour quelle raison. Chap. XXIII
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0320 - Page 292 - Les corps croistre & s'alonger par maladie, combien qu'on mange moins, mais diminuer sur la grosseur. Chap. XXIIII
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0323 - Page 295 - Si la saignee est plus propre auant le repas ou apres. Et s'il fait bon dormir sur icelle. Chap. XXV
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0326 - Page 198 - Que l'art physiognomique, c'est à dire, de cognoistre par signes du corps, les meurs ou inclinations de l'ame n'est pas a reprouuer. Et les tesmoignages de l'escripture saincte, ne ce qu'il y conuient principalement obseruer. Chap. XXVI
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0331 - Page 303 - Lequel est plus sain de dormir la bouche ouuerte ou close & les leures serrees. Chap. XXVII
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0333 - Page 305 - Les maudissons des pere & mere sur les enfans aucunefois sortir à effect: comme aussi les benissons qui leur font succeder toutes choses à heureuse fin. Chap. XXVIII
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0335 - Page 307 - Pourquoy selon le dict commun quasi nul par maladie loingtain uoyage ne deuient pas meilleur & n'amende sa uie dauantage. Chap. XXIX
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0338 - Page 310 - Quelle force & uertu ont les pierres precieuses & autres qui sont tirees de la terre, & de la mer, ou des corps des bestes & par quelle raison elles ont quelque effect. Chap. XXX
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0343 - Page 315 - Des euenemens des songes & quelle consideration on doit auoir à les obseruer & y adiouster foy. Chap. XXXI
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0347 - Page 319 - De l'an climateric (c'est à dire graduel) septieme & neufieme, esquels les corps des hommes souffrent manifeste changement, & ceux de uieilles gens principalement au soixantetroisieme. Semblablement de la raison de iours critiques, c'est à dire de iugement des maladies, par lesquels le Medecin denonce certainement la conualescence ou la mort du patient. Chap. XXXII
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0352 - Page 324 - Par quelle raison le miroir rend les choses qui luy sont presentees, & quel bien la nette polissure d'iceluy cause la ueuë des estudians, ou autres qui ont tousiours l'oeil fiché sur une besogne. Aussi par quelle raison il refait & conforte la ueuë qui s'eblouit. Chap. XXXIII
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0357 - Page 329 - Quelle force & pouuoir a l'eau de vie, & a qui on en peut donner a boire sans inconuenient. Incidemment des uertus & merueilleux effects d'icelle liqueur artificielle. Chap. XXXIIII
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0361 - Page 333 - De la prodigieuse puissance & nature de l'argent vif, que les Flamens à cause de sa grande mobilité appellent quick siluer. Chap. XXXV
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0364 - Page 336 - Par quelle raison , a faute de sel, on peut garder la chair & autres uiandes de pourrir incidemment de la merueilleuse force du sel & du uinaigre. Chap. XXXVI
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0370 - Page 342 - Les femmes pasles estre plus addonnees à luxure que les rouges, & les maigres, que les grasses. Chap. XXXVII
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0371 - Page 343 - Si quand on a soif ou qu'on prend son repas il est meilleur de boire à coup, & à longs traits, ou peu & à petits traits, & par repausees. Chap. XXXVIII
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0375 - Page 347 - Toutes choses qui uiennent hastiuement à leur maturité, & entiere grandeur, aussi soudain dechoir & ne durer gueres, comme nous monstrent quelques enfans & certaines especes de plantes. Chap. XXXIX
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0378 - Page 350 - Les uiandes estre aucunefois gastees & empoisonnees par attouchement de quelques bestions. Uoire par les ordures diffuses és corps humains 'sengendrer quelque chose semblable a eux, comme les rats, souris, grenoilles, crapaux, uerdiers, auec exemple. Chap. XL
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0382 - Page 354 - La puissance & nature du soleil & de la lune a causer & engendrer les tempestes, & quel effect produit le changement de l'air, & des uens és corps & ames humaines. Incidemment quelle est la cause du flux & reflux de l'Ocean qui se fait deux fois par l'espace d'un iour naturel. Chap. XLI
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0394 - Page 366 - La nature & force de la laitue & a qui elle sert ou nuit. Chap. XLII
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0396 - Page 268 - De l'herbe Hippolapathe, appellee communement Pacience. Chap. XLIII
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0397 - Page 369 - De l'effect de la saliue de l'homme. Chap. XLIIII
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0399 - Page 371 - De l'usage de laict & de la creme, & quelles choses les empeschent de cailler en nostre estomac. Chap. XLV
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0401 - Page 373 - Pourquoy les goutteux sont enclins à luxure, & tous ceux qui se couchent ordinairement sur le dos, & sur quelque lit dur. Chap. XLVI
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0403 - Page 375 - Si la uerole des enfans se peut guarir par administration de vin uermeil, & de laict de vache, que les femmes ont accoustumé leur bailler. Chap. XLVII
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0405 - Page 377 - Le vin & la ceruoise soy tourner & gaster par le tonnerre, & la foudre, & comme on y obuie, & les remet on en leur premier estat & bonté. Chap. XLVIII
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0408 - Page 380 - Presages de tempeste prochaine par le meniement de l'eau de la mer. Et dequoy menacent les tonnerres d'hyuer. Chap. XLIX
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0410 - Page 382 - Les enfans aymer les belles choses, & auoir en horreur les uieilles laydes & ridees. A ceste cause qu'il ne les faut coucher en mesme lit auec elles, & beaucoup moins a leurs pieds. Chap. L
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0411 - Page 383 - D'ou uient que l'aage tendre, les femmes grosses, les prestres, & ceux qui meinent vie solitaire & sedentaire, sont communement les premiers frappez de peste, & de telles maladies publiques. Chap. LI
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0413 - Page 385 - Enseignemens diuers de nature, & recueil non impertinent de choses diuerses, & cause de brieueté, assemblees comme en un faisseau. Chap. LII
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0433 - Page sans numérotation - Ample indice des matieres contenues par ordre alphabetique au present liure