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Nom complet
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Mahy, François Césaire de (1830 - 1906)
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Description
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Médecin. Ministre de l'Agriculture dans plusieurs gouvernements (1913, 1914-1915, 1917, 1930)
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Date de naissance
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22 juillet 1830
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Lieu de naissance
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Saint Pierre (Ile de la Réunion)
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Date de décès
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19 novembre 1906
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Lieu de décès
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Paris (France)
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Informations biographiques
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Nom: Mahy, François Césaire de
Naissance: 22/07/1830 à Saint Pierre(Ile Bourbon)
[Cursus scolaire]
Doctorat de médecine obtenu en 1855, à l'âge de 25 ans.
Baccalauréat et inscriptions à la Faculté de Médecine de Paris : baccalauréat ès lettres en 1847 et ès sciences en 1850 à Paris, 16 trimestres 1849-1853
Durée des études à Paris : 4 ans
Parents : parents, 10 rue de l'Université
[Cette fiche est extraite du corpus des étudiants nés dans les colonies]
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Nom: Mahy, François-Césaire de
Naissance: 1830 à Ile Bourbon
Décès: 1906
Il naquit à Saint-Pierre, Ile Bourbon, le 22 juillet 1830 et fit ses études de médecine à la faculté de Paris. Il a soutenu sa thèse le 4 août 1855, présentant un « Essai sur les lésions traumatiques que la femme peut éprouver pendant l’accouchement » (BIU santé, Paris, 1855, n°181, 111p.). Le jury était composé du professeur Nélaton, président, de son collègue Rostan et des Drs. Jarjavay et Pajot, Agrégés. Le professeur Dubois était doyen. Le candidat a envisagé successivement les lésions de l’utérus, du vagin et les hémorragies, les plaies de la vulve et du périnée, ainsi que les causes dépendant de la mère, de l’œuf et de l’accoucheur. Le jeune médecin exerça à La Réunion, où il fut rédacteur du Courrier de Saint-Pierre et « réclama le droit commun pour la colonie ». En 1871, il fut élu député à l’Assemblée Nationale (Yvert Benoît, Dictionnaire des ministres 1789-1989, Paris, perrin, 1990) et « prit place à gauche ». Dans les commissions, il signalait « les actes arbitraires des fonctionnaires hostiles à la République ». Réélu plusieurs fois, il fut questeur, après la mort du colonel Denfert. Devenu ministre de l’Agriculture de janvier 1882 à février 1883, il fut brièvement à deux reprises ministre de la Marine et des colonies en 1883 et décembre 1887. Lorsqu’il venait à Paris, il demeurait 28 rue du Trocadéro : il fut le correspondant de cinq compatriotes étudiants en médecine nés à La Réunion, pendant leurs études dans la capitale.