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Traité du suicide ou du meurtre volontaire de soi-meme

Classe de ressource
Monographie
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Identifiant
ark:/13685/39610
Titre
Traité du suicide ou du meurtre volontaire de soi-meme
Créateur
Dumas, Jean
Date
1773
Éditeur
Amsterdam : chez D.J. Changuion
Siècle
XVIIIe siècle
Format
Nombre de vues : 457
Cote du document
39610
Licence
Licence Ouverte
Table des matières
0001 - Page sans numérotation - [Page de titre]0001 - Page sans numérotation - [Page de titre]
0002 - Page sans numérotation - Citation0002 - Page sans numérotation - Citation
0003 - Page III - Introduction0003 - Page III - Introduction
0009 - Page 1 - Chapitre I. Où, après avoir distingué et défini le suicide, on montre que c'est un crime de disposer de sa vie, sans en avoir reçu le droit de Dieu, à qui seul elle appartient ; et qu'il n'est pas apparent que l'Etre Suprême donne à ses créatures humaines, un droit opposé aux fins de leur existence présente0009 - Page 1 - Chapitre I. Où, après avoir distingué et défini le suicide, on montre que c'est un crime de disposer de sa vie, sans en avoir reçu le droit de Dieu, à qui seul elle appartient ; et qu'il n'est pas apparent que l'Etre Suprême donne à ses créatures humaines, un droit opposé aux fins de leur existence présente
0033 - Page 25 - Chapitre II. Que tous les maux résultent de la nature des choses : qu'ils sont utiles et nécessaires pour conduire l'homme à sa grande fin : qu'ils l'attaquent avec violence à tout âge et que tant qu'ils n'épuisent pas en lui les sources de la vie, ils ne peuvent être un congé clair et formel de Dieu, qui le décharge de l'obligation de vivre0033 - Page 25 - Chapitre II. Que tous les maux résultent de la nature des choses : qu'ils sont utiles et nécessaires pour conduire l'homme à sa grande fin : qu'ils l'attaquent avec violence à tout âge et que tant qu'ils n'épuisent pas en lui les sources de la vie, ils ne peuvent être un congé clair et formel de Dieu, qui le décharge de l'obligation de vivre
0049 - Page 41 - § I. Les maux excessifs ne sont pas durables. Sujets à des vicissitudes continuelles, ils s'adoucissent ou ils tuent. Tempérés par divers biens qui les accompagnent et par l'espérance de ceux qui les suivront, ils deviennent supportables au sage0049 - Page 41 - § I. Les maux excessifs ne sont pas durables. Sujets à des vicissitudes continuelles, ils s'adoucissent ou ils tuent. Tempérés par divers biens qui les accompagnent et par l'espérance de ceux qui les suivront, ils deviennent supportables au sage
0060 - Page 52 - § II. Les maux ne sont pas non plus distribués sur la terre, comme ils devraient l'être pour nous apporter clairement notre congé0060 - Page 52 - § II. Les maux ne sont pas non plus distribués sur la terre, comme ils devraient l'être pour nous apporter clairement notre congé
0064 - Page 56 - § III. Les utilités morales des maux physiques détruisent tout l'apparence du droit de se tuer qu'on infère de ces maux0064 - Page 56 - § III. Les utilités morales des maux physiques détruisent tout l'apparence du droit de se tuer qu'on infère de ces maux
0074 - Page 66 - § IV. Il n'y a point de congé dans des maux propres à augmenter le bonheur d'une autre vie, pour des êtres dont la durée ne se borne point à celle qu'ils ont sur la terre, ni la destinée sur cette terre à y compléter la somme des individus de leur espèce, que Dieu veut faire exister par la génération0074 - Page 66 - § IV. Il n'y a point de congé dans des maux propres à augmenter le bonheur d'une autre vie, pour des êtres dont la durée ne se borne point à celle qu'ils ont sur la terre, ni la destinée sur cette terre à y compléter la somme des individus de leur espèce, que Dieu veut faire exister par la génération
0104 - Page 96 - Chapitre III. Que les instincts de la nature et les jugements de la raison, qui sont les premiers moyens, par lesquels Dieu nous fait connaître sa volonté, montrent qu'il nous appelle toujours à nous conserver et jamais à nous détruire0104 - Page 96 - Chapitre III. Que les instincts de la nature et les jugements de la raison, qui sont les premiers moyens, par lesquels Dieu nous fait connaître sa volonté, montrent qu'il nous appelle toujours à nous conserver et jamais à nous détruire
0151 - Page 143 - Chapitre IV. Que, quoiqu'il paraisse que le suicide fut autrefois fort fréquent, il n'a jamais été aussi commun, ni aussi généralement autorisé qu'on le peut penser. Des causes qui l'ont fait pratiquer et regarder comme légitime et louable, par quelques sectes de Philosophes et par quelques Peuples. Qu'il a été jugé par d'autres, une action lâche et criminelle. Qu'il exige bien moins de courage, qu'il n'en faut pour supporter les disgrâces de la vie ; et qu'il est un abus condamnable, plutôt qu'un emploi vertueux de la force, et digne de l'approbation divine0151 - Page 143 - Chapitre IV. Que, quoiqu'il paraisse que le suicide fut autrefois fort fréquent, il n'a jamais été aussi commun, ni aussi généralement autorisé qu'on le peut penser. Des causes qui l'ont fait pratiquer et regarder comme légitime et louable, par quelques sectes de Philosophes et par quelques Peuples. Qu'il a été jugé par d'autres, une action lâche et criminelle. Qu'il exige bien moins de courage, qu'il n'en faut pour supporter les disgrâces de la vie ; et qu'il est un abus condamnable, plutôt qu'un emploi vertueux de la force, et digne de l'approbation divine
0213 - Page 205 - Chapitre V. Que les inconvénients qui résulteraient du droit de se tuer soi-même, prouvent que ce droit n'est point un privilège de la nature humaine ; parce qu'il est contraire à la société, pour laquelle l'homme a été fait, et au bien de laquelle Dieu s'intéresse0213 - Page 205 - Chapitre V. Que les inconvénients qui résulteraient du droit de se tuer soi-même, prouvent que ce droit n'est point un privilège de la nature humaine ; parce qu'il est contraire à la société, pour laquelle l'homme a été fait, et au bien de laquelle Dieu s'intéresse
0294 - Page 286 - Chapitre VI. Où l'on combat ceux des philosophes qui ont fait les apologies les plus éblouissantes du meurtre volontaire de soi-même0294 - Page 286 - Chapitre VI. Où l'on combat ceux des philosophes qui ont fait les apologies les plus éblouissantes du meurtre volontaire de soi-même
0296 - Page 288 - § I. Réfutation de la fameuse apologie du suicide qui se trouve dans la LXXIVe des Lettres Persanes0296 - Page 288 - § I. Réfutation de la fameuse apologie du suicide qui se trouve dans la LXXIVe des Lettres Persanes
0310 - Page 302 - § II. Réfutation du morceau apologétique du Suicide qui se trouve dans le livre intitulé, système de la Nature0310 - Page 302 - § II. Réfutation du morceau apologétique du Suicide qui se trouve dans le livre intitulé, système de la Nature
0331 - Page 323 - § III. Réfutation des raisons les plus spécieuses employées dans la Nouvelle Héloïse, pour établir le droit de se tuer soi-même0331 - Page 323 - § III. Réfutation des raisons les plus spécieuses employées dans la Nouvelle Héloïse, pour établir le droit de se tuer soi-même
0398 - Page 390 - Chapitre VII. Où l'on continue à réfuter M. Rousseau, en prouvant que les préceptes et les exemples contenus dans la Révélation, sont contraires au droit de se tuer qu'il attribue à l'homme, bien loin de lui être favorables0398 - Page 390 - Chapitre VII. Où l'on continue à réfuter M. Rousseau, en prouvant que les préceptes et les exemples contenus dans la Révélation, sont contraires au droit de se tuer qu'il attribue à l'homme, bien loin de lui être favorables
0421 - Page 413 - Conclusion0421 - Page 413 - Conclusion
0453 - Page 445 - Table des chapitres0453 - Page 445 - Table des chapitres
0457 - Page sans numérotation - Fautes à corriger0457 - Page sans numérotation - Fautes à corriger